Par cet événement, son équipe a voulu souligner l’urgence de tendre la main à des gens dans le besoin.



« Il est inconcevable que nos élus, ces personnes qui ont le pouvoir de changer les choses, abandonnent ses citoyens et ne prennent pas toutes les mesures nécessaires pour leur venir en aide. Les membres de la FTQ Laurentides-Lanaudière comprennent l’importance d’agir », a fait valoir l’organisation syndicale, par voie de communiqué.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="530" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/12/ftq-itinerance-a-960x530.jpg" alt="Groupe de bénévoles de la FTQ Laurentides-Lanaudière" class="wp-image-13837" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/12/ftq-itinerance-a-960x530.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/12/ftq-itinerance-a-327x180.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/12/ftq-itinerance-a-768x424.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/12/ftq-itinerance-a.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Photo FTQ &#8211; L’équipe de la FTQ Laurentides-Lanaudière.</figcaption></figure>



À l’occasion de sa présence à Saint-Jérôme pour des visites d’établissements en grève, Magali Picard, présidente à la FTQ, a pris le temps de se joindre à eux pour aider à faire le service du dîner. Elle a d’ailleurs souligné que la centrale représente 600 000 travailleurs au Québec, mais qu’il est aussi important de prendre soin de l&#8217;ensemble de la population.



La FTQ Laurentides-Lanaudière tient à remercier ses commanditaires ainsi que son équipe de bénévoles qui ont permis de réaliser ce dîner.

Dîner de Noël de FTQ Laurentides-Laurentides

«&nbsp;Sans tenir compte des recommandations lancées par différents acteurs de la société civile au cours des derniers mois, dont le milieu communautaire autonome, la CAQ choisit d’imposer sa réforme en laissant dans l’angle mort de nombreux questionnements. Ce déficit démocratique s’ajoute aux ratés entourant les audiences publiques sur le PL n° 15 alors qu’un grand nombre d’organisations telles la CTROC se sont vu refuser la présentation de leur mémoire sous prétexte du manque de plages horaires disponibles&nbsp;», fait-elle valoir, par voie de communiqué.



Elle rappelle que sa mission consiste, entre autres, à faire l’analyse de l’organisation du réseau public de la santé et des services sociaux, ainsi que de ses impacts sur les organismes communautaires autonomes et sur la population. En outre, elle possède une perspective unique du fait qu’elle est constituée de regroupements régionaux qui, eux, représentent les organismes communautaires auprès des établissements régionaux actuels.



«&nbsp;Il est difficilement compréhensible que le ministre Dubé ait fait le choix d’ignorer ces connaissances et ces expertises mises à sa disposition&nbsp;», poursuit la coalition.



La CTROC se joint aux dizaines de voix qui s’élèvent pour dénoncer «&nbsp;le manque de respect&nbsp;» de la CAQ envers les processus démocratiques dont la société québécoise s’est dotée. Elle tient également à rappeler que «&nbsp;la réforme imposée à la population comporte des dangers liés, entre autres, à la centralisation des pouvoirs, à la disparition des structures décisionnelles dans les régions, et à l’ouverture de plus en plus grande faite à la privatisation des services&nbsp;».



Il est actuellement difficile de prévoir quels impacts cette réforme aura sur l’autonomie des organismes communautaires, mais certains indices laissent présager des tentatives de récupération de leurs actions pour pallier les lacunes du réseau public alors qu’ils répondent d’abord et avant tout aux besoins signifiés par leur milieu, souligne la CTROC.



Durant la période de transition, la coalition entend suivre de près le ministre Dubé pour connaître ses intentions quant aux organismes communautaires, à leur financement à la mission qui constitue le principal moyen de garantir la préservation de leur autonomie, et aux marges de manoeuvre régionales réelles qui resteront suite à l’adoption de la réforme en santé et services sociaux.



Pour terminer, le gouvernement est fortement invité à faire appel à la CTROC, au milieu communautaire autonome, et aux acteurs de la société civile pour régler les questions et enjeux laissés en suspens à la suite de l’adoption du projet de loi 15.

Projet de loi 15 | « Une mauvaise décision pour la santé démocratique », plaident les organismes communautaires

Le Conseil régional de l’environnement des Laurentides (CRE Laurentides) annonce le lancement officiel de la phase deux du réseau régional de <a href="http://crelaurentides.org/stationnements-incitatifs-laurentides" target="_blank" rel="noreferrer noopener">stationnements incitatifs</a>, menée dans le cadre de la démarche Climat de changement.



Grâce à la participation des municipalités des MRC des Laurentides, d’Antoine-Labelle, des Pays-d’en-Haut, d’Argenteuil et de La Rivière-du-Nord, ce sont maintenant plus d’une trentaine d’espaces de stationnement et près d’une centaine de cases qui sont à la disposition de la population, et ce, dans 17 municipalités du territoire.



Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES), le CRE Laurentides s’est vu confier la mission de diminuer la place de l’auto solo. L’analyse alors menée a permis de constater un besoin d’espaces dédiés pour favoriser le covoiturage et l’accès au transport en commun. À terme, le réseau de stationnements incitatifs sera déployé sur tout le territoire des Laurentides grâce à sa mise en oeuvre en trois phases, du nord au sud, d’ici juillet 2024.



« On retrouve un nombre important de cases de stationnements qui restent inoccupées durant la journée, en attendant d’être utilisées les soirs et les fins de semaine. Puisque ces espaces ne sont pas sans impact, pourquoi ne pas optimiser leur vocation en plus de diminuer les coûts liés à un tel projet? », mentionne Anne-Sophie Monat, directrice adjointe au CRE Laurentides.



<h2>Un travail de collaboration</h2>



Du démarchage est fait depuis le printemps 2022 pour compléter les phases un et deux du réseau. Le projet n’aurait toutefois pas cette envergure sans la collaboration des municipalités et des organismes partenaires.



En effet, le centre de gestion des déplacements MOBA, Transport adapté et collectif des Laurentides (TACL), Transport adapté et collectif d’Antoine-Labelle (TACAL), Transport adapté et collectif Argenteuil (TAC Argenteuil) et Exo ont également été des partenaires essentiels, permettant notamment l’accès à une carte interactive pour la population, un arrimage avec les services de transport en place et l’accès aux stationnements incitatifs existants.



<h2>Prochaine étape&nbsp;: les MRC de Deux-Montagnes et de Thérèse-De Blainville</h2>



La phase trois du projet sera complétée au printemps 2024. Cette dernière va cibler les MRC de Deux-Montagnes et de Thérèse-De Blainville. À terme, cela permettra au réseau de couvrir l’ensemble du territoire laurentien pour juin 2024.



« Le fait que 17 municipalités se soient lancées dans l&#8217;aventure pour les deux premières phases du projet montre qu’il y a un réel besoin dans la région. Il faut diversifier l&#8217;offre en mobilité durable pour la population si l&#8217;on veut diminuer la place de l&#8217;auto solo et les GES! Si vous avez des espaces de stationnement à partager pour la phase trois, n’hésitez pas à nous contacter », souligne Anne-Sophie Monat.



Pour plus d’informations : <a href="mailto:mobilite@crelaurentides.org">mobilite@crelaurentides.org</a>.

Pancarte annonçant le stationnement incitatif à Saint-Colomban

La FTQ Laurentides-Lanaudière reçoit les personnes en situation d’itinérance