Vers 15h50, les policiers du Service de police de la Ville de Saint-Jérôme (SPVSJ) sont intervenus au 520 Boulevard de la Salette, à l&#8217;école primaire La Source, où une personne a été écrasée par un véhicule et aspergée de poivre de cayenne. Une deuxième personne a également été aspergée de poivre de cayenne et a été la cible de plombs provenant d&#8217;un pistolet à plombs. La raison de cet incident reste à être clarifiée et selon les premières informations obtenues il y a eu altercation entre plusieurs personnes où les personnes suspectes ont pris la fuite à bord d’un véhicule utilitaire sport de couleur noire ayant circulé sur le corps de la personne retrouvée au sol. Rapidement, le véhicule utilitaire sport est localisé à quatre kilomètres à l’ouest de l’incident, par les policières et les policiers du SPVSJ, où les quatre personnes, prenant place à bord, sont arrêtées. Une femme et deux hommes d’âge mineur prennent place comme passagers dans le véhicule suspect ainsi qu’un homme début vingtaine comme conducteur. Les personnes arrêtées sont conduites au Service de police de la Ville de Saint-Jérôme afin d’être interrogées par les enquêteurs. Elles sont libérées par promesse de comparaître et des conditions à respecter. Elles font face à des accusations d’agression armée, de décharge d’arme à feu, de port d’arme dans un dessein dangereux et possession non autorisée d’arme à feu et d’arme prohibée. La personne s’étant faite écraser par le véhicule est conduite en centre hospitalier où elle présente des blessures sur tout le corps. Par contre, les médecins ne craignent pas pour sa vie. La deuxième personne est incommodée par le poivre de cayenne mais n’a pas de blessure causée par les tirs de plombs. Un périmètre est érigé afin de protéger la scène de l’incident et des enquêteurs du SPVSJ sont sur les lieux afin de comprendre les circonstances qui ont mené à cet événement. Par ailleurs, des techniciens en identité judiciaire, de la Sûreté du Québec, sont présents afin de pouvoir recueillir la preuve nécessaire pour découvrir tout indice qui explique la situation. Les enquêteurs du SPVSJ continuent de travailler avec ardeur afin d’explorer toutes les pistes possibles pour résoudre l’événement. Cet événement de violence entre les jeunes démontre que le projet « GAMIN », mis en place par le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme pour contrer la violence chez les jeunes, est d’actualité. Les policières et les policiers du SPVSJ continueront de patrouiller, de façon accrue, les endroits ciblés par les jeunes pour user de violence, afin de prévenir les incidents comme celui-ci survenu, et en réprimer les auteurs. Toute personne témoin d’événement violent est invitée à communiquer avec le Service de police en composant le (450) 432-1111 poste 7.

Lors d’un cocktail organisé par Laurentides International, l’organisme a révélé les noms des cinq entreprises exportatrices de la région qui se sont particulièrement distinguées à l’étranger au cours de la dernière année, dont deux entreprises jérômiennes, Kronozio et Trica Inc.



« Les entreprises exportatrices font face à une concurrence internationale féroce, ce qui les oblige à être innovantes, résilientes et performantes pour réussir sur les marchés extérieurs&nbsp;», soutient Ariel Retamal, directeur général et commissaire à l’exportation de Laurentides International.&nbsp;



«&nbsp;Trica Inc. a su rester compétitive en investissant massivement dans l&#8217;automatisation, une démarche essentielle pour répondre aux exigences des marchés d&#8217;exportation. Quant à Kronozio, leur grande persévérance et les nombreux déplacements aux États-Unis ont été nécessaires pour établir leur réputation, résultant en une croissance exceptionnelle dominée par l’exportation », a-t-il ajouté.



Trica Inc., spécialisée dans la fabrication de meubles design et résolument tournée vers les marchés internationaux, a remporté le prix «&nbsp;Leader à l’exportation&nbsp;», la plus haute distinction des MercadOr Laurentides. Trica Inc. est reconnue pour ses meubles de haute qualité, combinant design moderne et fonctionnalité.&nbsp;



« Trica ne pourrait pas vivre que sur le marché québécois, c’est un marché trop petit pour notre type de produit. Aujourd’hui, on dépasse les 80% en dehors du Québec et plus de 50% du chiffre d’affaires provient des États-Unis », souligne Alexandre Paquette, vice-président finances de Trica.



De son côté, Kronozio, une entreprise innovante spécialisée dans les solutions numériques pour les collectionneurs de cartes de sport, a reçu le prix MercadOr dans la catégorie «&nbsp;Croissance soutenue à l’exportation&nbsp;».&nbsp;



« On a réussi sur les trois dernières années à doubler, puis à tripler notre chiffre d’affaires justement grâce à l’exportation », affirme Jonathan Bernier, vice-président de Kronozio. « Aujourd’hui, l’exportation représente 90 % de notre chiffre d’affaires », conclut David Lafond, le président de l’entreprise.



Les trois autres entreprises récompensées pour leurs efforts exceptionnels en matière d’exportation étaient Garde-Malade Inc. dans la catégorie «&nbsp;Nouvel exportateur&nbsp;», ainsi que Palmex International et Structures SBB qui ont été distinguées dans la catégorie «&nbsp;Diversification de marchés&nbsp;».



<h2>En route pour le Gala des MercadOr Québec</h2>



Ces cinq entreprises lauréates représenteront la région lors de la cinquième édition du Gala des MercadOr Québec, la finale provinciale organisée par Commerce International Québec, le réseau des organismes régionaux de promotion des exportations (ORPEX), dont Laurentides International fait partie. Elles seront en compétition avec plus de 80 entreprises du Québec, espérant obtenir une nomination et peut-être remporter la récompense ultime : le titre d’Exportateur de l’année.&nbsp;



Rappelons que Laurentides International accompagne et forme les entreprises exportatrices de la région des Laurentides, ou en voie de le devenir, pour assurer le développement optimal et efficient de leurs marchés d&#8217;exportation.&nbsp;



Présentée par MNP, cette 24e édition du MercadOr Laurentides a été rendue possible grâce à la collaboration de nombreux partenaires, dont Desjardins Entreprises Laurentides, Celsius Performance Ventes, et la MRC Thérèse-De Blainville.

Deux entreprises de Saint-Jérôme reconnues pour leur excellence en exportation

« Quand on parle d’innovation, on parle de ce qui n’a jamais été fait », déclare Annie Dell’ Aniello. Elle aspire à faire de Mirabel une référence mondiale, comparable à la Silicon Valley. L’Espace Aéro, avec ses infrastructures modernes et ses ressources, a le potentiel de devenir un leader mondial dans la mobilité aérienne avancée et durable. « Je veux que dans 50 ans, on se souvienne de nous comme de ceux qui ont façonné l’avenir de l’aérospatiale », a-t-elle affirmé.



<h2>Une zone</h2>



L’Espace Aéro se structure autour d’une zone unique dédiée à l’innovation aérospatiale. Cette zone est conçue pour rassembler les meilleurs talents, les ressources et les infrastructures nécessaires pour soutenir le développement technologique et industriel. Mirabel, avec son vaste territoire et ses installations avancées, constitue le cœur de cette zone d’innovation.



<h2>Deux axes</h2>



Les deux axes prioritaires de l’Espace Aéro sont la décarbonation et la mobilité autonome. La décarbonation vise à réduire les émissions de CO2 des entreprises, en adoptant des technologies propres et durables. La mobilité autonome, quant à elle, se concentre sur le développement de solutions de transport aérien avancées et sécurisées, comme les drones et les taxis aériens. Que ce soit pour acheminer du matériel médical dans des zones reculées ou pour analyser les cultures depuis les airs, les limites de l’innovation restent inconnues. Mme&nbsp;Dell’Aniello en donne toutefois un aperçu&nbsp;à la rigolade lorsqu’elle affirme&nbsp;: « Nous ne sommes toujours pas rendus à livrer des pizzas par drones ».&nbsp;



<h2>Trois pôles</h2>



L’Espace Aéro est structuré autour de trois pôles complémentaires situés à Mirabel, Longueuil et Montréal. Chaque pôle apporte ses forces spécifiques&nbsp;: Longueuil, avec ses installations de formation avancée ; Montréal, avec ses quatre universités et ses capacités de recherche ; et Mirabel, avec son vaste territoire dédié aux tests et aux expérimentations.&nbsp;



Avec des investissements majeurs annoncés, notamment de la part de Boeing et du gouvernement du Québec, la région de Mirabel se prépare à devenir un centre névralgique de l’innovation aérospatiale. Ces investissements permettront de développer des infrastructures modernes et de créer des emplois de qualité.&nbsp;



<h2>Une signature historique</h2>



Le lancement de l’Espace Aéro a également été marqué par une signature historique entre le Cégep de Shawinigan et l’Institut du véhicule innovant de Saint-Jérôme. Cette signature illustre parfaitement l’esprit de collaboration et de partage des ressources qui caractérise ce projet.&nbsp;



En réunissant des acteurs clés du secteur aérospatial, le lancement de l’espace Aéro a mis en lumière les projets futurs et les collaborations potentielles, visant à propulser Mirabel sur la scène mondiale.

Le Service de police de la Ville de Saint-Jérôme fait le point sur l’agression du 31 juillet