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Journée d’échanges à l’UQO: Se parler pour progresser ensemble

La diversité des intervenants autour de la table a été productive à bien des égards.
Photo UQO

Journée d’échanges à l’UQO: Se parler pour progresser ensemble

Publié le 30/05/2018

Dans le cadre d’une démarche qui n’est vraiment pas monnaie courante dans le monde universitaire québécois, les dirigeants du campus de Saint-Jérôme de l’Université du Québec en Outaouais ont réuni une centaine de personnes dans leurs locaux, mercredi dernier, pour discuter de la place de l’UQO dans les Laurentides.

Fait intéressant, on y retrouvait des acteurs de plusieurs milieux (élus, responsables de l’éducation, de la santé, des affaires, d’organismes communautaires et des arts, de même que des professeurs, des employés et des étudiants) de la majorité du territoire des Laurentides et la répartition des tables de discussion avait été planifiée pour avoir un éventail d’intervenants de différents milieux.

Ce qui, aux dires des organisateurs, a été particulièrement fructueux au niveau de la qualité des échanges.

Progresser ensemble

L’idée d’un tel événement, exprime Sylvie De Grosbois, vice-rectrice au développement du campus de Saint-Jérôme, était de voir «quelle est la place de l’UQO dans le développement régional », mais également de «se parler pour progresser ensemble».

Clairement, nous dit-on, la volonté est bien présente d’y parvenir et, unanimement, on dit souhaiter remettre ça.

«Nous avons pu compter sur des gens généreux de leur temps et de leurs idées. Ce que nous avons récolté comme informations va nous permettre de continuer de développer le campus en fonction des besoins et aspirations de la communauté des Laurentides» de dire Mme De Grosbois au sujet de cette première rencontre du genre.

«Habituellement, les universités ne font pas ça (ce genre d’initiatives), mais, pour nous, c’est important de prendre le leadership et, entre autres, de développer davantage de liens commissions scolaires/cégep/université pour permettre aux jeunes de poursuivre leurs études dans les Laurentides. Il reste encore des secteurs où on peut encore gagner sur la scolarisation».