Portant sur la prévention et la promotion de pratiques favorables à la santé et au mieux-être en milieu de travail, la norme Entreprise en santé mise sur quatre sphères d’activités : les habitudes de vie, les pratiques de gestion, la conciliation travail-vie personnelle et l’environnement de travail.



En décembre dernier, lors de l’audit virtuel sur l’ensemble de la démarche, les auditeurs du Bureau de normalisation du Québec (BNQ) ont souligné que les initiatives déployées sont reconnues et appréciées par le personnel. En plus d’une structure de gouvernance à plusieurs niveaux, la gestion de proximité des gestionnaires ainsi que la sensibilisation en matière de risques physiques et psychologiques liés au travail sont ressorties comme des éléments qui font la différence.



« Notre organisation déploie actuellement son nouveau plan d’action visant à favoriser la mobilisation, la santé et le bien-être du personnel. Cette excellente nouvelle nous encourage à poursuivre les efforts investis dans ces actions et à faire progresser nos pratiques organisationnelles à tous les niveaux. Au CISSS des Laurentides, la démarche Entreprise en santé demeure un gage de succès, tant pour miser sur le bien-être au travail des employés que pour offrir des soins et services de la meilleure qualité à la population », a tenu à souligner la présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides, Rosemonde Landry.

Le coup d’envoi a été officiellement donné le 26 janvier, alors qu’une journée de conférences et d’ateliers a rassemblé des adultes du milieu scolaire, de la santé, du communautaire ainsi que plusieurs représentants d’élus municipaux et provinciaux. Tous étaient invités à réfléchir aux mots qui forment l’acrostiche CROIRE : Célébrer, Reconnaître, Oser, Investir, Réussir et Encourager. Des mots porteurs de sens et de gestes importants tant pour les jeunes persévérants que pour les adultes qui les entourent et les soutiennent dans leur quotidien.



<h2>Des conférenciers de renom</h2>



Nombreux sont ceux qui ont répondu présents à cette invitation du PREL. Aux côtés de Philippe&nbsp;Desrosiers, enseignant au Collège Lionel-Groulx et journaliste à Radio-Canada, de nombreuses personnalités reconnues du milieu ont pris la parole, dont Josée Bilodeau, Caroline Quarré, Joanie Albert, Caroline Saint-Georges et David Bernard.&nbsp;



La journée s’est terminée avec un panel de discussions mettant à l’honneur des jeunes qui ont exposé au public leur vision et surtout leur expérience de la persévérance. Ce moment a été extrêmement apprécié et porteur d’espoirs. En effet, certaines réponses données par les jeunes étaient dignes de grands sages&nbsp;: «&nbsp;Je me dis que j’ai réussi quand je me sens bien à l’intérieur de moi. » «&nbsp;J’essaie d’aider les autres à persévérer en leur disant qu’ils sont capables et en leur donnant confiance.&nbsp;»



Sébastien&nbsp;Tardif, président du conseil d’administration du PREL et directeur général du Centre de services scolaire des Laurentides a conclu cette journée en remerciant les conférenciers et les participants pour leurs futures actions en faveur de la persévérance scolaire.



«&nbsp;Nous le savons toutes et tous&nbsp;: lorsque nous montrons à nos jeunes que nous croyons en eux, nous les motivons à poursuivre leur parcours. Alors nous aussi, nous devons persévérer par nos paroles positives, par notre attitude bienveillante, par nos sourires et par nos encouragements auprès de nos jeunes, pour leur plus grand bénéfice.&nbsp;»

Lancement Journées de la persévérance scolaire 2023

Place aux Journées de la persévérance scolaire 2023 

La jeune Camerounaise de 23 ans était très attendue par sa famille&nbsp;à l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau, samedi après-midi. Les députés bloquistes, Alexis Brunelle-Duceppe et Rhéal Éloi Fortin étaient présents aussi à sa descente d’avion.&nbsp;



Il faut dire que le député du BQ de Rivière-du-Nord a toujours été là pour la jeune femme multipliant les démarches pour faire comprendre le gros bon sens aux fonctionnaires fédéraux à Ottawa.



«Immigration Canada et le gouvernement fédéral doivent faire mieux, et améliorer leurs politiques et communications afin d’éviter que ce genre de situation ne se répète», ont soutenu les députés Fortin et Duceppe.



C’est que la jeune Camerounaise venue au Québec, en 2017, pour suivre un cours en informatique a été pénalisée en raison de son&#8230; honnêteté.&nbsp;



Aux études à temps plein, elle&nbsp;travaillait à temps partiel dans une boutique de vêtements de Mirabel, comme la loi le lui permettait.



Mais elle a fini ses études plus rapidement que prévu, trois mois avant les autres étudiants.



Selon un règlement de la Loi sur l’Immigration, article fort controversé,&nbsp;&nbsp;Rose aurait dû arrêter de travailler dès qu’elle a obtenu son diplôme de programmeuse informatique, et ce, même si le Québec est marqué par une pénurie de main-d’oeuvre et même si la nouvelle diplômée était sollicitée par plusieurs employeurs. Non, elle a été expulsée du Canada.&nbsp;



Dans la version papier du journal de mercredi, Rose Eva nous racontera, elle-même, le cauchemar vécu depuis trois ans.&nbsp;



À suivre…journalinfoslaurentides.com

Le CISSS des Laurentides maintient sa certification Entreprise en santé