«Je félicite le gouvernement d’avoir acquiescé à la demande des aînés portée par le Bloc Québécois dans le contexte de la crise actuelle. Nous réclamions une augmentation de leur pouvoir d’achat, notamment pour combler la hausse du panier d’épicerie. L’annonce d’aujourd’hui répond à ce besoin en leur donnant 100 $ par mois pour une première période de trois mois. La situation est loin d’être facile pour toutes ces personnes aînées qui sont isolées et vulnérables. Il fallait absolument mettre en place une aide pour apaiser leurs inquiétudes et assurer leur sécurité financière» commentait, jeudi dernier, Rhéal Fortin.
Le député de Rivière-du-Nord était d’autant plus heureux, du fait que le Gouvernement Trudeau se rendait à une demande du Bloc Québécois formulée dès le début de la présente crise.
Les grands oubliés
Rappelons que la mesure annoncée prévoit que les prestataires de la Sécurité de la vieillesserecevront un montant non imposable de 300 $  et que les personnes admissibles au Supplément de revenu garanti(SRG) recevront 200 dollars additionnels pour un total de 500 dollars.
«Le mieux-être des aînés est une priorité pour le Bloc Québécois. Ça l’était lors de la dernière campagne électorale et même avant, ça l’est aujourd’hui encore plus que jamais. Ils étaient les grands oubliés des programmes d’aide»  d’exprimer le député  Fortin.
D’autres suggestions
Dans le contexte, il y a tout de même des questions à se poser, s’il n’en tient qu’à Rhéal Fortin.
«L’aide annoncée soulève tout de même des questions importantes. D’abord est-ce suffisant, manifestement non! Pensons à une personne qui pourrait perdre son Supplément de revenu garantisi l’augmentation temporaire de sa pension lui fait dépasser le cap d’admissibilité. La période couverte sera-t-elle allongée comme les autres programmes rétroactifs au 15 mars? Si la crise perdure, l’aide sera-t-elle bonifiée? Il faudra des réponses et rapidement. C’est clair que nous n’hésiterons pas à poursuivre nos efforts, afin d’améliorer à court et à long terme la qualité de vie de ceux et celles qui ont bâti notre Québec» fait-il remarquer, soulignant que le Bloc Québécois a aussi des revendications en regard de la baisse du prix des médicaments, l’accès à Internet haute vitesse ou des mesures spécifiques d’accompagnement par Service Canada.
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Pour un deuxième été consécutif, la circulation sera difficile sur la rue Saint-Georges à Saint-Jérôme.
Les choses étant qu’on amorcera bientôt des travaux sur cet artère principale entre les rues du Palais et rue De Martigny en direction nord.
Si les travaux sont annoncés depuis un certain temps déjà, c’est quand ils débuteront que les automobilistes et les citoyens n’auront pas d’autres choix que de s’en accommoder.
Dès lundi
C’est lundi prochain (25 mai) que les travaux doivent débuter sur la rue Saint-Georges pour s’échelonner jusqu’au mois de décembre.
Le projet majeur vise le remplacement de l’ensemble du réseau d’aqueduc et d’égouts, l’aménagement et la construction de grands trottoirs en pavé uni de sept pieds de chaque côté de la voie, le repavage de la chaussée, le remplacement de l’éclairage et l’aménagement paysager.
On en profitera aussi «pour décroiser les égouts afin de réduire le nombre de déversements dans la rivière du Nord».
L’opération consiste à séparer l’eau pluviale des eaux sanitaires en construisant deux réseaux distincts.
«Hautement nécessaires, ces travaux nécessiteront la fermeture complète de cette artère principale, entre les rues du Palais et De Martigny, de la mi-juin à décembre. Un chemin de détour sera proposé aux usagers de la route» avisent les autorités.
Des mesures
Bien que nécessaire les travaux en question ne sont pas sans déranger les résidents (commerces et particuliers) du secteur, pour lesquels on a prévus des mesures d’accommodement.
Soient:
-Octroi de vignettes d’autorisation de passage (demande requise auprès de la Centrale du citoyen)
-Accès piétonnier en tout temps
-Accès aux stationnements situés entre les rues Labelle et Saint-Georges (en face du 434, rue Labelle)
-Promotion des commerces ouverts pendant les travaux (affichage sur le territoire)
-Horaires de travail limités sur le chantier
Ces mesures sont assorties d’autres de nature informationnelle.
-Infolettre hebdomadaire Infochantier (inscription requise à <a href="https://www.vsj.ca/">vsj.ca</a>)
-Alertes citoyennes (inscription requise à <a href="https://avisj.ca/">avisj.ca</a>)
&#8211;<a href="https://www.vsj.ca/reseau-routier-et-transport/info-chantiers/">Section dédiée</a> sur le site Web vsj.ca
-Présence d’un surveillant en tout temps sur le chantier pendant la réalisation des travaux
«Les travaux contribueront à assurer la fluidité du transit piétonnier, à améliorer la qualité de vie des commerçants et des résidents du secteur, à mettre aux normes les réseaux souterrains, à réaménager l’artère pour favoriser le 
partage de la rue entre les piétons, les automobilistes et le transport en commun, à sécuriser la piste cyclable et à reconfigurer la signalisation» fait-on valoir.
Routes sécuritaires
Pour une, la conseillère et mairesse suppléante, Janice Bélair-Rolland, se veut convaincante.
« Chaque année, la Ville de Saint-Jérôme injecte plusieurs millions de dollars dans ses infrastructures routières. En 2020, malgré la pandémie, nous continuerons nos efforts en ce sens afin que la population puisse profiter de routes sécuritaires et dignes d’une capitale régionale ».
Facture moindre
Pour le chantier de la rue Saint-Georges, les édiles jérômiens ont octroyé, lors de l’assemblée mensuelle d’avril dernier, le contrat à Les Constructions CJRB inc  pour un montant de 4 314 950 $.
Soit, dira le maire Stéphane Maher en conférence  téléphonique le mois dernier, pour moins une facture moindre que ce que les autorités s’attendaient.
D’autres travaux
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Par ailleurs d’autres travaux (de moins grande envergure, ceux-là) sont prévus au cours des prochains mois.
Il s’agit de:
-Rue Bélanger, entre les rues Fournier et Laviolette
-Rue Labelle, entre la rue Bélanger et le boulevard Lajeunesse Est
-Boulevard du Grand-Héron, entre la rue Valmont et le boulevard Jean-Baptiste-Rolland Ouest
-Boulevard Jean-Baptiste-Rolland Est, entre la rue du Docteur-Charles-Léonard et la 20e Avenue
-Rue Filion, entre les rues Melançon et Joseph-Fortier
-Chemin de la Rivière-du-Nord, entre le boulevard de la Salette et la rue J.-C.-Wilson
-Boulevard Monseigneur Dubois, entre la rue De Martigny Ouest et le boulevard Grignon
-3e Boulevard, entre la rue Parent et Pareau
-Montée Saint-Nicolas
Les citoyens sont invités à consulter la page « Info-chantiers » du site Web de la Ville de Saint-Jérôme à vsj.ca pour prendre connaissance des entraves prévues.
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Entre du Palais et De Martigny: la rue Saint-Georges sera refaite

« En cette période difficile, il est primordial de penser aux plus vulnérables. C&#8217;est la raison pour laquelle j’offre ce montant de mon budget de fonctionnement à plusieurs organismes de Saint-Jérôme pour soutenir la sécurité alimentaire dans notre région, et surtout pour aider les Jérômiens et Jérômiennes qui vivent des moments difficiles» lanceYouri Chassin.
Même en temps normal, la vie n’est pas nécessairement facile pour plusieurs citoyens de Saint-Jérôme.
Les besoins sont accrus pour encore plus de monde, en pleine crise de COVID-19.
Le député de Saint-Jérôme l’a compris facilement (lui qui a lancé l’année dernière un grand chantier sur la pauvreté).
Plus que nécessaire
C’est pourquoi Youri Chassin a profité d’une opportunité offerte aux députés et distribué 10 000 $ en cartes cadeaux d’épiceries à quelques  organismes offrant des services d’aide alimentaire dans les différents quartiers de Saint-Jérôme, dont le Centre de Jour, l’Ami(e) du Quartier et le Book Humanitaire.
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<h1>Dans les faits, l’Assemblée nationale a autorisé les députés qui le souhaitaient d’utiliser jusqu’à 10 000$ de leur propre budget de fonctionnement pour cette noble cause.</h1>
<h1>Dévouement et capacité d’adaptation</h1>
<h1>À Saint-Jérôme où les besoins sont grands, cette aide était d’autant plus nécessaire.</h1>
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<h1>D’ailleurs, pour le député, «les organismes d’aide alimentaire ont fait face vaillamment aux circonstances exceptionnelles de la pandémie de COVID-19. Les défis étaient nombreux pour l’approvisionnement en denrées, pour assurer la sécurité des employés et des bénévoles ainsi que pour faire face à une hausse de la demande».</h1>
<h1>Il salue d’ailleurs, «l’esprit de dévouement et la capacité d’adaptation de toutes les personnes qui contribuent à  l’action de ces organismes».</h1>
<h1>Les citoyens concernés sont invités à contacter leur banque alimentaire locale en cas de besoin, ou à téléphoner au 450-327-0430 pour obtenir de l’aide alimentaire d’urgence.</h1>
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Aide financière aux aînés:«Ils étaient les grands oubliés des programmes» -Rhéal Fortin