Pour bénéficier de ce privilège, vous devez obtenir un reçu d’accès à l’une des guérites ou au chalet d’accueil avec une preuve de résidence, et le conserver avec vous pendant votre visite.



La preuve de résidence sera demandée à toutes les personnes dans un véhicule à la guérite principale, au chalet d’accueil, et dans les guérites d’accès pour cyclistes et piétons.



Nous avons également appris que le pont flottant, qui était fermé pour travaux, est désormais réparé et de nouveau accessible. Les travaux de maintenance étant terminés, vous pouvez à nouveau profiter des îles, y compris celle avec le parcours d’hébertisme.



En outre, la Régie intermunicipale du Parc régional de la Rivière-du-Nord a annoncé qu’au cours de la prochaine année, elle compte transformer le parc pour se concentrer davantage sur l’écotourisme et le plein air.



« Les nouvelles tendances en plein air et l’engouement de tout un chacun à pratiquer des activités en plein air de plus en plus diversifiées, les impacts du changement climatique sur les opérations du Parc régional et la pérennisation des écosystèmes ainsi que l’augmentation des charges publiques au maintien et à la bonification de la qualité de vie du territoire nous amène à adopter une approche basée sur la coopération participative et citoyenne avec les amoureux du Parc régional », peut-on lire sur le site web du Parc régional de la Rivière-du-Nord.



En attendant, une nouvelle « Carte Privilège Nature » sera disponible à partir du 1er août 2024, offrant divers avantages aux habitués du parc. «&nbsp;Nous vous la présenterons la semaine prochaine avec tous ses avantages ! Restez à l’affût !&nbsp;», précise le Parc dans son plus récent communiqué.



En 2024, le Parc régional de la Rivière-du-Nord est ouvert de 9 h à 17 h tous les jours. L’obligation de sortie est à 17 h et la barrière d’entrée ferme à 16 h.



Exception durant l’été, du 24 juin au 18 août 2024, l’horaire est étendu de 8 h à 19 h, avec une obligation de sortie à 19 h et la barrière d’entrée fermant à 18 h.

<h2>Mouvement Mangeons local</h2>



L’application gratuite Mangeons local, présentée par Aliments du Québec, est un guide essentiel pour explorer plus de 1 500&nbsp;destinations agricoles à travers le Québec, y compris des fermes, marchés publics, fromageries et microbrasseries. Elle propose des circuits thématiques, un calendrier des activités et permet de commander des produits locaux. Disponible sur Google Play et Apple Store, cette application est idéale pour découvrir et savourer les produits du terroir tout au long de l’été.



Le 8&nbsp;septembre, près de 55&nbsp;fermes participeront aux Portes ouvertes Mangeons local, offrant au public des visites, ateliers, autocueillettes, rencontres d’animaux et dégustations gratuites. Cette journée unique est une occasion parfaite pour rencontrer les producteurs et en apprendre davantage sur l’agriculture locale.



<h2>Exposition Du cœur au ventre depuis 100&nbsp;ans</h2>



L’exposition « Du cœur au ventre depuis 100&nbsp;ans », présentée par Cascades, retrace un siècle d’agriculture québécoise. Elle se tiendra au Musée Pop de Trois-Rivières jusqu’au 22&nbsp;septembre, et au Musée québécois de l’agriculture et de l’alimentation de La Pocatière jusqu’au 18&nbsp;août. Les visiteurs pourront y découvrir des photos d’archives, des artéfacts et le court métrage « Habiter la terre », narré par Christine Beaulieu et Guy Nadon, offrant une perspective touchante sur l’évolution de l’agriculture au Québec.



<h2>Court métrage Habiter la terre</h2>



Le court métrage « Habiter la terre » sera projeté en plein air dans plusieurs municipalités à travers le Québec cet été. Ce film met en lumière un siècle d’engagement des producteurs agricoles et forestiers, permettant de plonger dans l’histoire fascinante du monde rural québécois.



<h2>Jeu éducatif Kasscrout</h2>



Pour sensibiliser les plus jeunes, l’UPA a développé le jeu vidéo éducatif et gratuit Kasscrout. Ce jeu initie les enfants au parcours des aliments, de la ferme à la table, leur permettant de comprendre l’importance de l’agriculture locale dès le plus jeune âge.



« À titre de porte-parole, j’invite le public à découvrir les différentes initiatives proposées par l’UPA cet été. Voilà plus de 10&nbsp;ans que je collabore avec l’organisation, que je suis aux premières loges pour apprécier l’engagement phénoménal et essentiel des productrices et producteurs de chez nous. Ce centenaire, il se souligne avec du cœur au ventre, avec un appel toujours plus invitant à consommer nos produits locaux », précise Marie-Eve Janvier, animatrice et co-porte-parole du 100e&nbsp;anniversaire de l’UPA.

L’UPA lance sa programmation estivale pour célébrer son 100e anniversaire

La Maison de la culture Claude-Henri-Grignon accueille désormais une nouvelle communauté : une ruche d&#8217;abeilles. Cette initiative fait partie des célébrations du 75e anniversaire de la Bibliothèque Marie-Antoinette-Foucher et vise à sensibiliser les citoyens à l&#8217;importance de la biodiversité en milieu urbain.



En complément de la ruche, un hôtel à insectes pollinisateurs a été installé dans le jardin des Arts. Ces hôtels offrent un habitat pour diverses espèces d&#8217;insectes bénéfiques, contribuant à la pollinisation des plantes locales.



Le 3 juin dernier, Orianne Gurtler, apicultrice urbaine chez Alvéole, a exprimé sa joie de voir ce projet prendre forme : « Quel plaisir d&#8217;avoir pu partager ce moment avec vous aujourd&#8217;hui. À partir de maintenant, votre colonie n&#8217;aura de cesse de grandir pour devenir une ruche puissante et forte ! »



« Pendant que la reine pond en moyenne 2000 œufs par jour, les abeilles ouvrières, elles, découvriront le monde aux alentours, repéreront les fleurs à butiner et commenceront à collecter du pollen et du nectar », explique-t-elle.



L’entreprise Alvéole a pour mission de reconnecter les habitants des villes à la nature. À travers ses initiatives, elle opère dans 72 villes, gérant un réseau impressionnant de 2861 ruches qui abritent environ 86 millions d&#8217;abeilles.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="541" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/06/mdl-abeilles2-960x541.jpg" alt="" class="wp-image-16903" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/06/mdl-abeilles2-960x541.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/06/mdl-abeilles2-327x184.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/06/mdl-abeilles2-768x433.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/06/mdl-abeilles2.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Courtoisie &#8211; L’entreprise derrière cette initiative est Alvéole qui gère un réseau de 2861 ruches.</figcaption></figure>



<h2>Inquiétudes sur l&#8217;emplacement : la Ville rassure</h2>



Or, l’initiative ne fait pas plaisir à tout le monde. Sur les réseaux sociaux, certains citoyens critiquent l&#8217;emplacement choisi pour la ruche. On s&#8217;inquiète soit pour le manque de fleurs dans ce coin du centre-ville ou pour la sécurité de la ruche face au vandalisme. D’autres craignent les piqûres.



Mais la Ville se veut rassurante&nbsp;: «&nbsp;Des études sérieuses ont été réalisées avant de choisir l&#8217;emplacement de cette ruche pour qu&#8217;il soit sécuritaire pour les abeilles et pour les citoyens. L’idée est de faire de l&#8217;éducation et d&#8217;organiser des activités avec des apiculteurs et même d&#8217;y récolter le miel.



Elle poursuit en expliquant que les abeilles butinent sur plusieurs kilomètres carrés de territoire. «&nbsp;Elles peuvent donc facilement se rendre jusqu&#8217;au lac Jérôme! Bien évidemment, il y a des aménagements floraux et plusieurs plantes sauvages un peu partout en ville. L&#8217;étude démontre qu&#8217;elles ont suffisamment de nourriture à proximité pour leur survie.&nbsp;»



«&nbsp;Les abeilles sont travaillantes et concentrées à faire leur travail à la ruche. Elles ne sont pas agressives envers les humains. Il ne faut pas les confondre avec les guêpes et autres insectes. Les commentaires nous prouvent que beaucoup d&#8217;éducation reste à faire sur l&#8217;apiculture et les abeilles. Beaucoup de fausses croyances circulent. Nous vous invitons à suivre les nouvelles en lien avec cette ruche.&nbsp;»



Les citoyens peuvent suivre les nouvelles de la ruche de Saint-Jérôme sur <a href="http://maruche.alveole.buzz/ville-de-saint-jerome">maruche.alveole.buzz/ville-de-saint-jerome</a>.

Le Parc régional de la Rivière-du-Nord désormais gratuit pour toute la MRC