La Ville désire vous informer d’une fermeture complète de deux rues dans le secteur de Saint-Janvier.



La rue Saint-Georges sera fermée dans les deux direction, entre le boulevard Curé-Labelle et la rue Archambault, du 14 juin à compter de 6 h 30 jusqu&#8217;au 30 juin. La fermeture permettra la réfection des bordures et du pavage.



Une fermeture complète du chemin Victor, entre le chemin Bélanger et la montée Moïse-Ouellette, du 15 juin à compter de 6 h 30 jusqu&#8217;au 23 juin est également prévu. Celle-ci permettra le remplacement d&#8217;un ponceau.



Les usagers de la route sont invités à emprunter le chemin de détour par la rue Charles.



La Ville de Mirabel remercie les usagers de la route pour leur collaboration. Pour la sécurité des usagers de la route et celle des travailleurs, le respect de la signalisation en place est essentiel.

La halte routière La Porte du Nord est située aux abords de l’autoroute des Laurentides dans la municipalité de Saint-Jérôme. Celle-ci accueille des milliers de visiteurs issus de plusieurs sphères d’activités telles que commerciale, touristique ou simplement de promenade. Par conséquent, sa disposition géographique en fait un endroit charnière quant à l’accessibilité de la région des Laurentides.&nbsp;



Certaines problématiques ont été observées à cette halte routière telles que du flânage, des incivilités, du désordre public, des vols et de la consommation de stupéfiant.&nbsp;



C’est dans une optique de police de proximité que les policiers du poste autoroutier de Laval de la Sûreté du Québec, on élaborer un projet de parrainage permettant de se rapprocher des citoyens et de répondre aux préoccupations du milieu en établissant un partenariat solide avec les divers commerçants qui opèrent des établissements à La Porte du Nord.



Un policier agissant à titre de parrain aura pour mission d’établir un lien de confiance entre les commerçants de La Porte du Nord et la Sûreté du Québec. Cette action nous permettra d’être proactifs afin d’œuvrer vers une résolution de problèmes efficiente.



Par l’entremise de ce parrainage, une patrouille adaptée aux problématiques soulevées sera déployée selon plusieurs modes tels que de la patrouille à pied, des kiosques d’information et de la planification préventive selon la saison et les déplacements. Ceci permettra également plus d’échanges entre les policiers et la communauté.



Enfin, la Sûreté du Québec veillera également à la sécurité des réseaux routiers à proximité en effectuant des opérations en sécurité routière et en assurant une bonne visibilité sur les routes avoisinantes.



La Sûreté du Québec rappelle que toute activité suspecte observée peut être communiquée en tout temps et de façon confidentielle à la Centrale de l’information criminelle au 1&nbsp;800&nbsp;659-4264.

La Porte du Nord : un projet de parrainage

Après onze années à Lachute, les jeunes joueurs de hockey de Saint-Colomban évolueront sur les patinoires de Mirabel au cours de la prochaine saison.



«&nbsp;Le partenariat avec Mirabel permettra l’amélioration des conditions de pratique sportives des jeunes de Saint-Colomban grâce à l’accès à des infrastructures plus modernes et diversifiées, une association bien structurée appuyée par la Ville, prête à accueillir nos jeunes et à favoriser leur développement, ainsi qu’une entente financière favorable tant pour la Ville, que pour l’ensemble des citoyens et pour les parents. En plus d’être favorable à la pratique du hockey mineur, cette entente représente des économies pour la population de Saint-Colomban, qui serviront à augmenter les remboursements pour tous les sports de manière juste et équitable, rejoignant ainsi un plus grand nombre d’enfants&nbsp;»&nbsp;souligne-t-on du côté des autorités colombanoises.



«&nbsp;Partenaire naturel&nbsp;



Pour un, Xavier-Antoine Lalande, mairede Saint-Colomban, voit là une entente qui va de soi.&nbsp;&nbsp;



« Mirabel est un partenaire naturel pour la Ville de Saint-Colomban, les deux villes ayant des caractéristiques démographiques très semblables. Nous sommes heureux de voir cette collaboration s’étendre au développement sportif de nos jeunes. Nous sommes confiants que cette entente saura nous apporter de belles opportunités de développement social et économique dans le futur et que ce changement sera bénéfique à long terme, tant pour la Ville que pour les citoyens et les jeunes sportifs&nbsp;».



Alors que son collègue de Mirabel, Patrick Charbonneau, abonde dans le même sens.



« Pour la Ville de Mirabel, cette demande de partenariat déposée par la Ville de Saint-Colomban, prévue dans un premier temps pour une durée d’un an, permettra de redistribuer les bénéfices enregistrés à nos jeunes par l’entremise de l’Association de Hockey Mineur de Mirabel, tout en offrant aux jeunes hockeyeurs de notre ville voisine, la possibilité de bénéficier de nos infrastructures. C’est le début d’un partage de ressources qui créera une relation gagnant-gagnant. »



Inquiétudes



Soulignons, par ailleurs qu’avant de prendre, en assemblée extraordinaire mardi soir dernier, la décision d’aller avec Mirabel, les autorités colombanoises ont pris le temps d’écouter (la séance a duré plus de deux heures) les commentaires des citoyens présents dans&nbsp;la salle du conseil.



Il est ressorti de plusieurs interventions, d’une part, qu’on ne souhaitait pas briser les liens créés entre les jeunes au cours des onze dernières années (au sein de l’Association de hockey mineur de Lachute), mais, d’autre part, qu’on avait des doutes que les jeunes hockeyeurs colombanois puissent être tous intégrés aux équipes de Mirabel.



Il y a fort à parier, en regard de la deuxième hypothèse, qu’il se posera plusieurs questions demain (jeudi 9 juin) alors que (comme il est annoncé sur la page Facebook de Saint-Colomban) se tiendra&nbsp;une rencontre d&#8217;information avec le directeur général de l&#8217;Association de hockey mineur de Mirabel à compter de 19 h 30 au Centre récréatif et communautaire de Saint-Colomban.&nbsp;



«&nbsp;Ce sera l&#8217;occasion de prendre toutes les informations pour la prochaine saison avant l&#8217;inscription et de poser vos questions (…) Il n&#8217;est pas nécessaire de vous inscrire à l&#8217;avance pour la rencontre&nbsp;» précise-t-on.

Hockey mineur : Saint-Colomban s’entend avec Mirabel

Fermeture de rues à Saint-Janvier

Actualités

COVID-19

Culture

Politique

SANTÉ

Société

Sports

Économie

Éducation

Rose-Marie Perreault dans le film La Cordonnière

cordonniere-a

Claudia Thuot et Julie Tremblay, de la Microbrasserie Dieu du Ciel!

prix-reconnaissance-dieu-du-ciel

moisson-laurentides-golf-web

marc-lheureux-web

rheal-fortin

Journal Infos Laurentides 
828 B, rue De Martigny, 
Saint-Jérome, Québec 
J5L 1Z6
Téléphone (administration): <a href="tel:4503270220">450 327-0220</a> 
Téléphone (annonces classées): <a href="tel:4503270219">450 327-0219</a> 
Télécopieur: <a href="tel:4503270221">450 327-0221</a>
Adresse courriel: <a href="mailto:infos@infoslaurentides.com">infos@infoslaurentides.com</a>
<h3>Heures d&#8217;ouverture</h3>
<ul>
<li>Lundi &#8211; Jeudi  : 8 h 30 à 17 h</li>
<li>Vendredi  : 8 h 30 à 16 h</li>
<li>Samedi &#8211; Dimanche  : Fermé</li>
</ul>

Vous aimeriez entrer en contact avec nous?

Bureau de St-Jérome

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-11267 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/christian-asselin2.jpg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Christian Asselin</li>
<li>Directeur du contenu</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:casselin@groupejcl.ca">casselin@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-74435 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/benoit-bilodeau-1.jpeg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Benoit Bilodeau</li>
<li>Adjoint au directeur du contenu</li>
<li class="team-phone"><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 243</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:benoitb@groupejcl.ca">benoitb@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="size-full wp-image-79784 alignnone" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2022/06/stephane-tremblay.jpg" alt="Journaliste Stéphane Tremblay" width="180" height="180" /></li>
<li>Stéphane Tremblay</li>
<li>Journaliste</li>
<li class="team-phone"><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a></li>
<li class="team-email"><a href="mailto:stremblay@groupejcl.ca">stremblay@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-74438 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/nna-rose-cassivi.jpeg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Nina-Rose Cassivi</li>
<li>Journaliste</li>
<li class="team-phone"><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 337</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:nrcassivi@groupejcl.ca">nrcassivi@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-74424 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/stephanie-preost.jpeg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Stéphanie Prévost</li>
<li>Journaliste</li>
<li class="team-phone"><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 337</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:sprevost@groupejcl.ca">sprevost@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-74424 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/antoin-martinovitch.jpg" alt="Journaliste Antonin Martinovitch" width="180" height="180" /></li>
<li>Antonin Martinovitch</li>
<li>Journaliste</li>
<li class="team-phone"><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 337</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:amartinovitch@groupejcl.ca">amartinovitch@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-74424 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/genevieve-blais.jpeg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Geneviève Blais</li>
<li>Coordonnatrice à la rédaction publicitaire</li>
<li class="team-phone"><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 345</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:gblais@groupejcl.ca">gblais@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-74424 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/vincent-yergeau.jpg" alt="Responsable de l'audiovisuel Vincent Yergeau" width="180" height="180" /></li>
<li>Vincent Yergeau</li>
<li>Responsable de l&#8217;audiovisuel</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:vyergeau@groupejcl.ca">vyergeau@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

Équipe de rédaction

<ul>
<li class="team-email">
<div class="contactUs_team-card__nRxjQ">
<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-11267 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/christian-asselin2.jpg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Christian Asselin</li>
<li>Directeur du contenu</li>
<li><a href="tel:450-472-3440">450 472-3440</a>, poste 337</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:casselin@groupejcl.ca">casselin@groupejcl.ca</a></li>
</ul>
</div>
</li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone size-full wp-image-11185" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/jean-francois-ferland-web-2.jpg" alt="Jean-François Ferland" width="180" height="180" /></li>
<li>Jean-François Ferland</li>
<li>Directeur de comptes</li>
<li class="team-email"><a href="tel:+4506601635">450 660-1635</a></li>
<li><a href="mailto:jean-francois.ferland@infoslaurentides.com">jean-francois.ferland@infoslaurentides.com</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-11268 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/charles-lalande-1.jpg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Charles Lalande</li>
<li>Directeur de comptes</li>
<li><a href="tel:+14508483494">450 848-3494</a></li>
<li class="team-email"><a href="mailto:charles.lalande@infoslaurentides.com">charles.lalande@infoslaurentides.com</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-11269 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/pauline-allard-1.jpg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Pauline Allard</li>
<li>Conseillère en solutions médias</li>
<li><a href="tel:+14502750490">450 275-0490</a></li>
<li class="team-email"><a href="mailto:pauline.allard@infoslaurentides.com">pauline.allard@infoslaurentides.com</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone wp-image-11266 size-full" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/jonathan-bertrand-1.jpg" alt="" width="180" height="180" /></li>
<li>Jonathan Bertrand 
</li>
<li>Conseiller en solutions médias</li>
<li><a href="tel:+15813053401">581 305-3401</a></li>
<li class="team-email"><a href="mailto:jbertrand@groupejcl.ca">jbertrand@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li><img loading="lazy" class="alignnone size-full wp-image-11192" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/01/sabrina-robb-web.jpg" alt="Sabrina Robb" width="180" height="180" /></li>
<li>Sabrina Robb 
</li>
<li>Coordonnatrice</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:srobb@groupejcl.ca">srobb@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

Équipe des ventes

<ul>
<li>Serge Langlois</li>
<li><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 322</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:serge@groupejcl.ca">serge@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li>Claude Langlois</li>
<li><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 240</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:claude@groupejcl.ca">claude@groupejcl.ca </a></li>
</ul>

<ul>
<li>Michel Langlois</li>
<li><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 242</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:michel@groupejcl.ca">michel@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li>Pierre-Marc Langlois</li>
<li><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 265</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:pmlanglois@groupejcl.ca">pmlanglois@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

<ul>
<li>Éric Giguère</li>
<li><a href="tel:4504723440">450 472-3440</a>, poste 281</li>
<li class="team-email"><a href="mailto:ericgiguere@groupejcl.ca">ericgiguere@groupejcl.ca</a></li>
</ul>

Conseil d'administration

Nous joindre

<div class="alert__sup">En cette période de canicule, pour éviter des bris à l&#8217;usine de filtration de l&#8217;eau potable qui peuvent survenir suite à une surcharge, merci de porter une attention particulière à votre consommation d&#8217;eau, notamment en ce qui a trait à l&#8217;arrosage et au remplissage des piscines.</div>
<div class="alert__extra">
<div class="alert__info">
<div class="alert__description">
Pour des trucs et astuces permettant d&#8217;économiser l&#8217;eau potable : <a href="https://www.vsj.ca/eau/">https://www.vsj.ca/eau/</a>
&nbsp;
</div>
</div>
</div>

Ville de Saint-Jérôme

Saint-Jérôme: Avis relatif à la consommation d’eau

Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides recherche activement des personnes intéressées et aptes à devenir familles d’accueil pour des jeunes âgés de 0 à 17 ans.
La pénurie de ressources est toujours aussi considérable pour cette clientèle, indépendamment de la pandémie actuelle de COVID-19. En effet, la région des Laurentides est confrontée à une augmentation importante des demandes d’hébergement.
Le CISSS des Laurentides interpelle les personnes ayant acquis des connaissances dans le réseau de la santé et des services sociaux ou une expérience de vie auprès de cette catégorie d’âge à manifester leur intérêt pour devenir une famille d’accueil d’un enfant en grand besoin.
«Même en période de pandémie, nos équipes poursuivent leur travail. Depuis la réouverture des écoles, notre personnel a repris ses activités de façon plus soutenue. Nos enfants ont besoin de vous. Aidez-nous à leur offrir un environnement sain et sécuritaire», fait valoir la présidente-directrice générale du CISSS, Rosemonde Landry.
Les personnes qui souhaitent obtenir des renseignements quant aux différents critères de base pour devenir familles d’accueil peuvent être rassurées: toutes les mesures sont mises de l’avant afin d’éviter les rassemblements. Les nouvelles technologies numériques offrent maintenant la possibilité de tenir des rencontres à distance, facilitant ainsi le partage d’information. Les personnes intéressées à participer à l&#8217;une de ces séances virtuelles sont invitées à communiquer avec l&#8217;adresse recrutement.rtf.cissslau@ssss.gouv.qc.ca.
Davantage de renseignements sur les ressources d&#8217;hébergement sont disponibles <a href="http://www.santelaurentides.gouv.qc.ca/soins-et-services/ressources-dhebergement-famille-daccueil/famille-daccueil/">ici</a>.

CISSS des Laurentides

Direction protection de la Jeunesse (DPJ)

Familles d’accueil recherchées

Les professionnelles en soins des Laurentides réclament le respect. 
À cet égard, plusieurs membres du FIQ-Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides ont participé au mouvement de solidarité lancé par la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), en organisant une action de visibilité ayant pour thème «Mortes de fatigue» un peu après 16h00 aujourd’hui (mercredi), devant des bureaux du CISSS des Laurentides du 185 rue Durand à Saint-Jérôme. 
Pour ce faire, elles se sont couchées dans la rue et sur le gazon. 
Derrière, le CHSLD de Saint-Jérôme. 
Plus de détails dans notre édition du 3 juin.

FIQ-Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides (FIQ-SPSL)

«Mortes de fatigue»

«Si le service n’est pas rendu, il doit y avoir un remboursement. Ça ne peut pas être plus clair que ça. Marc Garneau doit cesser de se cacher derrière l’Office des transports du Canada qui s’est lui-même rétracté quant au droit des compagnies aériennes de ne pas rembourser leurs clients»considère Rhéal Fortin.
On aura compris que le député de Rivière-du-Nord réagit ainsi au refus du ministre Marc Garneau d’exiger des compagnies aériennes de rembourser les citoyens qui, après avoir réserver un billet, n’ont pu faire un voyage à l’étranger en raison de la pandémie.
«Pas d’ambiguïté»
Les propos du député Fortin trouvent écho dans ceux de son collègue Xavier Barsalou-Duval pour qui «il n’y a pas d’ambiguïté et il n’y a jamais eu d’ambiguïté quant au droit des passagers à obtenir un remboursement pour les vols annulés. La seule ambiguïté qui a existé est celle que le ministre des Transports a maladroitement tenté de créer et d’entretenir malgré le fait qu’elle n’était basée sur absolument aucune règle de droit».
Le Bloc Québécois, d’ailleurs, a déposé un projet de loi concernant l’exigence pour les compagnies aériennes de rembourser leurs clients lorsque le service n’est pas rendu.
Alors qu’à titre de porte-parole du Bloc Québécois en matière de Transports, d’Infrastructures et de Collectivités, M.Barsalou‑Duval a également déposé une pétition initiée en partenariat avec Option Consommateur et ayant recueilli près de 33 000 signatures en ce sens.
«Immobilisme total»
Par ailleurs, les bloquistes prennent également parti pour l’industrie aérospatial (importante, notamment, dans les Laurentides) qui connaît actuellement des moments difficiles.
«De tous les pays qui ont une industrie aérospatiale digne de ce nom, le Canada est le seul à n’avoir pas de politique pour en soutenir le développement et assurer sa survie. Avec la pandémie qui frappe le secteur, il est plus urgent que jamais de corriger cela. Les avions sont cloués au sol, les activités d’entretien sont limitées au minimum et la demande pour les pièces s’est effondrée»de faire remarquer Rhéal Fortin; ajoutant du même souffle qu’«au Canada, c’est l’immobilisme total. Justin Trudeau préfère laisser les milliers d’emplois de l’industrie dans un état précaire et incite plutôt les compagnies aériennes à prendre en otage l’argent des consommateurs pour se maintenir à flot. Après sept mois d’inaction des libéraux, le temps est venu pour un changement de cap!»
&nbsp;
&nbsp;
&nbsp;

Bloc québécois

Rhéal Fortin

Remboursement des billets d’avion: «Le temps est venu pour un changement de cap!»-Rhéal Fortin

Combien de jeunes ne souhaiteraient pas tester des jeux vidéos et être payés pour leur travail?
Sans doute très peu.
C’est justement ce qu’offre la compagnie Les Solutions Huwiz, installée au 298 De Martigny ouest, à un jet de pierre de l’autoroute 15.
Et le plus beau de l’affaire, on ne demande pas une expérience et des diplômes.
Uniquement de l’implication et du bon vouloir.
Car au-delà du fait d’offrir un emploi aux jeunes (entre 21 et 30 pour la large majorité) Huwiz fait œuvre utile.
«(En fondant la compagnie), nous voulions conserver des emplois intéressants dans la région de Saint-Jérôme. C’est important pour nous de participer à l’essor économique de la ville en gardant des emplois à Saint-Jérôme et de soutenir des jeunes qui sont habiles avec l’informatique, mais qui n’ont pas nécessairement des diplômes à n’en plus finir. Nos jeunes, sont intelligents, brillants et résilients dans ce domaine-là» explique Martyne Malo, directrice générale de Huwiz, qui œuvre au sein de l’entreprise (fondée le 21 avril 2017, mais en opération en décembre de la même année) en compagnie du président Carolljo Maher et Louis St-Denis.
En plus des jeux vidéos, Huwiz fait aussi dans les logiciels et sites web et compte des clients au Québec et au Canada, mais également aux États-Unis, en France et en Angleterre.
On y emploie près de 150 personnes et on risque d’en ajouter au fil des prochains mois ou des prochaines années.
«Pas des gros gamers»   
Pour revenir aux jeunes employés, la mission que s’est donné Huwiz est simple.
« Ils n’ont pas besoin d’être des gros gamers» précise Mme Malo qui souligne qu’on mise sur la formation (sur place) pour rendre les employés plus performants, jumelés qu’ils sont avec des analystes seniors.
«Nous sommes une entreprise qui offre une avenue à des jeunes qui ont fini leur secondaire 5. Nous souhaitons rester proches d’eux. Leur offrir des parcours et une formation pour aller plus loin avec eux. Nous voulons une entreprise à grandeur humaine qui soit enrichissante pour les jeunes et leur offrir une stabilité. On investit, d’ailleurs, beaucoup de temps et d’argent dans la formation».
D’ailleurs, note-elle.
«La croissance de l’entreprise va passer par la croissance des services, par la finesse avec laquelle on va gérer des projets, la qualité de valeur qu’on ajoute chez le client. On se démarque par la proximité de la relation qu’on a avec le client. Une relation-conseil avec le client en fonction de son budget».
&nbsp;
Canadian Business la classe 12eau Canada
«Un gros succès d’équipe…»
                      -Carolljo Maher
&nbsp;
Canadian Business a classé Huwiz au 12e rang des meilleures entreprises en croissance au Canada en 2020.
Huwiz côtoie au classement des entreprises de partout au Canada dont quelques rares de Montréal et se retrouve au deuxième rang au Québec pour ce même classement.
«Nous sommes définitivement très contents(de ce classement). Cette récompense est un gage de tous les efforts que nous avons déployés(depuis la fondation de la compagnie il y a trois ans). En cette période de pandémie, ça représente certainement un gros succès d’équipe&#8230;(À plus forte raison que)«nous avons clairement la vocation…» de relater Carolljo Maher, président-fondateur de Huwiz, au cours d’un entretien téléphonique avec le Journal Infos Laurentides.
M.Maher souligne, d’ailleurs, juste à propos que Huwiz n’est «pas trop connue dans la région», malgré le fait que l’entreprise jérômienne compte des clients à travers le monde.
&nbsp;
&nbsp;

Créée à Saint-Jérôme il y a trois ans: Huwiz fait œuvre utile auprès des jeunes

Les résidants de Saint-Jérôme et des environs disposent dorénavant d’un service à l’auto pour le dépistage de la COVID-19.
En effet, le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides a augmenté récemment sa capacité de dépistage en ajoutant un service de dépistage pouvant accueillir les gens à même leur véhicule.
Grâce à cette nouvelle installation, la clinique de dépistage de la 9erue dans le secteur Saint-Antoine est en mesure d’accueillir, depuis le 26 octobre, environ 300 personnes de plus chaque jour.
«Endroit névralgique»
«Ancien garage (Gingras &amp; fils ressorts), le bâtiment qui s’ajoute à la clinique est idéal pour la circulation des voitures, tout en offrant un milieu sécuritaire et à l’abri des intempéries pour le personnel»soulignent les responsables du CISSS.
Situé à un coin de rue de la clinique désignée d’évaluation, le service à l’auto est accessible par la 9e Rue.
Aucun rendez-vous n’est nécessaire pour s’y présenter.
«La clinique désignée d’évaluation et de dépistage de Saint-Jérôme est située à un endroit névralgique de notre région. L’ajout d’un service à l’auto permet de mieux répondre au besoin de la population» note Rosemonde Landry, présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides, pour qui «la demande soutenue de tests de dépistage justifiait un tel développement».
Formulaire d’autoévaluation
La clinique de Saint-Jérôme offre donc trois services; soit le dépistage intérieur, le dépistage à l’auto et l’évaluation médicale pour les personnes présentant des symptômes de la COVID-19.
Notons, de plus, que les personnes qui ont été en contact avec un cas positif, qui présentent des symptômes de la COVID-19 ou pour qui un dépistage est demandé par la Santé publique sont invitées à remplir le formulaire d’autoévaluation sur Québec.ca/décisionCOVID19.
Si un dépistage est recommandé, la personne sera dirigée vers la centrale de rendez-vous, par téléphone ou via la demande en ligne disponible sur le site Internet du CISSS des Laurentides.
Cas actifs
Dans un autre ordre d’idée, Saint-Jérôme présentait, le 29 octobre dernier (au relevé hebdomadaire publié par le CISSS des Laurentides), le plus de cas de COVID-19 depuis le début de la pandémie, mais un bilan moins marqué que Saint-Eustache en regard du nombre de cas actifs.
Dansles faits, avec ses 892 cas, Saint-Jérôme devançait Blainville (726), Saint-Eustache (657), Mirabel (609), Sainte-Thérèse (426) et Boisbriand (388).
Par contre, en nombre de cas actifs, Saint-Eustache en affichait (toujours au 29 octobre) 51, Blainville 40, Saint-Jérôme 35, Mirabel 25 et Boisbriand 24.
En regard des cas actifs, la MRC Thérèse-de Blainville qui présente une fois de plus le plus haut total avec 101, suivie de la MRC Deux-Montagnes avec 73, la MRC de la Rivière-du-Nord à 64 et la MRC de Mirabel (une ville une MRC) avec 25.
Pour ce qui est du total depuis le début de la pandémie, la MRC Thérèse-de Blainville était rendue jeudi à 2 104, la MRC de la Rivière-du-Nord à 1 391et la MRC de Deux-Montagnes à 1 199.
Rivière-du-Nord
Les 35 cas actifs de Saint-Jérôme représente un peu plus de la moitié (54 %) du total enregistré sur le territoire de la MRC de la Rivière-du-Nord.
Ça donne (pour une deuxième semaine consécutive)11 cas actifs pour Sainte-Sophie (180 cas cumulés) et 9 à Saint-Colomban (159). Saint-Hippolyte (59 cas depuis le début de la pandémie) qui ne présentait aucun cas actif au 22 octobre en présentait 7 jeudi dernier.  Tout comme le 22 octobre, Prévost présente entre 1 et 4 cas actifs avec 108 (deux de plus que la semaine précédente) cas depuis le début.
COVID.jpg
Photo Mychel Lapointe
L’ancien garage Gingras &amp; fils ressorts sert dorénavant pour le dépistage à l’auto.
&nbsp;

Dépistage et évaluation: un service à l’auto à Saint-Jérôme

On ne sait trop si c’est la pandémie actuelle ou la liberté que permettent les médias sociaux, mais, clairement, de nombreux politiciens des différents paliers de gouvernement se sont allégrement faits malmenés au cours des dernières années.
Le premier ministre François Legault, pour un, est régulièrement pris à partie.
Respect
En fait, la chose est telle que l’Union des municipalités du Québec (UMQ) lance la campagneLa démocratie dans le respect, par respect pour la démocratie.
Une initiative à laquelle les cinq municipalités composantes de la MRC de la Rivière-du-Nord ont adhéré, par voie de résolution, à chacune de leur assemblée régulière du mois dernier.
Déclaration
Les conseils des cinq municipalités ont d’ailleurs fait leur la déclaration d’engagement de l’UMQ dont une portion de l’argumentaire va comme suit:
«Notre démocratie prend ses racines dans notre histoire. Nous choisissons celles et ceux qui nous gouvernent. En démocratie, nous pouvons tous être candidates, candidats pour assumer une charge publique. Quand il y a des élections, les citoyennes et citoyens délèguent l’administration du bien commun à des gens qui offrent leurs services, comme nous. Cette façon de gérer nos milieux de vie, nos régions, nous a permis d’atteindre un niveau de vie parmi les plus élevés au monde, d’évoluer en sécurité, d’avoir la possibilité de mener notre vie comme nous l’entendons et de s’exprimer en toute liberté. 
La démocratie prend vie dans le débat et dans le choc des idées. Elle est possible tant que les gens se respectent. Or, par les temps qui courent, notre démocratie est trop souvent malmenée par des incidents malheureux: incivilités, manque de respect, menaces, intimidation et usurpation d’identité. Depuis quelques années, notamment avec la montée en popularité des réseaux sociaux, le débat vigoureux mais respectueux est trop souvent remplacé par les insultes, les menaces et l’intimidation».
Normal, mais…
Et, soulignions-nous, la pandémie n’a pas permis d’arranger les choses, considèrent les dirigeants de l’UMQ.
«(Le climat malsain) c’était vrai avant la pandémie. Mais celle-ci est venue aggraver cette façon de faire. Que cette difficile situation soit source d’inquiétude, d’anxiété, c’est normal. Que l’on soit parfois en désaccord avec les décisions des autorités, c’est normal. Mais il n’est pas acceptable que des femmes et des hommes qui exercent une responsabilité publique au service de leurs concitoyennes et concitoyens soient intimidés, poussés à la démission, parfois même menacés de mort, ou contraints de se déplacer avec une protection policière». 
Il est possible de prendre connaissance de la déclaration de l’UMQ au <a href="https://umq.qc.ca/wp-content/uploads/2021/01/declaration-generale-version-web.pdf">https://umq.qc.ca/wp-content/uploads/2021/01/declaration-generale-version-web.pdf</a>
La suite des choses dépend de chacun de nous.
&nbsp;

MRC de la Rivière-du-Nord

Union des municipalités du Québec (UMQ)

Une question de respect…

Le gouvernement du Québec investit 1,5 M$ sur cinq ans pour implanter le programme SEXTO dans toutes les écoles secondaires québécoises.
Rappelons que SEXTO est un outil développé en 2016 par le service de police de Saint-Jérôme pour prévenir et contrer l’intimidation et la cyberintimidation.
Mercredi dernier (au moment de l’annonce de la nouvelle), le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a salué le soutien apporté au projet SEXTO.
Pornographie juvénile
Il faut savoir, comme l’expliquent les autorités, qu’«en droit criminel canadien, le sextage entre adolescents peut constituer une forme de pornographie juvénile».
La nouvelle d’implantation de SEXTO à l’échelle du Québec est le fruit d’une collaboration entre des services de police, des établissements scolaires et le Bureau des affaires de la jeunesse (BAJ) du DPCP.
«Le projet a été élaboré en conformité avec les principes de la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents. Il répond aux besoins des jeunes et les aide dans leur développement. Il tient également compte des intérêts des victimes, favorise la responsabilité des adolescents par la prise de mesures offrant des perspectives positives et mise sur la réadaptation et la réinsertion sociale». 
«Cette mesure non judiciaire novatrice vise à prévenir le sextage et à limiter les conséquences pour les jeunes impliqués, tout en permettant aux intervenants des milieux scolaire, policier et judiciaire de régler une situation dans un délai moyen de quatre jours seulement»souligne-t-on du côté du DPCP.
Guilbault
Rappelons qu’en mars 2019, la vice-première ministre et ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault, était venue à Saint-Jérôme pour annoncer que Québec investissait 75 000 $ pour l’implantation de la trousse SEXTO sur le territoire de Laval et de Lanaudière.
«C’est une priorité d’assurer la protection de nos jeunes», avait déclaré à cette occasion Mme Guilbault.
Cette fois-ci, on franchit un grand pas de plus.
&nbsp;
&nbsp;

Service de police de la ville de Saint-Jérôme

Dans toutes les écoles secondaires québécoises: Québec investit 1,5 M$ pour déployer SEXTO

L’ancien maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, a reçu une prime de départ de 36 000 $.
La Ville de Saint-Jérôme dit disposer d’un avis juridique sur la question pour expliquer le paiement de la prime. Pour sa part, la ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, a demandé au Commissaire à l’intégrité municipale de faire enquête sur la gestion actuelle de la Ville.
Bourcier
L’histoire a fait réagir le chef d’Avenir Saint-Jérôme et futur candidat à la mairie, Marc Bourcier, qui s’est exprimé en ces termes dans un envoi au Journal Infos Laurentides, la semaine dernière.
«Quelle sorte d’éthique guide le conseil municipal? (…) C’est l’argent de la population, alors la population a le droit de savoir. Le conseil municipal doit donc lui dire: Pourquoi avoir attendu que l’observatrice du gouvernement soit partie avant de verser à Stéphane Maher les 36 000$ ? Pourquoi ne pas avoir demandé l’avis de la Commission municipale du Québec? Qui a décidé de demander un avis juridique plutôt qu’un avis de la CMQ? Et qui a pris la décision finale de donner 36 000 $ à Stéphane Maher? (…) De plus, parce que c’est aux citoyens que le conseil municipal demande de payer la prime de Stéphane Maher, le conseil municipal doit non seulement nous dire qui a rédigé cet avis juridique, mais il doit aussi le rendre public. La transparence ça ne se fait pas par petite dose. On est transparent ou on ne l’est pas»considère M.Bourcier.
Nichols 
Le dossier a aussi interpelé Marie-Claude Nichols, députée libérale de Vaudreuil et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’Affaires municipales, qui a une opinion bien tranchée sur la question.
«Depuis fort longtemps, le drapeau rouge a été levé à Saint-Jérôme. Nombreux ont été les citoyennes et les citoyens qui ont rapporté des irrégularités dans la gestion de leur ville. Après des pressions auprès de la ministre des Affaires municipales, Andrée Laforest, cette dernière a mandaté la Commission municipale du Québec (CMQ) pour faire la lumière sur le dossier. L’ex-maire de Saint-Jérôme a ainsi été déclaré inéligible en raison de manœuvres électorales frauduleuses. Pourtant, ce dernier vient de se voir octroyer une indemnité de départ de plus de 36 000 $, et ce, après avoir dirigé illégalement la ville pendant trois mois. Comment expliquer aux électeurs, qui dénotent de nombreuses irrégularités dans l’administration de leur ville, qu’après que la culpabilité du maire ait été reconnue, la ministre ne se soit pas assurée que ce dernier n’ait plus la possibilité de s’ingérer dans les affaires de la municipalité ? Pendant ce temps, le député de Saint-Jérôme, Youri Chassin, brillait par son absence pour défendre les intérêts de la population qu’il doit représenter»a exprimé Mme Nichols dans un écrit acheminé au Journal et dont on retrouve l’intégral au <a href="http://bn.journalinfoslaurentides.com/">www.journalinfoslaurentides.com</a>, dans la section Lettre ouverte.
&nbsp;

Marc Bourcier

Stéphane Maher

Prime de départ de 36 000 $ à Stéphane Maher: Marc Bourcier et Marie-Claude Nichols commentent…

« La Municipalité de Saint-Hippolyte s’est donné pour mission de favoriser la participation citoyenne et d’offrir des services de proximité adaptés à la réalité de la population. C’est dans cette même perspective qu’a été développée notre vision pour les aînés de la municipalité »souligne Bruno Laroche.
Le maire de Saint-Hippolyte y allait de cette déclaration le vendredi 1eroctobre dernier alors que les autorités municipales profitaient de la Journée internationale des aînés, pour dévoiler leur nouvelle <a href="https://saint-hippolyte.ca/services-aux-citoyens/aines/">politique des aînés</a> qui comprend un plan d’action pour les années 2021 à 2024.
Dans les faits, précise Bruno Laroche,« les objectifs et les moyens d’action (de la politique en question) découlent essentiellement des commentaires et des suggestions formulés par les citoyens de 55 ans et plus qui ont été consultés. (Si bien que) cette politique constituera un guide précieux qui sera au cœur des interventions de la Municipalité en ce qui concerne le bien-être de ses aînés ».
« Dossier inspirant »
Quant aux gens qui ont travaillé sur le document, ils méritent, à n’en pas douter, la reconnaissance des édiles.
« Je remercie chaleureusement les citoyens et les représentants d’organismes qui ont siégé au comité de pilotage mis sur pied par la municipalité pour mener à bien cette nouvelle démarche MADA. Ils ont su mener de façon très efficace leurs travaux malgré le contexte de pandémie. Leur implication soutenue dans ce dossier inspirant a fait toute la différence »de noter Chantal Lachaine, conseillère municipale, représentante élue responsable du dossier aînés.
 Le comité
Outre Mme Lachaine qui chapeautait le comité, le groupe était formé des personnes suivantes :
– Louis Croteau, directeur des loisirs, sports, plein air et vie communautaire
– Ginette Marie Beaulieu, citoyenne
– Carole Bilodeau, citoyenne (retraitée de l’Hôpital de Saint-Jérôme à titre de physiothérapeute)
– Viviane Boucher, citoyenne (retraitée du Centre intégré de santé et des services sociaux des Laurentides (CISSSL) à titre de travailleuse sociale)
– Denise Collerette, Groupe social Amico
– Isabelle Lampron, Table de réflexion et d’actions des retraités et des aînés (TRARA) de la MRC de la Rivière-du-Nord
– Jacques Larose, Club de l’Âge d’Or de Saint-Hippolyte
– Virginie Munger, FADOQ Laurentides
– Sylvie Philippe, Centre intégré de santé et des services sociaux des Laurentides (CISSSL)
Le comité a bénéficié des conseils de Luc Leblanc, formateur d’Espace MUNI. Marie-Josée Dubé
(Dubé Barsalou communications) agissait à titre de chargée de projet.
Les objectifs
Il se dégage clairement du plan d’action que « la municipalité prendra une part encore plus active dans la diffusion des informations qui concernent les aînés ». 
À titre d’exemple, l’un des objectifs est de développer un répertoire des entreprises commerciales qui offrent des services.
Parmi les autres objectifs énoncés à la politique, on parle de :
– Possibilité d’aménager des logements pour les aînés afin de leur permettre de demeurer dans la municipalité
– Mettre en place des actions pour améliorer les infrastructures municipales pour des déplacements plus sécuritaires et agréables
– Développer un programme permettant aux intervenants (pompiers et policiers) d’être immédiatement informés de la localisation d’une personne nécessitant une assistance particulière en cas d’urgence
Des exemplaires imprimés de la politique sont disponibles au <a href="https://saint-hippolyte.ca/services-aux-citoyens/loisirs-plein-air/projet-majeur-de-centre-communautaire/">Centre des loisirs et de la vie communautaire</a>, mais on peut également la consulter sur le site de la municipalité.
&nbsp;
&nbsp;
&nbsp;

Municipalité de Saint-Hippolyte

Un plan d’action 2021-2024 : Saint-Hippolyte dévoile sa politique des aînés

Les autorités de Saint-Jérôme en sont venues à une entente de principe avec leurs policiers.
L’entente, d’une durée de cinq ans et entérinée en assemblée publique mardi soir dernier, arrive avant la fin de la convention collective qui vient à échéance le 31 décembre prochain. Fait peu fréquent dans le monde municipal.
« Les demandes étaient jugées raisonnables.
Les discussions se sont bien déroulées et on est très contents. Ça veut dire que nos policiers sont satisfaits et heureux »a commenté, jeudi dernier, la mairesse Janice Bélair-Rolland au cours d’une conversation téléphonique avec le Journal Infos Laurentides.
Conditions favorables
Les propos de la mairesse trouvent d’ailleurs échos dans ceux du directeur général par intérim de la Ville de Saint-Jérôme, Gérald Gravel, qui souligne que « dans le volet normatif, le syndicat s’est montré ouvert à des modifications. Ce qui nous a permis de faire des économies et financer en grande partie le volet monétaire ».
Aux dires de M.Gravel, la nouvelle convention va nécessiter une augmentation moyenne de 450 000 $ par année pour les cinq prochaines années alors que le budget annuel du service est de 22 M$ par année.
« La convention a été signée à des conditions favorables pour les deux parties »de dire le directeur général.
Sur le plan monétaire, on parle d’une augmentation de salaire de 2.5 % par année. « Ce qui est inférieur à l’inflation qu’on prévoit au cours des cinq prochaines années ».Il y a eu, nous dit-on, des discussions pour des augmentations équivalentes à l’inflation, mais (à taux fixe), il est plus facile de prévoir l’impact sur les finances de la ville.
La ligue américaine
D’un autre côté, les policiers ont fait un gain sur un autre plan. Il faut dire que la concession fait également l’affaire des autorités.
« On a rendu permanents 15 postes temporaires(au niveau de la patrouille).
(Des postes temporaires)qui étaient là depuis plusieurs années. Les besoins étaient bien établis. Comme on voulait augmenter notre capacité de rétention de nos policiers, on a rendu les postes permanents. Au total, ça nous coûte un petit peu moins cher que des temporaires, par le jeu des assurances et des bénéfices marginaux »explique M.Gravel qui a eu cette image intéressante : « Saint-Jérôme, on est comme la ligue américaine (de hockey). On forme des joueurs et une fois qu’ils sont établis ils s’en vont à Laval et à Montréal ».
En outre, on a bonifié les conditions de travail des formateurs de façon à répondre aux besoins des policiers qui doivent suivre de plus en plus de formations spécialisées (itinérance, violence conjugale et autres), tout en obtenant plus de souplesse dans les formations (sans devoir aller à l’extérieur; ce qui est plus onéreux).
De plus, on a ajouté deux postes d’agents aux relations communautaires.
Escouades
Il est également important de souligner que l’assemblée de mardi soir dernier a permis de créer une escouade pour lutter contre la violence conjugale.
Le service de police comptant déjà une équipe vouée à l’itinérance (Pacifique) en plus de s’impliquer dans le contrôle des armes à feu, dans la foulée de la structure mise sur pied récemment par la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault.
&nbsp;
&nbsp;
&nbsp;
&nbsp;

Avant la fin de la convention collective : Saint-Jérôme s’entend avec ses policiers   

Réclamés depuis longtemps par les automobilistes et les camionneurs, des travaux de réfection de la rue de Martigny ouest entre les boulevards John-F.-Kennedyet Roland-Godard sont en cours depuis jeudi dernier.
« Après les travaux majeurs effectués cet été sur la section de cette artère principale comprise entre l’autoroute des Laurentides et le centre-ville de Saint-Jérôme, nous entamons maintenant la phase II du chantier. La réfection de ce nouveau tronçon de la rue De Martigny Ouest nous a d’ailleurs été demandée par de nombreux citoyens, qui l’attendaient depuis longtemps » soulignait, à juste titre, la mairesse Janice Bélair-Roland la semaine dernière.
État pitoyable
Il faut bien dire que le tronçon de cette artère achalandée (qui longe le cimetière) est dans un état pitoyable depuis plusieurs années. Des interventions sporadiques n’ont jamais permis de régler un problème évident et encore davantage au printemps alors que la chaussée recèle d’importants nids-de-poule.
De nuit
Parce que, disions-nous, la circulation est constante à de nombreuses heures de la journée sur De Martigny ouest (à cette hauteur), on a choisi de mener les travaux de nuit de façon à causer le moins de désagréments aux automobilistes et camionneurs (notamment, dans ce dernier cas, en raison de la proximité du parc industriel).
Ainsi, avisent les autorités, le chantier, amorcé le jeudi 7 octobre en soirée, devrait durer environ deux semaines.
Les travaux sont exécutés de nuit, ce qui nécessite une fermeture complète du tronçon de rue entre 20 h et 6 h jusqu’à demain (jeudi 14 octobre).
Des chemins de détour sont proposés sur place et la circulation locale est permise en tout temps.
« La fin du chantier est prévue pour le vendredi 15 octobre au matin. Toutefois, selon les conditions d’exécution des travaux, cette date pourrait changer en cours de route »avise-t-on.
Service d’alertes AVISJ
Pour ne rien manquer des différentes mises à jour au sujet de ce chantier ou pour recevoir les avis importants selon leur secteur de résidence, les citoyens sont invités à s’abonner au <a href="https://avisj.ca/">service d’alertes AVISJ</a> de la Ville de Saint-Jérôme.
Lajeunesse
Il faut, par ailleurs, prévoir encore de l’action du côté ouest de l’autoroute 15 en 2022, puisque, comme le faisait remarquer la mairesse Bélair-Rolland la semaine dernière, des travaux seront nécessaires sur la rue Lajeunesse alors qu’on planifie la construction d’une nouvelle école secondaire entre le boulevard Roland-Godard et la rue Lamontagne.
&nbsp;
&nbsp;
&nbsp;

rue De Martigny

Entre les boulevards John-F.-Kennedyet Roland-Godard : la chaussée est refaite sur De Martigny

La centaine



À Saint-Jérôme on est passé de 75 cas actifs le 18 novembre à 99 jeudi dernier. Pendant que dans la MRC de la Rivière du-Nord, on affiche presque le double du bilan enregistré dans la MRC la plus proche (Deux-Montagnes).



En revanche, les choses se sont nettement améliorées à Mirabel, où on est passé de 83 cas actifs au 18 novembre à 46 jeudi dernier, soit le même nombre qu’à Blainville. Mirabel a occupé le premier rang dans les Laurentides au cours des quatre dernières semaines.



Parmi les autres villes du sud de la région, c’est Prévost qui arrive au quatrième rang avec 39 cas actifs.



Suivent, pas tellement loin derrière,



Deux-Montagnes et Saint-Eustache, avec respectivement 37 et 36 cas,



Ste-Marthe-sur-le-Lac à 22, Sainte-Sophie à 21, Saint-Colomban à 17, Sainte-Anne-des-Plaines à 15, Boisbriand et Sainte-Thérèse à 8, Saint-Hippolyte à 7, Rosemère à 6, Lorraine à 5 ainsi que Saint-Joseph-du-Lac et Bois-des-Filion entre 1 et 4.



On ne dénombre aucun cas actif à Oka, Saint-Placide et Pointe-Calumet.



Presque le double



Sur le plan des MRC, les statistiques affichées dans quatre des cinq municipalités composantes (si on exclue Saint-Hippolyte qui en affiche moins de 10) sont une conséquence directe du fait que le total dans la Rivière-du-Nord s’établit à 183. Soit, disions-nous, presque le double de la MRC de Deux-Montagnes qui est à 99, alors que la MRC Thérèse-de Blainville suit avec 90 et celle Mirabel (une ville, une MRC) avec 46.



Écart qui rétrécit



Les statistiques des mois précédents sur le plan des MRC font en sorte que celle de Thérèse-de Blainville, avec 7 998 cas, &nbsp;se retrouve toujours au premier rang, mais l’écart se rétrécit avec celle de la MRC de la Rivière-du-Nord qui en est à 6 122. Pendant quelques semaines, la première affichait plus de 2&nbsp;000 d’écart avec la deuxième. La MRC de Deux-Montagnes en compte 4 431.



Toujours première



Les 99 cas actifs à Saint-Jérôme ont amplifié son avance au premier rang régional sur le plan du cumulatif des cas depuis le début de la pandémie avec 3 837.



La capitale des Laurentides devance, dans l’ordre (parmi les villes les plus populeuses), Blainville (2&nbsp;761), Mirabel (2&nbsp;726), Saint-Eustache (2 287), Sainte-Thérèse (1393) et Boisbriand (1381).

COVID-19 : une centaine de cas actifs à Saint-Jérôme

L’Ordre des infirmières et des infirmiers du Québec (OIIQ) recommandera au gouvernement du Québec d’exiger le baccalauréat pour pratiquer la profession. Qu’adviendra-t-il du programme de soins infirmiers offert au niveau collégial ? Les représentants des cégeps sont inquiets.
Président de l’OIIQ, Luc Mathieu se fait toutefois rassurant à leur égard, affirmant que le DEC en soins infirmiers demeurera, mais que les étudiantes devront poursuivre leurs études à l’université si elles souhaitent exercer le métier d’infirmière, sinon elles demeureront au grade d’auxiliaire.
« Le programme collégial fait partie de la solution. Il n’est pas en péril, mais pas du tout ! », insiste M. Mathieu, rappelant que la mission de l’OIIQ est de protéger le public en s’assurant de la compétence de ses membres. Or, selon ses dires, les étudiantes qui passent par le programme collégial pour accéder à la profession d’infirmière, ne sont pas autant outillées qu’une bachelière en sciences infirmières pour faire face aux problèmes qui pourraient survenir, dans les urgences notamment.
« Le problème, plaide-t-il, c’est que le DEC en soins infirmiers ne rend pas compétentes les infirmières dans toutes les connaissances de base. Ainsi, quand les nouvelles diplômées du cégep arrivent dans certains milieux cliniques où la situation est critique, tels les soins intensifs, l’urgence ou en traumatologie, elles n’ont pas développé certaines compétences, ce qui place le public dans une situation particulière. »
Luc Mathieu indique par ailleurs que plus de 60 % des étudiantes au DEC en soins infirmiers poursuivent leurs études vers le baccalauréat. Certaines le font, dit-il, lorsqu’elles se rendent compte par elles-mêmes qu’elles n’ont pas développé les compétences nécessaires.
Il ajoute par ailleurs que le baccalauréat est exigé partout ailleurs au Canada et que lorsque l’Ontario en a fait une exigence, le nombre d’inscriptions et de diplômées a augmenté de façon significative. Plus d’une trentaine de campus offriraient en outre le programme universitaire de sciences infirmières au Québec.
Irréaliste
Le réseau collégial a rapidement réagi à cette annonce de l’ OIIQ d’exiger le baccalauréat, rappelant, entre autres, que 46 des 48 cégeps au Québec offrent le programme de soins infirmiers. C’est le cas dans la région alors que cégep de Saint-Jérôme et le Collège Lionel-Groulx donnent cette formation.
À Lionel-Groulx, le directeur général Michel Louis Beauchamp, fulmine lorsqu’on lui parle des intentions de l’OIIQ.
« C’est irréaliste, non-fondé et sans données probantes ! Aucune étude sérieuse ou analyse de situations de travail n’a confirmé la nécessité d’amorcer ce virage », soutient M. Beauchamp avant d’ajouter que ce n’est pas le rôle de l’OIIQ de décider de l’adéquation entre la formation et la pratique infirmière.
« Le rôle de l’OIIQ est de protéger le public. Ce n’est pas son rôle d’aller sur ce terrain-là !».
Le directeur du Collège Lionel-Groulx parle au nom de tout le réseau collégial lorsqu’il affirme par ailleurs qu’une telle décision de l’OIIQ contribuerait certainement à une hausse de la pénurie de main d’œuvre que vit actuellement la province.
« On va faire passer de trois à cinq ans la durée de la formation. Il y aura donc un trou de deux ans où nous manquerons d’infirmières. Ça ne tient pas la route ! »
Il a rappelé que le réseau collégial forme en moyenne 3000 infirmières par année sur de l’équipement à la fine pointe de la technologie et qu’il en coûte des milliers de dollars pour suivre une formation universitaire ce qui pourrait ultimement en décourager plusieurs de suivre cette voie.
La recommandation de l’OIIQ pourrait être mise en place d’ici cinq ans.
 
&nbsp;
&nbsp;
&nbsp;
&nbsp;

Cégep de Saint-Jérôme

Soins infirmiers au cégep : L’OIIQ recommandera le cours universitaire

Qu’on se le dise, le candidat indépendant à l’élection au district 1 de Saint-Jérôme, Louis-Philippe Beaulieu, a apprécié son expérience.
Il en a fait part dans un propos acheminé récemment à nos bureaux.
« Dans un premier temps, je remercie du fond du cœur mes nombreux électeurs du district 1 (St-Pierre/Chutes Wilson) pour leur confiance. Ce fut un immense plaisir d’échanger avec vous sur les enjeux de notre quartier et de notre belle ville de Saint-Jérôme. Vous m’avez fait grandir, et ça, je ne l’oublierai jamais. Évidemment, je m’engage à faire le suivi de vos requêtes auprès de notre conseiller municipal, Monsieur Ronald Raymond. Je pense notamment à l’urgence de revoir les corridors scolaires pour nos enfants et à la sécurité routière. D’ailleurs, je félicite M. Raymond pour son élection. C’est un homme qui s’est impliqué dans notre communauté une bonne partie de sa vie et c’est tout à son honneur ».
« Faire preuve d’une grande sagesse »
Louis-Philippe a aussi des félicitations pour le maire Marc Bourcier, assorties d’un conseil.
« Je félicite également Marc Bourcier pour son élection. Son amour pour notre reine du nord (la ville de Saint-Jérôme) et son implication de longue date a su convaincre les Jérômiens. Je me permets tout de même une mise en garde en raison du contexte actuel. En effet, notre nouveau maire a annoncé son intention de faire un seul mandat et il a les pleins pouvoirs avec dix conseillers municipaux sur douze. J’invite donc Monsieur Bourcier à faire preuve d’une grande sagesse. Comme citoyen, je m’attends à être représenté par un maire qui prend ses responsabilités. Cela signifie que notre nouveau maire doit agir plutôt que de critiquer l’administration sortante. Plus important encore, notre maire doit avoir le courage de régler les enjeux les plus difficiles dès maintenant et ne pas remettre ces enjeux aux élus qui lui succéderont en 2025. Je vous souhaite bonne chance, monsieur Bourcier » indique-t-il.
 
&nbsp;
&nbsp;
&nbsp;

Avenir Saint-Jérôme

Heureux de son expérience : Louis-Philippe Beaulieu sert une mise en garde à Marc Bourcier

Mirabel

Journal Infos Mirabel

Ville de Saint-Colomban

Ville de Mirabel

Xavier-Antoine Lalande

Patrick Charbonneau

Sûreté du Québec

Un montant qui s’ajoute aux autres activités organisées durant l’année, le but étant d’amasser au total de 2,4 millions de dollars. « De cette somme, 46% provient des dons et du financement de nos partenaires », souligne Julie Sergerie, la coordonnatrice des communications et du marketing à la fondation.



La 5e&nbsp;édition de l’activité « Je marche pour toi » a une fois de plus été un événement rassembleur qui revêt un cachet tout spécial, car certains participants marchent à la mémoire d’un être cher.



Avant de prendre d’assaut les sentiers pour un parcours de 3, 5 ou 10 km, les marcheurs ont pu se réchauffer les muscles sous les judicieux conseils de l’équipe des Centres d’activités physiques de la Rivière-du-Nord.&nbsp;



Notons la présence de l’athlète olympique, le skieur de bosses canadien le plus médaillé de tous les temps, Mikaël Kingsbury.&nbsp;



Certains participants avaient même organisé leurs propres collectes permettant une meilleure récolte. Des entreprises de la région étaient également à l’honneur, comme Riobel, membre distinctif House of Rohl, parrain de l’événement, qui avait inscrit plus de 200 de ses employés. Une cinquantaine de travailleurs de Trica inc ont aussi participé en groupe à cette activité de financement festive.&nbsp;



4 mois dans une chambre&nbsp;



Question de mettre un visage sur une somme récoltée, sachez que 60&nbsp;000$, ça permet 124 jours de soins pour une chambre à la Maison de soins palliatifs de la Rivière-du-Nord.



D’ailleurs, dans le but d’offrir un environnement familial et humain pour les personnes dont les jours sont comptés, cette Maison de soins palliatifs a été mise sur pied, en 2006, et à ce jour, elle a permis d’accueillir, d’épauler et de réconforter plus de 2600 patients partis vers un autre monde, entourés de leurs proches.&nbsp;



Les montants amassés avec les années font une grande différence dans la vie des personnes atteintes, de même que leurs proches aidants et aussi pour les personnes endeuillées.&nbsp;



Plus de 11&nbsp;500 personnes se sont prévalues des différents services d’accompagnement depuis 1983, offerts par des professionnels remplis de compassion, répondant ainsi aux besoins, à tout stade de la maladie, des personnes atteintes de cancer ou de maladie dégénérative à issue terminale.&nbsp;&nbsp;



&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Depuis 2016 et toujours guidée par ses valeurs, la Fondation Pallia-Vie se consacre à recueillir des fonds en mobilisant la communauté afin que Pallia-Vie continue d’offrir, sans frais, des soins palliatifs et des services d’accompagnement de grande qualité aux personnes en fin de vie, leur permettant de s’éteindre paisiblement en toute quiétude.



Le 15 novembre, une autre activité de financement&nbsp;



La prochaine activité de financement se tiendra le 15 novembre. Ce sera le retour de l’événement Réseautage qui aura lieu au Théâtre Gilles-Vigneault à Saint-Jérôme.&nbsp;



&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;&nbsp;Plus de 200 personnes se rassembleront lors d’un 5 à 7 lors d’un cocktail dinatoire, question de permettre aux gens de développer leur réseau de contacts dans une atmosphère amicale et détendue, tout en ayant à cœur Pallia-vie, une ressource essentielle qui fêtera ses 40 ans d’existence l’an prochain.

Maison de soins palliatifs de la Rivière-du-Nord

Parc du lac Jérôme

Fondation Pallia-Vie

Pallia-Vie

60 000$ à la Fondation Pallia-vie

Avec une telle prime annuelle, les Laurentides arrivent au 6e rang sur 17. La prime annuelle moyenne d’assurance auto au Québec est de 775$.



La prime moyenne d’assurance auto peut aller du simple au double, selon où l’on habite au Québec&nbsp;: de 623 $ dans le Bas-Saint-Laurent jusqu’à 1 217 $ dans le Nord-du-Québec.



« Logiquement, c’est dans l’aire urbaine de Montréal que l’on retrouve les plus fortes primes d’assurance auto », mentionne le porte-parole de HelloSafe, Alexandre Desoutter.



Plus d’accidents aussi



De plus, les Laurentides font partie des régions avec un taux de fréquence des sinistres les plus élevés, soit 9,31%, alors que la moyenne québécoise est de 9,13%.&nbsp;



En matière de fréquence de survenance des sinistres, les Laurentiens prennent la 8e position sur 17.



Notons que la fréquence des sinistres se calcule à partir du nombre de véhicules assurés dans une région.&nbsp;Montréal centre est l’endroit où il se produit le plus de sinistres auto au Québec, 11,86%, suivi de Laval (9,76%), Montréal ouest (9,71%), Chaudière-Appalaches (9,65%) et Québec (9,61). En contrepartie, la région de la Montérégie est l’endroit le plus épargné par les sinistres auto avec 7,92%, suivre de près la Gaspésie (7,89%), le Centre-du-Québec (7,7%), l’Abitibi-Témiscamingue, (7,49%) et le Nord-du-Québec, région peu peuplée (6,92%).&nbsp;



Plus cher en dommages aussi&nbsp;



Toujours selon les chiffres de cette même étude, le coût moyen par sinistre s’élève à 4497$ en 2021 dans les Laurentides pour se situer encore là au-dessus de la moyenne du Québec de 4461$. Pour le coût moyen d&#8217;un sinistre, les Laurentiens occupent le 7e&nbsp;rang&nbsp;&nbsp;sur 17 région du Québec



         Ces données sont rendues publiques par HelloSafe, à partir des données du Rapport statistique sur l’assurance automobile au Québec 2021 du Groupement des assureurs automobiles du Québec.



HelloSafe, une plateforme de comparaisons de produits financiers au Canada, dont les assurances auto, vise aussi à décrypter certains sujets complexes pour les consommateurs et mettre à leur disposition les plus récentes informations.



Toutes les données région par région sont à retrouver&nbsp;dans la version complète de ce document&nbsp;:&nbsp;<a href="https://0py1m.mjt.lu/lnk/AUYAAGEB5awAAAABj2AAABU7amYAAAAARGUAANb4ABxmzgBjLF8j3nT76tB2SnG5n1Kq4mj2tAAUzK0/2/TDErMh-GGBFPSVpi-stH_w/aHR0cHM6Ly9oZWxsb3NhZmUuY2EvYXNzdXJhbmNlLWF1dG8vcmFwcG9ydC1zaW5pc3RyYWxpdGUtMjAyMQ" target="_blank" rel="noreferrer noopener">https://hellosafe.ca/assurance-auto/rapport-sinistralite-2021</a>

Les primes d’assurances auto plus élevées dans les Laurentides que la moyenne provinciale 

Une décision qui laisse sans mot les amateurs de parachutisme nombreux dans la région. Laissons Rosemarie Lauzon nous raconter à sa manière, bien à elle, qu&#8217;est-ce que le parachutisme? 



Recevoir le ciel en cadeau



Pour qu’est-c’est faire&nbsp;que je n’ai pas encore écris un roman là-dessus? Ça mérite un roman, un film, un discours, au moins. Adrénaline m’a fait tomber en amour avec le parachutisme, avec le lieu, avec eux. Savez-vous c’est quoi, vivre ? (Oh ! Que de prétention. Pardon.) En tant que parachutistes, on a goûté au ciel, au 7e&nbsp;ciel, et on a vécu quelque chose digne du 7e&nbsp;art.&nbsp; Comme les fois où j’ai eu la chance de flotter,&nbsp; accrochée sous ma voile,&nbsp; dans la lumière dorée,&nbsp; dans un décor à faire hérisser les poils.&nbsp; Mes pas se trimbalaient sur le plancher de nuages, Mes yeux scintillaient vers le champ d’atterrissage, Et mon cœur venait de trouver son ancrage.&nbsp; C’était le paradis,&nbsp;Batinses, dans le vrai sens du mot ! Le paradis, tu le ressens, aussi. Quand tu quittes l’avion pour plonger dans le firmament, c’est pas la sensation d’un manège qui te monte et te dérange le cœur, c’est plus doux&nbsp;: tu te sens flotter sur un tapis de vent. C’est comme si on ne tombait même pas dans le vide. Il faut attendre plusieurs secondes avant de commencer à se rendre compte qu’on a descendu. En bas, on touche le sol, mais on ressent le ciel. Ça, on peut le voir et le vivre au centre de parachutisme Adrénaline, de Saint-Jérôme.&nbsp; Allez-y… il vous reste 30 secondes et demis. Oh ! Ben oui, ça&nbsp;faaarme. Le terrain a été vendu.



 LE PARACHUTISME



Depuis l’enfance, j’ai toujours su que j’allais essayer cette expérience-là au moins une fois dans ma vie, et que ça allait être tiguidou ! Mais ça, ça voulait dire que j’allais monter jusqu’au zénith, et que rendu en haut, il faudrait que je lâche complètement prise… et que je me pitch en bas… Wôoo. Mais wô minute ! Je n’ai pas peur des hauteurs, et je les adore, même. Mais j’avais peur du vide. De l’espace entre le « en haut » et le « en bas ». Mais bon, le temps nous a fait grandir, moi et mon idée de sauter, et à l’âge de 17 ans, j’ai eu la joie de faire un tour d’avion pour essayer de me convaincre. Ça m’a convaincu et j’ai voulu sauter. Je l’aurais fait si j’avais apporté mon argent. Je l’avais laissé chez nous pour ne pas dépenser. Ah ! La belle idée. Pendant les 6 années qui ont suivi, à chaque été, je me tortillais intérieurement pour aller visiter l’azur. Mais j’avais perdu mon élan courageux.  À 23 ans, par un bel après-midi orageux, avec l’esprit de contradiction et le sens de l’aventure, je l’avais retrouvé, mon élan. Mais ça a l’air que ce n’est pas trop possible de sauter dans un ciel électrique. Donc j’ai réattendu. 9 jours plus tard, mon courage m’a écarquillé les paupières et m’a garocher en dehors de mon lit.  C’était aujourd’hui.  C’était en 2014, le 24 juillet.  C’était un jeudi.  C’était le moment où je m’envolerais.  J’ai toujours eu la tête dans les nuages, là, mon corps allait enfin la rejoindre.



J’arrivais… en même temps qu’un ciel gris. «&nbsp;NON, j’laisserai pas le ciel ennuager mes rêves.&nbsp;»&nbsp; Mais comment j’aurais pu ? Je ne pouvais pas être «&nbsp;ennuagée&nbsp;» par ce qui m’attendait. Les voiles qui ouvraient faisaient crier les passagers tandems qu’on entendaient s’épanouir à 5000 pieds de hauteur. (Oui, on parle en pieds, au Canada, dans le monde du parachutisme.) Et bientôt, j’admirais les voiles qui atterrissaient en donnant l’impression qu’il pleuvait des couleurs.



Aussitôt, on m’a annoncé que c’était à mon tour d’enfiler un harnais qui allait être&nbsp;clippé&nbsp;au parachute de l’instructeur.&nbsp;&nbsp;«&nbsp;Vous allez ne faire qu’un.&nbsp;», qu’on m’a dit. «&nbsp;Ben oui, ok. Mmm. M’en fou.&nbsp;» Je pensais qu’il y aurait du lousse entre moi et l’instructeur. Un espace vide. Oh ! Pas-Du-Tout. L’espace vide, il est quand on quitte l’avion, dans le ciel, partout autour de nous. Mais sinon, on est succionnés l’un contre l’autre,&nbsp;Batêche&nbsp;!&nbsp;



Mais bon, ça ce n’était pas tout de suite. Il fallait embarquer dans l’avion avant. On parlait, il me niaisait, je le croyais. Tout allait bien. Notre «&nbsp;ascenseur&nbsp;» décollait et j’avais l’impression que ça montait comme dans un téléphérique, retenu par un câble. J’étais prête et sereine. Et naïve, si vous saviez à quel point j’ai cru aux niaiseries de l’autre en arrière. En y repensant, ça me fait tellement rire. En passant, je vous souhaite d’avoir peur pour votre saut. Plus on a peur, plus on s’amuse. Et j’en ai l’expérience. Et si vous avez vraiment trop peur, les instructeurs sont là pour détendre l’atmosphère en vous faisant rire, et peuvent répondre à toutes vos questions sur la sécurité. Après, le soir même, vous dormez dans votre lit, pas dans votre cercueil. Je comprends totalement le&nbsp;chior&nbsp;émotif qui peut vous accompagner jusqu’en haut, le&nbsp;maudit.&nbsp;Mais je vous jure, que dès que c’est à notre tour (enfin) de fuguer de l’avion&nbsp;: on n’a plus faim, ni soif, ni froid, ni chaud, ni de fatigue, ni de stress… et on vit comme on n’a jamais vécu. C’est juste du pur bonheur. Bon, ça, sur le coup, je ne le savais pas. Je suis sortie de l’avion, avec le corps crispé et en retenant mon souffle. Je me suis bien aperçu, au bout d’une seconde et demi, que je n’avais pas peur pour de vrai. Et j’ai profité des 50 secondes d’intensité. Et des 4 minutes sous voile avec le paysage qui me faisait des coucous.&nbsp; J’ai touché le sol, j’ai ressenti le ciel, et je savais que je n’arrêterais pas.



J’ai fait 576 sauts.&nbsp; J’étais en extase encore au 300e. Et oui, moi aussi je hurlais sous voile, et&nbsp;Câline&nbsp;qu’on m’entendait. Surtout que j’ouvrais plus bas que les tandems.



Les disciplines, entre autres&nbsp;: De la VR (du vol relatif)&nbsp;: faire des figures en restant sur la bedaine à plusieurs.&nbsp; Du freefly&nbsp;: faire toutes sortes de cabrioles, mais assis, debout, la tête en bas… XRW&nbsp;: s’accrocher plusieurs voiles ensemble Swoop&nbsp;: atterrissage à grande vitesse Wingsuit&nbsp;: vol dans une combinaison ailés Moi, ma partie préférée, ça reste les ouvertures ! Parce que ça brasse. (Et ça rassure) &nbsp; Un de mes premiers sauts. J’étais tellement stressée que j’ai voulu annuler. Comme j’ouvre la bouche pour l’annoncer à mon entraîneur, il me dit que c’est l’temps d’embarquer dans l’avion.&nbsp;Shit! Je venais de perdre mes capacités à renoncer. Je l’ai suivi. J’ai monté stressée, mais j’ai sauté apaisée. Le saut n’était pas parfait, (Hé ! Que non…) mais j’ai pu me corriger très facilement. En sortant de l’avion&nbsp;: j’ai fait la tortue ! Je me suis retrouvée sur le dos, mais on m’avait montré à arquer. C’est ce que j’ai fait et je me suis rapidement remis dans la bonne position.&nbsp;



À la même époque, j’ai commencé à accumuler des photos et des vidéos que j’ai déposé dans un dossier nommé très ironiquement&nbsp;: «&nbsp;Activité banalement quotidienne&nbsp;». Ben&nbsp;Vinyenne, ça l’est devenu ! J’ai même eu mon parachute avant mon auto. (Bon, je n’ai toujours pas d’auto, mais au moins, depuis le temps, j’ai mon permis de conduire.) Il y a eu un temps où je sautais 4, 5, 6 fois par jour. Je finissais la journée avec la sensation d’être sur un quai chambranlant sur le bord de l’eau. L’adrénaline et l’endorphine faisaient effet. Et même, dès le premier saut. Si une journée je me sentais en dehors de mes souliers, j’allais sauter et ça me rendais de bonne humeur.



Est-ce qu’on saute l’hiver ? C’est rare mais ça peut arriver. Est-ce qu’on peut sauter d’un hélicoptère ou d’une montgolfière comme dans les films d’action? Mais certainement. Ça aussi c’est plus rare, mais ça arrive. Je me trouve chanceuse. Moi, c’que j’ai fait, c’est de sauter d’un hélico, l’hiver. Il y a deux choses qui m’ont fascinées. Primo, c’est fou à quel point le vent faisait une différence de température. Quand je me sortais un bras par le trou de la porte, il devenait glacial, et quand je le rentrais, il redevenait tiède.&nbsp; Secondo, quand on saute d’une montgolfière ou d’un hélico, ils sont statiques. Donc il n’y a pas de vent relatif. Donc, là, on a la sensation de tomber. Et j’AAAAADOOORE ça ! Mais juste quelques secondes, le temps de&nbsp;pogner&nbsp;notre vitesse terminale.&nbsp; (Pour les sauts de montgolfière, en général, c’est interdit, mais il y a des cas où on a une permission spéciale.)&nbsp;



Surprenants… L’eau, à partir d’une certaine distance, on ne la voit plus bouger. À l’horizontale, quand on observe la pluie, on voit un voile gris, mais pas le détail des goutes qui tombent. Et à la verticale, quand l’avion nous monte, et qu’on regarde les cours d’eau, à partir d’une certaine hauteur, l’eau se fige comme sur une photo.&nbsp; Et pour le vent, on est habitué en km/h.&nbsp; On demande à la manifeste la vitesse des vents, elle nous répond en mile à l’heure.&nbsp; On demande au pilote, il nous répond en nœuds à l’heure.&nbsp; Et il faut se débrouiller avec ça ! Mais on s’habitue assez vite.



 LES PAYSAGES DE SAINT-JÉRÔME.



Lorsque le jour s’endort, on peut voir LE soleil d’Hakuna Matata, Il est installé par le Roi Lion lui-même et il mélange son éclairage dans les nuages, ce qui fait rugir de bonheur les chanceux qui sautent dans ses rayons. Quoi que, cette image n’est pas propriété d’un centre de saut en particulier. Ce que le firmament de Saint-Jérôme offre particulièrement à ceux qui se suspendent à leur voile, est un joyeux contraste de nature et d’urbanité&nbsp;: Très loin sur le plancher du sud, coule, de l’est à l’ouest, le fleuve Saint-Laurent, qui s’étire tellement loin vers l’horizon, qu’on pourrait croire qu’il monte dans le ciel. Il faudrait demander aux parachutistes de Gatineau si, parfois, ils voient un fleuve au-dessus de leurs têtes. Au milieu du fleuve&nbsp;: le stade olympique et le reste d’une grande ville touristique qui s’étend sur son île. Et de chaque bord des rives, de larges espaces verts, qui nous observent de très loin. L’ouest&nbsp;est imbibé de lacs, qui sont quasiment plus nombreux que les arbres, et les arbres envahissent le territoire jusqu’à trop loin.&nbsp; Le nord-ouest ose repousser la forêt pour y faire pousser Les Grands Champs. Attrayants pour y atterrir, mais on ne peut pas y poser les pattes ni étendre notre voile en ce sol, sauf si la Détresse elle-même nous l’ordonne.&nbsp;&nbsp; Le nord fait émerger ses montagnes et ses vallées, comme le printemps fait émerger ses pissenlits, et le soir, un soupçon de lumières allumées, trahie les emplacements de quelques villages cachés.&nbsp; La banlieue qui recouvre l’est endommage la nature de ses teintes grisâtres lorsque règne le soleil, mais nous colore la vue et la vie quand le crépuscule lui fait scintiller les lumières dans ses rues. 



EUX.



Un ordre, une peuplade, une&nbsp;trâllée&nbsp;de passionnés.&nbsp; J’aurais voulu les présenter. Ils valent le détour.&nbsp; Ils me font rire en parodiant mon excessive expressivité. Mes mimiques, mes sons. Ils peuvent se déguiser en vaches, sauter avec des accessoires de piscine, sauter en wetsuit.&nbsp; Ou se donner le défi de s’arracher les poils avec des bandes de cire en chute libre. La montée peut être drôle, aussi. Avec la gang de singe, c’est pas rare que je pars à rire.&nbsp; Un exemple parmi mille autres&nbsp;: (quand on rentre dans l’avion, on s’attache. À 1500 pieds, on se détache.) Une bonne fois, y’en a un, Charles de son nom, qui dit à un passager tandem&nbsp;: «&nbsp;Là on se détache parce que la police peut pu nous voir.&nbsp;»&nbsp;&nbsp; Quand j’ai commencé, j’étais une des seules filles parmi les gars. J’ai adoré leurs niaiseries, leurs folies, leur énergie. Aujourd’hui, il y a de plus en plus de filles qui ose sauter dans l’aventure, et je les encourage énormément. Maintenant, comme quand je suis venu me donner du courage à 17 ans, je m’amuse à être à faire des tours d’avion. Ils appellent ça&nbsp;: être «&nbsp;co-pilote&nbsp;» (Ou co-pit). Ohh ! Le grand mot. Je ne touche à aucun instrument. Je dépose mon postérieur sur le banc confortable et mes yeux sur les paysages qui m’émerveillent encore. J’en ai mangé du ciel. Céline Dion a dit&nbsp;: «&nbsp;Sky’s the limit.&nbsp;» Moi je pense plutôt&nbsp;: sky’s the minimum, surtout pour les activités aériennes.



Bon, rendez-vous jusqu’au 16 octobre 2022 881&nbsp;Lamontagne (secteur Bellefeuille) sur «&nbsp;la montagne&nbsp;», au-dessus des&nbsp;BELLES&nbsp;feuilles 450-438-0855



Et l’année prochaine&nbsp;: Parachutisme Adrénaline déménage chez Parachutisme Montréal Rive-Nord, à Saint-Esprit. Vous viendrez&nbsp;écornifler.



Et comme on dit dans l’monde du parachutisme&nbsp;: Blue sky. Arc-en-ciella

Elle « s’envoie dans les  airs »  576 fois

Pas moins de 19 restaurants Tim Hortons de la région ont pris part, du 19 au 25 septembre, &nbsp;à ce mouvement de solidarité en soutien aux enfants atteints de cancer et à leur famille. L’an passé, la campagne avait permis d’amasser 61&nbsp;000 $ à l’échelle régionale. C’est tout dire du succès et de la réponse de la population et des entreprises pour cette édition 2022.



« Ces fabuleux résultats sont d’autant plus impressionnants considérant que chaque biscuit était vendu au coût de 1 $, le temps d’une semaine seulement. Nous sommes vraiment ravis que notre communauté ait décidé d’appuyer Leucan Laurentides-Lanaudière si chaleureusement. Les sommes amassées permettront, entre autres, d’organiser des activités sociorécréatives sécuritaires, encadrées et adaptées aux besoins des enfants atteints de cancer pour briser l’isolement des familles causé par la maladie », souligne Sarah Davidson, directrice, dons majeurs et partenariats, Leucan Grand Montréal.



Localement, Leucan Laurentides-Lanaudière a pu compter sur le soutien de Toyota Saint-Jérôme qui a gracieusement offert la location de deux voitures pour les livraisons des biscuits. L’Association a également tenu à remercier les familles d’Ève et de Gabriel, enfants de Leucan, qui ont redonné à la cause en vendant des Biscuits sourire dans leur entourage, ainsi que les dizaines de bénévoles qui sont venus prêter main-forte tout au long de la semaine pour aider à la confection et à la livraison des biscuits.



À noter que, dans l’ensemble de la province, c’est un total de 268 994 $ qui a été amassé dans le cadre de cette campagne pour Leucan.



Pour de plus amples informations sur les services offerts par Leucan, visitez le <a href="http://leucan.qc.ca.">leucan.qc.ca.</a>

Équipe de Tim Hortons tenant chèque de remise de montant

Leucan Laurentides-Lanaudière

Biscuit sourire

Tim Hortons

Nouveau record pour la campagne Biscuit sourire au profit de Leucan

Deux séjours pour un cumulatif de sept mois en Iran pour les réalisateurs aventuriers, Gilbert et Danielle Hubert. Une traversée de la mer Caspienne aux rives du trop fameux détroit d’Ormuz sur le littoral du Golfe Persique.&nbsp;



Plus de 20&nbsp;000 kilomètres sur les routes bitumées du Fars, les pistes du Kurdistan, les sables du désert du Kevir et la poussière du Dash-e-Lut à bord de leur véhicule tout-terrain.&nbsp;



De ce périple, ils rapportent un « roadbook » enluminé des plus beaux paysages de cette contrée surprenante, une explosion de couleurs et de nuances, un caléidoscope des vestiges les plus fins de cette destination.



Les palais et mosquée de l’Ispahan, les jardins de Chiraz, les demeures et les bains de Kashan, le bazar millénaire et tentaculaire de Tabriz, les toits terrasses dominant les ruelles rosées de Yazd, la merveilleuse cité du désert…Autant de lieux synonymes de paysages à couper le souffle et de vestiges chargés d’histoire.



Carnet de route 



Grâce au carnet de route de Danielle et Gilles, vous comprendrez mieux les nuances de ce pays et découvrirez le vrai visage de son peuple.&nbsp;



« Un peuple iranien à qui nous avons donné la vraie parole. Les femmes ont une place importante et ne sont pas soumisses comme le démontre les Occidentaux. Elles n’ont pas eu besoin de demander la permission à l’homme pour répondre à nos questions », lance M. Hubert, au bout du fil.&nbsp;



« Les Iraniens se confient avec sincérité, exprimant leurs espoirs et leurs rêves. Ce sont des jeunes qui feront l’Iran de demain, des hommes et des femmes, qui portent le hijab en public, mais qui se dévoilent complétement une fois dans la maison », mentionne l’homme de 70 ans.



Parmi les Iraniens rencontrés, âgés entre 20 et 45 ans, une dame a particulièrement retenu leur attention. « Elle est ingénieure, parle l’arabe, l’anglais et apprend le français. Nous sommes loin de l’Arabie Saoudite où les femmes ne conduisent un auto que depuis deux ans », assure M. Hubert qui contrairement à Danielle, n’a pas encore parcouru les cinq continents en 50 ans de voyage. Il a plutôt remonté les routes de la soie depuis Venise, l’Anatolie et le Moyen-Orient jusqu’en Chine de l’Ouest.&nbsp;



Ils se souviennent aussi d’avoir vu des jeunes faire la fête dans le désert, « Si les mollahs les attrapaient, c’était directement la prison ».



« Sur le chemin de l’Iran » prendra l’affiche, le 15 novembre, au Zénith à Saint-Eustache et le 21 novembre, au&nbsp;Théâtre Gilles Vigneault,&nbsp;à Saint-Jérôme, dans le cadre de la 50e&nbsp;saison des Grands exportateurs. Vous allez découvrir le véritable portrait d’une population que nous connaissons finalement peu.&nbsp;

Saint-Jérôme

Théâtre Gilles-Vigneault

Gala Zénith

L’Iran vu autrement

Uniquement, du 1er&nbsp;janvier 2022 au 3 octobre 2022, 1308 appels ont été répertoriés en lien avec des personnes en situation d’itinérance, à Saint-Jérôme.&nbsp;



Selon des chiffres remis par le Service de police de Saint-Jérôme à la demande formulée par Infos Laurentides, près de la moitié des appels sont pour des interventions sur la rue Labelle, là où se trouve la Hutte, qui a transformé l’église Sainte-Paule en dortoir pour les sans-abri, avec une panoplie de services pour les aider à reprendre le bon chemin.



Le 910, rue Labelle, voisin de la Hutte, a aussi été visité plusieurs fois par les patrouilleurs. Les autres endroits sont le 940, rue Du Souvenir, (90 fois) là où se trouvait le Book humanitaire avant la fermeture de son local, et près d’une quarantaine de déplacements des agents au 900, rue Jeannette Desrosiers.



Ces cartes d’appels ne comptabilisent pas le démantèlement majeur du campement illégal de tentes qui étaient alignées au fond du terrain de balle dans le parc Henri-Daoust, jusqu’à la fin octobre. Les itinérants avaient déménagé leurs pénates avec la fermeture de la halte chaleur du Book, faute de budget.



La présence des itinérants avaient donné lieu à l’intervention de plusieurs policiers pour la distribution de 38 constats d’infraction totalisant 10&nbsp;000$ en un seul week-end, remis aux sans-abri.&nbsp;



La santé mentale, un problème grandissant



Rien pour permettre aux policiers de respirer, eux qui sont déjà à bout de souffle, les histoires de santé mentale dans la population ne font que s’accumuler l’une derrière l’autre, fragilisant le policier, dont plusieurs quittent incapables de maintenir le rythme, la limite ayant été atteinte.&nbsp;



Au Canada, la santé mentale compte parmi les premières causes d’invalidité de longue durée et parmi les principales causes d’invalidité de courte durée, de conflits au travail et d’absence. Toujours au pays, en moyenne, 500&nbsp;000&nbsp;personnes s’absentent du travail chaque semaine à cause d’un problème de santé mentale.



Fatigue, anxiété et dépression



À Saint-Jérôme, la direction de la police sait très bien que le manque de sommeil à de lourdes conséquences, comme de l’anxiété et de la dépression, influençant ainsi la capacité décisionnelle de l’homme de paix.



«&nbsp;Je suis très fier que le SPVSJ soit innovateur dans ce domaine. Nos employés assurent la sécurité des citoyens 24/7. Le sommeil est essentiel à une préparation physique et mentale optimale de nos professionnels&nbsp;», mentionne Danny W. Paterson, M.O.M. directeur général adjoint et directeur du Service de police.



Des programmes pour abus sexuels



Le programme HAELO (voir autre texte) pour diminuer les troubles du sommeil s’inscrit dans un éventail de solutions déjà complet afin de bien soutenir ceux et celles qui sont au front lors des situations d’urgence.



En effet, le Service de police de Saint-Jérôme a déjà mis sur pied depuis quelques années, d’autres mesures pour supporter les enquêteurs qui doivent composer avec des histoires d’agressions sur des enfants, d’abus sexuels ou de violence conjugale.



Un psychologue deux fois par année rencontre dans un premier temps ces agents affectés à ce genre de couverture, jamais facile à traiter, surtout émotionnellement. Un autre psychologue passera du temps avec les superviseurs de ces policiers enquêteurs. « Les spécialistes disent que c’est important que ça ne soit pas le même psychologue, car le policier serait moins confortable de parler de ce qu’il vit réellement de peur que ce soit reporté à son supérieur. Chose certaine, ces démarches sont très appréciées », précise Caroline Bernard, M.O.M directrice adjointe du Service de police.



Avec la pandémie, les policiers jérômiens ne font pas exception de leurs confrères du reste du Québec avec une sollicitation inégalée, venant aggraver une réalité du métier déjà présente, le manque de sommeil.

Les policiers de Saint-Jérôme combattent l’itinérance au quotidien

Développée par le Dr Gilles Julien, la pédiatrie sociale en communauté est une approche de santé globale intégrant à la médecine, la pratique du droit et les sciences sociales, permettant d’offrir des soins et des services intégrés et personnalisés aux enfants en difficulté âgés de 0 à 18 ans, fragilisés par des conditions de vie difficiles.&nbsp;



Des professionnels qui parviennent à dépister, à réduire ou à éliminer les stress toxiques nuisant au développement d’un enfant,&nbsp;qui doit être au cœur de l’intervention pour créer un cercle protecteur autour de lui, composé de personnes significatives et de services personnalisés, afin de lui permettre de se développer pleinement, selon ses&nbsp;intérêts et ses forces.



On souhaite ainsi&nbsp;bâtir un filet de sécurité&nbsp;et&nbsp;redonner à l’enfant de même qu’à sa famille, du pouvoir et de l’espoir afin de reprendre le contrôle de sa vie, tout en étant accompagné par sa communauté.



Le Centre agit autour de 3 sphères : la&nbsp;santé, la pauvreté et l&#8217;éducation, en offrant des soins et des services gratuits aux enfants.



« Grâce à une équipe professionnelle passionnée qui a à cœur notre modèle clinique, Au coin de MA rue vient offrir aux enfants du territoire la possibilité de grandir en santé, dans le respect de leurs droits fondamentaux, aux côtés d’un réseau québécois de 46 CPSC&nbsp;», lance le Dr Gilles Julien, pédiatre social, directeur clinique et fondateur de la Fondation Dr Julien. Une fondation qui&nbsp;vient en aide annuellement à plus de 10 000 enfants issus de milieux défavorisés.



«&nbsp;Les services proposés par Au coin de MA rue sont complémentaires à ceux des autres organismes et apportent un appui supplémentaire aux familles, ce qui correspond pleinement aux valeurs de mobilisation pour la communauté et de bien-être des citoyens que la Ville soutient&nbsp;», précise&nbsp;Marc-Antoine Lachance, conseiller municipal du district n°8, à la Ville de Saint-Jérôme.



Dans un quartier défavorisé



Situé au 483, rue Labelle, au cœur d’un quartier défavorisé, le centre accueille aujourd’hui près de 120 enfants et leur famille, avec une équipe composée de deux médecins, une travailleuse sociale, une éducatrice spécialisée, une agente à l’accueil, une art-thérapeute, une intervenante en stimulation du langage et zoothérapeute, des stagiaires en psychoéducation et musicothérapie, et plusieurs précieux bénévoles.&nbsp;



« Notre équipe les accueille chaleureusement grâce à un local conçu comme une maison, avec une cuisine et une grande table autour de laquelle se créent des liens et une confiance, basés sur l’écoute, le partage et l’empowerment », mentionne Elisa Baldet, directrice générale d’Au coin de MA rue.



Cette dernière souligne travailler en collaboration avec différents services du CISSS des Laurentides, avec les écoles et garderies, avec d’autres organismes, afin de trouver les meilleures solutions pour aider, accompagner et outiller les enfants, dont&nbsp;les familles sont généralement touchées par une grande précarité financière et sociale.



L’équipe de professionnels aguerris vise à favoriser le développement optimal, la santé physique et psychologique, ainsi que le bien-être général de l’enfant.&nbsp;



Ces enfants ont des difficultés comportementales, difficultés psychoémotives, difficultés de langage, difficultés de développement, problèmes d’adaptation sociale et de croissance personnelle, avec TDA/TDAH, trouble/difficulté d&#8217;apprentissage et TSA, problèmes de santé physique et mentale, etc.



Campagne de financement



Opérationnel que depuis mai, à Saint-Jérôme, le&nbsp;Centre de pédiatrie sociale en communauté souhaite faire des petits et agrandir son territoire&nbsp;pour couvrir l’ensemble de la MRC Rivière-du-Nord.&nbsp;



Question d’assurer la pérennité du centre, un budget de 300&nbsp;000$ serait nécessaire, ce n’est pas le cas. Donc, les administrateurs du centre profiteront de la notoriété de la Guignolée Dr Julien, qui se tiendra du 15 novembre au 15 janvier, pour mettre sur pied sa première collecte de dons, avec la journée phare le 10 décembre. En attendant, il est toujours possible d’aider&nbsp;:&nbsp;<a href="http://www.fondationdrjulien.org/donner">fondationdrjulien.org/donner</a>&nbsp;(préciser dans les commentaires « Don pour Au coin de MA rue, CPSC RDN »).

Des professionnels aux services des enfants vulnérables

Par cette initiative, la compagnie d’embouteillage Coke Canada souhaite partager la joie, l’optimisme et la magie de Noël.  Ce sera l’occasion de rencontrer le père Noël et aussi de prendre quelques photos festives. D’autres arrêts sont prévus dans le Grand Montréal.



Dans le cadre de cette tournée, l’entreprise a également confirmé un don de 5&nbsp;000 $ à Grands Frères Grandes Sœurs de Montréal, un organisme qu’elle soutient tout au long de l’année.&nbsp;

camion Coke rouge décoré avec sapin de Noël et bohomme de neige

La caravane des fêtes Coca-Cola sera à Saint-Jérôme le 22 décembre

<h2>Journée internationale des personnes handicapées le 3 décembre</h2>



Cette année, le thème de cette journée, « Mieux accueillir les personnes handicapées, ce n’est pas si compliqué! », vous invite à devenir des acteurs de changement afin d’offrir l’accompagnement nécessaire aux personnes en situation de handicap qui bénéficient de services à la population.



Cette journée rappelle également l’importance de rendre la société plus accessible, équitable et inclusive, afin de contribuer à l’amélioration des conditions de vie de toutes les personnes handicapées, peu importe leur âge et leur handicap.



Regroupant plus d’une trentaine d’organismes oeuvrant auprès des personnes en situation de handicap et leurs proches résidant dans la région des Laurentides, le RCPHL a comme mission la défense collective des droits des personnes handicapées, depuis 40 ans déjà. Le RCPHL souhaite d’ailleurs souligner l’engagement exceptionnel de ses organismes membres qui favorisent la participation sociale des personnes en situation de handicap et le développement de leur plein potentiel.



Pour plus d’informations concernant les ressources disponibles pour les personnes handicapées et leurs proches, le site <a href="http://handicaplaurentides.ca">handicaplaurentides.ca</a> réunit une multitude d’informations pertinentes, et ce, pour tous les âges et tous les types de handicap (déficience physique, déficience intellectuelle, autisme, traumatisme craniocérébral, accident vasculaire cérébral (AVC), déficience visuelle, déficience auditive, sclérose en plaques, trouble développemental du langage (TDL), fibromyalgie, etc.).



&#8220;Nous invitons la population à souligner cette journée en contribuant avec nous à mieux accueillir et accompagner les personnes en situation de handicap afin de rendre notre société plus solidaire et inclusive!&#8221;, lance le RCPHL.

Regroupement pour la concertation des personnes handicapées des Laurentides

Pour une société plus accessible, équitable et inclusive

Dans la préparation de cet événement, la SNQL a su rallier un comité intersectoriel formé de plusieurs organismes de la communauté, dont la Ville de Saint-Jérôme, Culture Laurentides, Histoire et Archives Laurentides, le Cégep de Saint-Jérôme, le Mouvement national des Québécois, les Sentiers Magnus Poirier, ainsi que certaines personnalités retraitées reconnues telles Loyola Leroux et Charles Michaud, dans de but de célébrer ensemble la fierté québécoise.



Considérant les enjeux actuels reliés à la langue et à la culture, cette flamme qu’en 2023 la SNQL est fière de raviver a amené ce nouveau consortium à concevoir une proposition de projet social où seront interpellés à la fois les créateurs et créatrices ainsi que les hommes et femmes de lettres, dans un projet à trois volets, une sculpture monumentale ou installation, la consécration d’une phrase phare et l’engagement de tous les amoureux du Québec de la région. Ce projet fera l’objet d’un lancement majeur au printemps 2023.



Mais auparavant, à la Mezzanine du Théâtre Gilles-Vigneault le 21 janvier, la SNQL et ses collaborateurs ont souhaité mettre l’emphase sur «&nbsp;ce qui nous rassemble tous, c’est-à-dire nos valeurs identitaires d’hier et celles d’aujourd’hui, grâce au talent des gens d’ici&nbsp;». Événement animé par John Tittel de la Chambre de commerce du grand Saint-Jérôme et de Michael DPillz, rappeur, le dynamisme était à l’honneur, tout en n’enlevant rien à l’imminence des hommes politiques, le maire Marc Bourcier ainsi que les députés Rhéal Fortin et Youri Chassin, et les présidents du Mouvement national des Québécois et de la SNQL, Frédéric Lapointe et Vincent Lemay-Thivierge, dans un hommage au drapeau.



Finalement, pour s&#8217;assurer d&#8217;une présence intergénérationnelle, les jeunes du choeur de l’Académie Lafontaine, sous la direction de David Leblanc, ont fait vibrer le public reprenant des chansons québécoises, dont certaines de Jean Lapointe. Charles Michaud, journaliste retraité bien connu pour sa verve et son sens de l’humour, a entraîné les participants, en mode ici et maintenant, en s’amusant un peu, dans une réflexion à propos de ce qui caractérise la Québécoise et le Québécois d’aujourd’hui. Le tout s&#8217;est terminé sous le signe de la fête où musique, chant et boustifaille étaient au rendez-vous.

Choeur de l'Académie Lafontaine en prestation

Société nationale des Québécoises et des Québécois des Laurentides

Le 75e anniversaire du fleurdelisé célébré au Théâtre Gilles-Vigneault

Le concours La minute Respire s’adresse aux enseignants et intervenants scolaire ou communautaire des Laurentides et se veut une occasion d’aborder le sujet du stress et de l’anxiété avec les jeunes et les adolescents qu’ils côtoient afin de leur donner une <a href="https://tuaslederniermot.com/outils/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">boîte à outils</a> pour une meilleure gestion du stress, de l’anxiété ou de l’hyperconnectivité.&nbsp;



« Lorsque nos jeunes et adolescents vivent des périodes de stress et d’anxiété, le rôle de première ligne des enseignants et intervenants scolaire ou communautaire est à la fois important et essentiel », souligne Nadia Dahman, présidente de la Fondation André-Boudreau.



Pendant la semaine du 6 au 10 février, les enseignants et intervenants scolaire ou communautaire des Laurentides sont invités à prendre une minute par jour pour procéder à une respiration profonde, l’un des <a href="https://tuaslederniermot.com/moyens-de-gerer-le-stress/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">moyens privilégiés pour aider les jeunes et adolescents à gérer leur stress</a>.&nbsp;



Les participants courent la chance de recevoir la visite de Pascal Morrissette, animateur jeunesse et porte-parole de la campagne Respire à leur établissement pour une rencontre interactive et ludique portant sur le stress et l’anxiété.



Les intéressés doivent visiter le <a href="https://tuaslederniermot.com/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">tuaslederniermot.com</a> pour s’inscrire au concours.&nbsp;



<h2>Qu’est-ce que la campagne Respire?</h2>



La campagne Respire donne aux jeunes, aux parents, aux enseignants et aux intervenants des outils concrets leur permettant de prendre soin de la santé mentale des jeunes.



Via son site Web <a href="https://tuaslederniermot.com/" target="_blank" rel="noreferrer noopener">tuaslederniermot.com</a>, la campagne propose du contenu éducatif et des outils téléchargeables pour les jeunes et les adultes qui les accompagnent afin d’amorcer une réflexion par rapport au stress et à l&#8217;anxiété et obtenir quelques pistes de solution et d’intervention.



De plus, les capsules sur le compte TikTok <a href="https://www.tiktok.com/@tuaslederniermot?lang=fr" target="_blank" rel="noreferrer noopener">@tuaslederniermot</a> et mettant en vedette de populaires créateurs de contenu appréciés des jeunes (Claudie Mercier, Ari Brewer, Audrey Daigneault, Emy Lalune, Alice Morel-Michaud, Alexis et Mathis St-Laurent) permettent d’aborder le sujet sur un ton humoristique, dans un format qui plaît et interpelle les jeunes.



De par son engagement à faire une réelle différence dans la vie des enfants et des adolescents, l’animateur jeunesse, Pascal Morrissette, apprécié autant des jeunes que des parents, est porte-parole de la campagne Respire.

Fondation André-Boudreau

Santé

Anxiété chez les jeunes : lancement du concours La minute Respire

La Société Alzheimer Laurentides présente La Proche Aimante, une bière blonde développée par Les brasseurs de Montebello et dont la vente permettra d’amasser des fonds afin de bonifier les services offerts sur le territoire. Pour chaque bière vendue, 50 cents seront remis à l’organisme. 



Le lancement officiel de la bière a eu lieu le vendredi 27 janvier à la succursale Tite Frette de Saint-Sauveur. La Société Alzheimer Laurentides tient d&#8217;ailleurs à remercier tous les collaborateurs qui ont permis la réalisation de ce projet.



Vous pouvez maintenant vous procurer La Proche Aimante chez certains détaillants <a href="http://brasseursdemontebello.com/nos-d%C3%A9taillants/">Les brasseurs de Montebello</a>. Si votre détaillant préféré ne la détient pas, n’hésitez pas à en faire la demande.

Société Alzheimer Laurentides

La Société Alzheimer Laurentides lance la bière La Proche Aimante

Cinéma Carrefour du Nord

« La Cordonnière » à voir au Cinéma Carrefour du Nord

L’amour du métier, malgré plusieurs problématiques au menu  

Moisson Laurentides

Du golf pour contrer la faim dans la région

Coalition Santé Laurentides

La Coalition Santé Laurentides veut des engagements clairs

Budget fédéral : Rhéal Fortin dresse ses attentes

Comme nous l’annoncions en février dernier, le ministre de la Santé et des services sociaux, Gaétan Barrette, a confirmé, vendredi, la construction à Sainte-Thérèse d’un tout nouveau centre de réadaptation pour jeunes en difficulté d’adaptation. Le coût estimé du projet est de 110 M$. Il devrait voir le jour quelque part en 2023.
Accompagné des ministres Christine St-Pierre et Lucie Charlebois de même que d’Yves St-Onge président directeur général adjoint  du CISSS des Laurentides, et Sabrina Chartrand,  candidate libérale dans la circonscription de Groulx aux prochaines élections municipales, M. Barrette a dit de cette annonce qu’elle était «l’une des plus importantes» qu’il aura faite au cours de son mandat.
«C’est l’annonce qui démontre le plus ce qu’est l’essence, le fondement du ministère de la Santé et des services sociaux, a mentionné Gaétan Barrette. La réadaptation de la jeunesse, c’est notre futur. Il y a des interventions que l’on doit faire et cela nécessite des investissements !», a-t-il insistéé avant de préciser qu’il souhaite faire de ce projet d’envergure, «un modèle pour l’ensemble du Québec».
«Ce sera l’un des gros centres de ce type-là au Québec. On le veut au-dessus de notre moyenne, d’où l’importance de l’investissement».
12 000 mètres carrés
C’est en raison du piètre état des installations de Saint-Jérôme et de Sainte-Sophie, dans lesquelles sont actuellement hébergés 90 jeunes en difficulté, que l’on construira, à Sainte-Thérèse, cette nouvelle bâtisse d’une superficie de 12 000 mètres carrés à laquelle s’ajoutera un aménagement extérieur de près de 9700 mètres carrés.
Les jeunes qu’on y hébergera auront accès à des infrastructures modernes dans lesquelles on retrouvera notamment un laboratoire pour l’enseignement des sciences, une salle de musique, un gymnase, un terrain de soccer extérieur et une patinoire extérieure.
«Bref, de renchérir le ministre de la Santé, toutes les choses qui sont nécessaires à l’épanouissement de ces jeunes-là.Ce sera un hébergement convivial, ouvert, qui va permettre de faire en sorte que les intervenants  puissent donner des services de grande qualité.»
Notons que 60 autres jeunes en difficulté ou présentant une déficience mentale ou physique ou encore un trouble du spectre de l’autisme continueront d’être accueillis à Huberdeau.
«Un ange-gardien»
Pour expliquer l’aboutissement de ce projet, Gaétan Barrette n’a pas manqué de saluer le travail de ses collègues ministres, Christine St-Pierre, ministre responsable de la région des Laurentides, et Lucie Charlebois, ministre déléguée à la Protection de la jeunesse. Au sujet de Mme St-Pierre, il l’a qualifiée «d’ange-gardien des Laurentides». «Ce dossier, elle l’a défendu à cœur et avec cœur», a dit M. Barrette.
Quant à Mme Charlebois, il a affirmé qu’elle avait piloté ce dossier «avec beaucoup de brio, d’intensité, d’attention et d’affection».
«En tant que société, a-t-elle indiqué, remerciant au passage, pour leur dévotion, celles et ceux qui oeuvrent au sein des centres jeunesse, nous avons le devoir de fournir aux adolescents en difficulté les meilleurs outils possibles pour développer leur plein potentiel. Les jeunes sont l’avenir de notre société et il est de notre devoir de veiller à leur-bien-être».
Et pour ceux qui douteraient des avancées de ce projet si jamais un changement de gouvernement devait survenir en octobre prochain, Gaétan Barrette a été bien clair à ce sujet.
«Le projet est inscrit au PQI (Plan québécois des infrastructures).La prochaine étape, c’est la construction. Le projet va se réaliser !», a-t-il assuré.
&nbsp;
&nbsp;

Gaétan Barrette

Au coût de 110 M$: Gaétan Barrette confirme la construction d’un centre jeunesse

L’annonce par le ministre Gaétan Barrette de la modernisation d’une partie de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme a été fort bien accueillie par le maire Stéphane Maher et le député Marc Bourcier, alors que le candidat Youri Chassin est dans un autre registre…
«Une nécessité…»
«Sachant que la région des Laurentides est en forte croissance, l’agrandissement de l’Hôpital régional n’est pas un luxe, mais bien une nécessité. L’annonce d’aujourd’hui est un important pas en avant»,commentait, vendredi, le maire de Saint-Jérôme par voie de communiqué.
Qui plus est, pour le premier magistrat jérômien, l’annonce vient supporter le projet de créer un pôle santé dans le secteur du centre hospitalier.
«En tant que capitale régionale, Saint-Jérôme doit pouvoir assurer un futur où les soins de santé sont aisément accessibles à la population. À cet égard, je suis fier de constater que le gouvernement encourage le développement de notre pôle santé où des investissements publics et privés majeurs de plus d’un milliard de dollars sont appelés à se concrétiser au cours des prochaines années», note-t-il.
«Un fichu de bon coup»
Pour sa part, invité à prendre la parole au moment de l’annonce, le député de Saint-Jérôme, Marc Bourcier, a souligné sa joie de voir le projet se concrétiser.
«C’est une super bonne nouvelle. L’Hôpital régional de Saint-Jérôme entre dans une nouvelle ère, une ère de modernité», a dit M. Bourcier.
Le député Bourcier a poursuivi son allocution, en écorchant au passage les intervenants qui ont confié leurs revendications aux médias régionaux (c’est tout particulièrement le cas d’Infos Laurentidesqui a fait de la modernisation de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme un dossier important; prenant ainsi le parti de la population, pour qu’elle profite de meilleurs services).
«Nous (députés péquistes Sylvain Pagé, Claude Cousineau et lui-même) avons plutôt fait un travail dans l’ombre…», dira-t-il à cet égard. «Je salue cette annonce du ministre de la Santé que je remercie. C’est un fichu de bon coup. L’Hôpital va prendre un sérieux coup de jeune».
«Électoraliste»
Le ton est différent du côté de Youri Chassin, candidat de la Coalition Avenir Québec dans Saint-Jérôme, qui qualifie la nouvelle d’«annonce électoraliste du ministre Barrette et des libéraux».
«L’Hôpital régional de Saint-Jérôme ne répond plus aux normes actuelles depuis longtemps et la population des Laurentides mérite mieux. Le personnel soignant se démène dans des conditions impensables. Le fait que le ministre de la Santé se réveille à quelques jours du déclenchement des élections montre tout le cynisme de ce gouvernement. S’il croit que les Jérômiens oublieront l’inaction libérale dans ce dossier depuis des années, le ministre Barrette se trompe lourdement. C’est clair que la population des Laurentides ne se laissera pas berner par une annonce semblable», de dire M. Chassin.
&nbsp;
&nbsp;

Hôpital régional de Saint-Jérôme

Youri Chassin

Youri Chassin parle d’une «annonce électoraliste»: Stéphane Maher et Marc Bourcier se réjouissent…

«Je suis très content. Je crois qu’aujourd’hui, il faut célébrer une communion entre les patients, les médecins, les professionnels, l’administration (lire les dirigeants du CISSS des Laurentides) et le gouvernement. Tout le monde s’est mis ensemble et nous avons réussi»,lance le Dr Marc Belliveau.
Pour le président de l’Association des médecins et professionnels pour l’avancement de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme (formée pour mener à bien le dossier de la modernisation de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme), l’annonce faite quelques minutes plus tôt par le Dr Gaétan Barrette représentait l’aboutissement de nombreux efforts; parsemés, souligne-t-il, de moments de joie, mais aussi de déception à certaines occasions.
«Jamais on n’a eu de garantie. On croyait au dossier. Il y a eu des moments plus difficiles que d’autres. On a travaillé tous ensemble et aujourd’hui, il faut célébrer», note-t-il.
Jusqu’au bout…
Bien entendu, le Dr Belliveau aurait souhaité davantage, mais «il faut bien dire que l’argent ne pousse pas dans les arbres». Ce qui ne l’empêche pas d’avoir bon espoir pour l’avenir.
«Il y a un petit côté déception…», avoue-t-il. «Je célèbre aujourd’hui, mais on va continuer à faire avancer le dossier et faire en sorte d’aller jusqu’au bout».
En outre, on s’accorde pour dire qu’il faudra six ans pour mener à bien les travaux projetés. Ce qui veut dire que les médecins et le personnel soignant pourraient devoir continuer à travailler dans des conditions physiques difficiles.
Le Dr Belliveau en convient, mais croit, tout de même, à des jours meilleurs.
«Six ans, ce n’est pas assez vite. Mais, il faut dire qu’on savait (que ça serait comme ça). Je pense que l’administration est consciente du contexte. Je crois qu’ils ont des moyens.»
Tout de même, aucune inquiétude à y avoir pour les patients, quant à lui.
«Si ma mère ou mon père avait besoin d’une chirurgie, avec les médecins (et le personnel médical) qu’il y a ici, je les amènerais à mon hôpital, sans aucune hésitation.»
«Je souris…»
Par ailleurs, le Dr Belliveau s’est-il senti pointé du doigt par la remarque du député Marc Bourcier, relativement aux gens qui ont passé par les médias régionaux pour transmettre leur message (voir autre texte en page 5)?
Il a esquissé un sourire à la question du représentant d’Infos Laurentides, a marqué quelques secondes de silence, avant de répondre: «Je souris à son commentaire&#8230;Mon sourire et mon silence vont servir de réponse».
Car pour lui, il était nécessaire de poser des gestes significatifs.
«Je suis un Acadien qui vient d’un peuple qui a subi des choses difficiles (entre autres, les événements de Fredericton ont eu lieu le jour même). L’union fait la force. Les Laurentides l’ont démontré. Les images et notre présentation étaient nécessaires».
Ce qui ne l’empêche pas d’avoir de bons mots pour le ministre Barrette.
«Je pense que le Dr Barrette a eu un moment d’émotivité. Je crois qu’il était content de faire cette annonce-là. Je ne dis pas que c’était facile de nous donner… Quand tout le monde s’est levé (il a eu droit à des applaudissements nourris après son allocution), j’ai senti un ministre heureux. Il sentait la reconnaissance et il a un peu célébré avec nous. On vit dans un domaine difficile, où les gens sont malades. Pour lui, un petit cinq minutes de célébration, il faut le prendre quand ça passe…»
&nbsp;
&nbsp;

Il est confiant pour l’avenir: «Aujourd’hui, il faut célébrer…» -Dr Marc Belliveau

Les Panthères de Saint-Jérôme accueilleront la Coupe Fred-Page à l’aréna régional de la Rivière-du-Nord, du 28 avril au 3 mai 2020.
Ce qui signifie que la formation jérômienne participera à la 26e édition du Championnat de hockey junior A de l&#8217;Est du Canada.
Outre les Panthères, les champions des séries éliminatoires de la Central Canada Hockey League, de la Ligue de hockey des Maritimes et les champions ou finalistes de la Ligue de hockey junior AAA du Québec (si les Panthères remportent les grands honneurs des éliminatoires 2020) seront de la partie.
Impressionnés
La nouvelle a été confirmée jeudi dernier par les dirigeants de la LHJAAAQ, au terme du processus de sélection mené par un comité indépendant.
Le comité indépendant était composé de Richard Liboiron, ex-éducateur physique et homme de hockey connu au Québec, Serge Vleminckx, ex-journaliste, et Sandy Sicondolfo, homme d&#8217;affaires connu dans le monde de la mode et ex-joueur dans la LHJAAAQ.
«Nous avons été impressionnés par les présentations tenues par les organisations de Saint-Jérôme et de Terrebonne. Comme on s’y attendait, ces deux formations de la Ligue de hockey junior AAA du Québec nous ont démontré qu&#8217;elles étaient capables de prouver leur capacité à organiser un événement d&#8217;importance, faisant rayonner la Ligue. À notre avis, la Ville de Saint-Jérôme et l’organisation des Panthères organiseront un championnat mémorable. Assister à un événement aussi important dans un amphithéâtre tel celui de la Rivière-du-Nord, rendra l&#8217;expérience passionnante pour les partisans de la région des Laurentides et de la province du Québec», de commenter Richard Liboiron.
À un autre niveau
Ce sera la troisième fois que Saint-Jérôme recevra la Coupe Fred-Page. Ce fut le cas en 2007 et 2014.
«L’organisation des Panthères, la Ville de Saint-Jérôme et les villes composantes de la Régie intermunicipale de la Rivière-du-Nord sont ravies d’accueillir la Coupe Fred-Page pour une troisième fois», indique Sylvain Charbonneau, directeur du projet et gouverneur des Panthères de Saint-Jérôme (qui a travaillé au dossier en compagnie du directeur général et instructeur-chef Pierre Bergeron). «Nous savons qu&#8217;il y aura des défis et beaucoup de travail, mais nous sommes en même temps très excités d&#8217;avoir cette opportunité. Nous sommes reconnaissants d&#8217;avoir été choisis pour l&#8217;édition 2020. Notre objectif est d’amener la Coupe Fred-Page à un autre niveau.»
David Perron
Parlant des Panthères, il y a un peu de l’organisation dans la présente finale de la Coupe Stanley qui oppose les Bruins de Boston et les Blues de Saint-Louis.
En effet, David Perron a évolué pour l’organisation au cours de la saison 2005-2006.
On le doit au directeur général de l’époque Bill Hattem, comme le relate le reportage diffusé sur les ondes de TVA Sports la semaine dernière.
À voir au: [www.tvasports.ca/2019/05/22/david-perron&#8211;tout-a-commence-a-saint-jerome?]

Panthères de Saint-Jérôme

Championnat de hockey junior A de l’Est du Canada: la Coupe Fred-Page 2020 présentée à Saint-Jérôme

Pourquoi aller trop loin pour pêcher la truite, alors qu’on peut le faire à deux pas de chez nous, dans la rivière du Nord?
C’est la question qu’on est en droit de se poser depuis mercredi dernier alors que les dirigeants de la Fondation de l’eau Rivière du Nord ont ensemencé des milliers d’ombles de fontaine (truite mouchetée) dans la rivière.
C’est le cas, entre autres, sous le pont Bélanger, au centre-ville et dans le Parc régional de la Rivière-du-Nord.
Des occasions
Il s’en est sans doute pris quelques-unes samedi dernier alors que quelque 125 pêcheurs ont participé au Tournoi de pêche urbaine qu’organisaient les dirigeants de la Fondation dans le parc régional.
Mais il sera également possible de le faire à ces occasions:
&#8211; Tous les mardis soir dès 18 h – Soirées de pêche urbaine («Street Fishing») permettant de découvrir le circuit de pêche urbaine et ses accès.
&#8211; Le 15 juin dans le secteur du parc Castonguay à Saint-Jérôme, le Tournoi de pêche «Mouche unique».
&#8211; Le 22 juin au parc Sigefroy à Saint-Jérôme – Programme éducatif «Pêche en herbe» offert aux jeunes de 9 à 12 ans.
Informations: [www.festivalpecheurbaine.com].
&nbsp;
&nbsp;

Grâce à la Fondation de l’eau Rivière du Nord: des milliers de truites vous attendent…

Pourquoi un nouveau site web? Pour découvrir les villes et villages, les gares, les haltes gourmandes, les beaux paysages et les 234 km d’une piste accessible à tous.
Osez partir à vélo avec les amis, avec les petits ou avec votre amour en ayant des informations au bout des doigts sur vos écrans. Pour visualiser votre parcours, vos temps d’arrêt pour les pauses fringales, les bons repas bistro, les crèmes glacées promises, les micro-brasseries où l’on rit, les cappuccinos sur le pouce, les pique-niques sous le bras ou chez les aubergistes et les campings accueillants.
Osez ralentir et prenez le temps de visiter votre [ptittraindunord.com]. Abonnez-vous à l&#8217;infolettre en cliquant sur le petit + à droite de l’écran pour y suivre les coups de coeur des amis du P&#8217;tit Train du Nord.
Partagez le lien avec votre réseau pour diffuser ce nouveau moyen de visiter. Découvrez une nouvelle façon de bien connaitre ce beau et long sentier.
Le nouveau site est une réalisation de la sympathique agence Tramweb. À noter que pour des informations sur les forfaits et pour vos réservations d’hébergement, consultez le guide officiel du Parc linéaire, sur le site de Tourisme Laurentides.

Parc linéaire Le P'tit train du Nord

Un nouveau site Internet pour le P’tit Train du Nord

«Basée à Saint-Jérôme, l’entreprise Lion a connu une belle croissance économique au cours des dernières années. Ce soutien du gouvernement lui permettra de continuer son développement en plus de contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre», souligne Youri Chassin.
Le député de Saint-Jérôme réagissait ainsi la semaine dernière à l’annonce faite par son collègue ministre des Transports, François Bonnardel, relativement à une bonification du Programme de soutien au déploiement des autobus scolaires électriques, tout en confirmant le maintien, à 125 000 $, de l’aide financière bonifiée qui était consentie pendant les deux premières années du programme pour l’achat d’autobus scolaires neufs de type C, comme ceux produits par La Compagnie Électrique Lion, et de type D.
Ce qui, on l’aura compris, est une bonne nouvelle pour les dirigeants de l’entreprise jérômienne localisée en bordure de l’autoroute 15 Nord.
&nbsp;
Réduction des GES
«Votre gouvernement a à cœur de contribuer à la réduction des gaz à effet de serre en favorisant l’électrification des transports. Pour ce faire, nous annonçons aujourd’hui une aide financière bonifiée qui permettra de soutenir l’électrification du parc de véhicules utilisés pour le transport scolaire, en plus d’encourager la croissance d’entreprises québécoises comme La Compagnie Électrique Lion», de commenter le ministre Bonnardel, au moment de faire l’annonce le lundi 12 août dernier.
De façon concrète, l’annonce fait en sorte, selon les vœux du ministre, de permettre à des commissions scolaires et à des établissements d’enseignement privés agréés aux fins de subventions du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur qui assurent le transport scolaire ainsi qu’à des transporteurs qui ont des contrats avec ces organisations d’obtenir une aide financière pour l’achat d’un autobus scolaire entièrement électrique.
De plus, des modifications ont été apportées au Programme de soutien au déploiement des autobus scolaires électriques de façon à rendre admissibles les autobus scolaires électriques de type A.
L’aide financière, qui prend la forme d’un rabais unique à l’achat, est de 100 000 $ pour les véhicules de type A et de 125 000 $ pour les autobus scolaires de type C ou D.
&nbsp;

Compagnie Électrique Lion

Aide financière accordée aux autobus scolaires électriques: Lion profitera du support gouvernemental

MATHIEU LOCAS
Au cours de la dernière année, vous avez été nombreux à m’écrire pour décrier la nouvelle tarification du Quartier 50+. Pour ceux qui ne connaissent pas le Quartier 50+, il s’agit du bâtiment situé sur le boulevard Jean-Baptiste-Rolland, presque à la frontière de Saint-Jérôme et Saint-Antoine (ancien Eagle Lumber et Bocan). On y retrouve des activités sociales, sportives et culturelles, en plus de conférences et des expositions pour les gens de 50 ans et plus.
Pour y être membres, les Jérômiens doivent payer la somme de 25 $. Ensuite, la tarification varie selon l’activité choisie. L’an dernier, Saint-Jérôme a dit: «Assez, c’est assez!»
Elle a donc imposé un tarif plus élevé aux citoyens des autres villes. Au fil des mois, j’ai dû recevoir une bonne demi-douzaine de courriels décriant la situation. Des citoyens de Sainte-Sophie ou Prévost devaient payer jusqu’à 400 $ pour un abonnement. Certains plantaient le maire de vouloir faire de l’argent sur le dos des utilisateurs alors que d’autres se désolaient de perdre leurs amis.
À chacune des fois, ma réponse était la même: «Le Quartier 50+ est financé par tous les Jérômiens pour une catégorie de Jérômiens. Il est normal que les autres villes paient le gros tarif.»
Au cours des 30 dernières années, j’ai souvent entendu des contribuables de villes limitrophes à Saint-Jérôme se vanter du bas taux de taxation de leur municipalité. Ces mêmes personnes chialaient aussi de devoir payer plus cher que moi lorsque venait le temps de s’inscrire à des activités sportives et culturelles. Dans la vie, on ne peut pas avoir le beurre et la crème. Tu veux payer moins cher de taxes, alors il ne faut pas se plaindre quand la ville centre charge plus cher aux non-résidants. J’y reviendrai dans quelques semaines sur les enjeux de Saint-Jérôme comme ville centre.
Annonce le 29 août
Pour revenir au Quartier 50+, il y a eu des discussions récemment entre le maire Stéphane Maher et la ministre responsable des Aînés, Marguerite Blais. La seule raison du retour en politique de cette dernière est de venir en aide aux aînés. Pas question pour elle de voir des citoyens de son propre comté ne pas pouvoir bénéficier d’activités à un prix raisonnable.
Du côté de Saint-Jérôme, le discours demeure le même: «Pourquoi devrions-nous payer pour les villes qui ne veulent pas mettre la main dans leurs poches pour offrir des services à leurs concitoyens!»
La ministre et Saint-Jérôme ont mis de l’eau dans leur vin pour trouver un terrain d’entente. Le 29 août prochain, il devrait (je dis «devrait», car l’agenda peut changer rapidement) y avoir un point de presse pour faire une annonce commune.
Certaines villes acceptent de payer une partie de la facture. Saint-Jérôme accepte de baisser sa facture. Et le gouvernement du Québec, via le Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides, va compenser en partie la Ville de Saint-Jérôme afin que des gens de 50 ans et plus puissent s’inscrire au Quartier 50+ à un tarif raisonnable.
Quel sera ce tarif? Aucune idée!
Quelles villes acceptent de contribuer? Aucune idée!
En fait, on m’a dit, sourire en coin, qu’il fallait se garder de l’information pour la conférence de presse.
Par contre, je sais une chose, les citoyens de Saint-Jérôme vont continuer de payer 25 $ pour l’inscription.
&nbsp;
On verra l’annonce, mais voilà une histoire qui se termine bien. Saint-Jérôme a une responsabilité comme ville centre, mais elle n’est pas obligée de payer la traite à tout le monde. Les propriétaires ont décidé de ne pas habiter la grosse ville pour payer moins cher de taxes. Je respecte ça. Par contre, quand vient le temps de piger dans le buffet de services, il est tout à fait normal que le choix soit moins grand.
&nbsp;
Je demeure disponible à mathieu.locas@hotmail.com.
&nbsp;

Quartier 50+

Quartier 50+: Saint-Jérôme ne doit pas payer pour les autres

C’est samedi matin qu’ont été célébrées, à la cathédrale de Saint-Jérôme, les funérailles du président de Savoura, Stéphane Roy, et de son fils Justin. Des centaines de personnes étaient présentes, dont la ministre des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, et son collègue ministre de l’Agriculture, André Lamontagne. La cérémonie empreinte d’une grande émotion a permis à des proches et amis des défunts de leur rendre un vibrant hommage.
Rappelons que M. Roy et son fils Justin sont décédés tragiquement au cours d’un déplacement en hélicoptère (en direction de la résidence de Sainte-Sophie), à la mi-juillet, au retour d’un voyage de pêche à Lac-De La Bidière, dans les Hautes-Laurentides.

Savoura

Stéphane Roy

Funérailles émouvantes

«Tout le monde est concerné par les agressions sexuelles et le harcèlement sexuel. Il y a beaucoup de travail d’éducation à faire. Il faut arrêter de banaliser les gestes», estime Chantal Dubois, intervenante du CALACS-Laurentides.
Il y a différentes façons de dire non
Le mouvement #moiaussi qui a pris d’assaut les réseaux sociaux depuis quelques jours permet de constater la virulence de la problématique entourant les agressions sexuelles. D’ailleurs, plusieurs femmes hésitent à parler de leur expérience, ignorant si ce qu’elles ont vécu est une véritable agression.
«Des femmes croient à tort que puisqu’elles ne se sont pas débattues et qu’elles n’ont pas dit &#8220;non&#8221;, ce n’est pas une agression sexuelle. Pourtant, il existe plusieurs façons de dire non. Avoir le corps raide et pleurer en sont chacune une», précise Chantal Dubois.
Éducation sexuelle chez les jeunes
Afin de démystifier le tout et de prévenir les doutes, le CALACS-Laurentides offre des ateliers de prévention et d’éducation sexuelle à la polyvalente de Saint-Jérôme, depuis plus de 20 ans. Ces derniers visent notamment à expliquer aux jeunes la notion de consentement à travers les valeurs de liberté, de respect, de sécurité et d’égalité. Durant ces ateliers, les jeunes sont informés de la loi et apprennent à reconnaître ce qui caractérise une agression sexuelle.
«Les gens banalisent certains gestes et certaines paroles. Ils se disent que ce n’est pas grave. Or, plusieurs d’entre eux sont répréhensibles par la loi», indique Chantal Dubois.
Le ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport du Québec, Sébastien Proulx, soutient, depuis son arrivée en fonction, l’importance du cours d’éducation à la sexualité en milieu scolaire, et ce, dès le primaire. Or, lors d’une entrevue accordée à Paul Arcand, le 20 octobre, le ministre a mentionné que seules 200 écoles ont intégré le cours. Pourtant, le ministère offre la formation nécessaire pour mettre en place le programme dans les écoles.
D’ici l’année prochaine, le ministre compte prendre des mesures afin d’inciter un plus grand nombre d’écoles à intégrer le programme et ainsi outiller et éduquer les jeunes en matière sexuelle.
&nbsp;
Les agressions sexuelles au Québec, en chiffres.
Selon les dernières statistiques policières du ministère de la Sécurité publique:
84 % des victimes sont de sexe féminin;
96 % des auteurs présumés sont de sexe masculin;
66 % des victimes d&#8217;infractions sexuelles sont âgées de moins de 18 ans.
&nbsp;

Kn Agressions Sexuelles Et Harcelement Sexuel Chantal Dubois Calacs Laurentides

«Tout le monde est concerné par les agressions sexuelles»

«Ça fait 17 ans que je suis là. J’ai toujours eu une approche de guerrier pacifique, je travaille avec les citoyens et je suis un homme engagé», nous dit le Prévostois lors d’une entrevue. Ce dernier nous confie qu’être maire est exigeant. «Il faut toujours convaincre l’autre. J’ai eu à neutraliser des actions d’élus municipaux qui n’étaient pas à l’écoute des citoyens. Pour moi, être à l’écoute, c’est la clé maîtresse, tout comme l’acceptabilité sociale des projets.»
D’autres projets
«Durant huit ans, j’ai maintenu la cadence, mais j’avais beaucoup de projets personnels que je n’arrivais pas à mettre en place.» Selon lui, revenir aurait pu être possible. «J’ai attendu jusqu’à la dernière minute pour prendre cette décision-là. J’avais une bonne adhésion des citoyens et beaucoup de sympathisants dans la ville.» Il ajoute: «Je pars sans regret. Je vais prendre un temps d’arrêt de plusieurs mois et après je vais décider de la suite des choses. En ce moment, je suis en train de fermer des portes!»
Bilan
Très attaché à sa communauté, Germain Richer nous parle des projets dont il est fier, notamment d’avoir participé à celui de la construction de l’aréna régional. Il parle d’un bilan positif, de réalisations importantes et de projets structurants. Il aura, entre autres, soutenu la culture en mettant en place le Festival de BD. «J’ai respecté mes engagements notamment concernant le développement durable et la gestion du budget.» Mais surtout, il est très fier d’avoir donné un positionnement identitaire à la ville. «Et J’ai toujours essayé de maintenir les taxes municipales selon les capacités de payer des citoyens c’était mon cheval de bataille.»
Pour M. Richer, le défi des élus municipaux se situe au niveau des rôles et responsabilités. «Quand on prend des engagements, on doit les respecter et être honnête envers les citoyens. On doit être le miroir de ce qu’on leur dit. J’ai vu en 17 ans beaucoup d’élus qui choisissent de faire ce qu’ils veulent. Or les actionnaires d’une ville sont les contribuables et un élu n’est que mandataire. Certains se font des missions personnelles et non collectives, c’est la grande difficulté.» Le respect du code d’éthique et de déontologie est primordial pour lui ainsi que les trois valeurs de responsabilité, intégrité et cohérence. «Chaque soir je réfléchis et me demande si j’ai été intègre, cohérent avec la mission et est-ce que j’ai pris mes responsabilités.»
La gestion du stress 
Dans les périodes de turbulences – et il y en a eu à Prévost – Richer confie avoir toujours œuvré pour l’harmonie et la continuité. Il a travaillé, en début de carrière, pendant 12 ans dans le domaine de la psychiatrie, en santé mentale. «L’approche que j’ai, c’est d’être un guerrier pacifique. Il ne faut pas mettre d’huile sur le feu, mais pacifier. Toujours porter un jugement de fait et non de valeur sur les personnes. Souvent, les gens ont des perceptions erronées, et durant les deux dernières années, j’ai vu cette dimension-là, des gens intervenir non sur des faits, mais sur des perceptions.»

Prévost

Élections municipales 2017

Élections municipales: Germain Richer tire sa révérence

L’événement réunira quelques-uns des meilleurs chefs de la région, soutenus par un grand nombre de bénévoles, sous la présidence d’honneur de Nathalie Prud’homme. Survivante, artiste et auteur du livre Je serai là demain, cette dernière est atteinte d’un cancer incurable. Elle vit avec espoir, jour après jour, tout en s’impliquant généreusement dans sa communauté.
Objectif 70 000 $ 
La soirée, sous la thématique Scintiller de mille feux!, rassemblera quelque 250 personnes. Elle sera animée, pour la 2e année consécutive, par Johanne Fontaine. «Les convives sont invités à enfiler leurs plus belles tenues de soirée afin de défiler sur le tapis rouge pour une soirée scintillante et glamour qui saura envouter tous vos sens», a souligné Chantale Germain, agente de développement à la Société canadienne du cancer.
La brigade des sept chefs réputés des Laurentides est chapeautée par Bruno Léger, du Recto Verso, de Sainte-Adèle. Il sera accompagné par les chefs Olivier Saint-Arnaud, du Casino Mont-Tremblant, Marc Bujold, du restaurant Patrick Bermand, de Mont-Tremblant, Celestino Jr. Gattola, de Chez Bernard Épicerie-Traiteur, à Saint-Sauveur, Thierry et Maxime Rouyé, de La Table des Gourmets, de Val-David, et Fanny Ducharme, de L’Épicurieux, de Val-David. De son côté, le sommelier Jean Beaudin, de l’École hôtelière des Laurentides, mettra son savoir-faire au service de l’harmonisation des vins et des plats servis.
Par ailleurs, le rayonnement du Gala est assuré grâce aux cinq patrons d’honneur qui soutiennent la cause: Patrice Mainville, directeur général Caisse Desjardins de Saint-Jérôme, Jacques Gariépy, maire de Saint-Sauveur, Marie-Josée Robert, présidente de MJR Coaching, Maryse Caron, chargée de projets pour la Maison de la Course, et Daniel Brisson, Courtier immobilier chez Royal Habitations. Notez que, grâce à la générosité des partenaires et convives, plus de 405 000 $ ont été amassés depuis les sept dernières années. L’objectif de ce gala est de récolter plus de 70 000 $.
Quelques chiffres
On prévoit que près d’un Canadien sur deux aura le cancer. Au Québec, en 2017, quelque 21 800 personnes seront emportées par un cancer et 53 200 nouveaux cas seront diagnostiqués. Le cancer de la prostate est le type de cancer le plus souvent diagnostiqué chez les hommes et le cancer du poumon est leur principale cause de mortalité par cancer. Dans la province, le cancer du sein est le type de cancer le plus souvent diagnostiqué chez les femmes et le cancer du poumon est la principale cause de mortalité par cancer. (Statistiques canadiennes sur le cancer 2017).
Il reste encore quelques billets pour le Gala des Grands Chefs des Laurentides. Pour y participer, visitez [galadesgrandschefs.ca] ou communiquez avec Chantale Germain, au bureau régional de la SCC, au 450 436-2691.

Société canadienne du cancer des Laurentides

Des chefs de la région s’unissent pour la bonne cause!

Au coeur de la mission de <a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs</a>, il y a cette volonté de soutenir l’économie d’ici. Par ses offres imbattables, le portail fait le pont entre les entreprises et les consommateurs. Les avantages sont nombreux.



En tant que client, vous pouvez réduire le prix de vos achats dans une multitude de secteurs, que ce soit pour l’épicerie, les sorties au restaurant, les escapades, la maison, les activités sportives, l’achat de vêtements et encore plus. Des rabais allant jusqu’à 50 % sont offerts! Les certificats sont disponibles 24 heures sur 24 et il n’y a pas de date limite ni de restriction quant au moment de l’utilisation. Vous avez ainsi toute la latitude souhaitée pour faire vos achats. Bref, rabaischocs vous permet d’en obtenir toujours plus pour votre argent!



De plus, en achetant des certificats cadeaux rabaischocs, vous permettez aux commerçants de la région de payer leurs publicités avec leurs produits et, donc, de pouvoir obtenir encore plus de visibilité pour leur argent. Vous contribuez, par le fait même, à la pérennité de l’information locale et de votre journal Infos Laurentides.



<h2>Un concept en plein essor</h2>



Développé par le Groupe JCL et propulsé par sa division numérique District Web, rabaischocs a depuis 2011 établi des partenariats avec une quarantaine d’hebdos et de médias régionaux, ainsi qu’avec des centaines de marchands, partout au Québec. Le concept <a href="https://rabaischocs.com/">rabaischocs </a>connaît aussi un grand succès en France où, depuis 2021, de nombreux groupes de presse français ont joint le mouvement.



Téléchargez l&#8217;application rabaischocs gratuitement sur <a href="https://apps.apple.com/ca/app/rabaischocs/id1627089895">iOS</a> et <a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.rabaischocs">Android</a>.

Christmas sales. Woman typing on laptop in home interior. Xmas concept. Planing holidays. Web search.