La première édition du Souper des présidents au profit de la Fondation Pallia-Vie, présentée par le Groupe conseil Veilleux Delorme Bélanger et la Financière Banque Nationale, a remporté un franc succès. L’événement, qui a eu lieu récemment au Centre culturel et communautaire Thérèse de Blainville, a permis d’amasser 150 000 $. 
Le conférencier invité Louis Vachon, président et chef de la direction de la Banque Nationale, a su capter l’intérêt de plus de 200 invités. Il s’est notamment prononcé sur l’entrepreneuriat d’aujourd’hui et les grands changements qui viennent simultanément transformer le contexte d’affaires dans lequel les entreprises évoluent. 
«Nous sommes très reconnaissants envers les membres de la communauté d’affaires qui se sont réunis hier soir pour prêter main-forte à la Fondation Pallia-Vie. Pour nous, faire partie de ce grand mouvement de solidarité est une façon concrète de contribuer à l’épanouissement de nos communautés», a déclaré Christian Veilleux, conseiller en gestion de patrimoine et vice-président à la Financière Banque Nationale. 
M. Veilleux, qui est aussi président du comité organisateur de l’événement, remercie chaleureusement les patrons d’honneur: Jean Lemire, vice-président associé, Services aux entreprises à la Banque Nationale, Pierre Laboursodière, vice-président, Banque Nationale Gestion privée 1859, Éric Hubert, vice-président régional – Laurentides à la Banque Nationale ainsi que Jean-Philip Robitaille, coprésident de Syscomax. 
La Fondation Pallia-Vie se consacre à recueillir des dons qui serviront à offrir gratuitement des soins et des services à la Maison de soins palliatifs ainsi que des services d’accompagnement pour les personnes atteintes et les proches aidants de l’ensemble de la région des Laurentides.

Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides a remis à la Société d’histoire de la Rivière-du-Nord (SHRN) une pierre temporelle qui avait été encastrée en 1957 dans un mur du Pavillon Jeanne-Mance de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme, lors de sa construction. 
Alors que le CISSS des Laurentides planifiait depuis quelques mois le remplacement de l’un de ses pavillons par un tout nouveau bâtiment, un appel inattendu de la Société d&#8217;histoire de la Rivière-du-Nord a permis d’identifier un élément historique qui se devait d’être préservé: une pierre temporelle qui consiste en un coffret de ciment scellé et dont le contenu demeure mystérieux à ce jour. 
Rosemonde Landry, présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides, a été ravie d’apprendre qu’un pan d’histoire subsistait dans les murs du Pavillon Jeanne-Mance. «Dès que nous avons appris l’existence de cette pierre, qui contient peut-être des objets déposés par notre personnel il y a plus de 60 ans, nous avons tout mis en oeuvre afin de la récupérer.» 
Une fois la pierre extraite du bâtiment, le CISSS des Laurentides a convenu qu&#8217;elle serait mieux préservée par la Société d&#8217;histoire de la Rivière-du-Nord. «Nous voulions que la découverte des objets soit faite avec précaution, par des experts, afin d’éviter toute situation qui pourrait les endommager. Nous sommes vraiment très excités d’en connaître le contenu», de dire Rosemonde Landry. 
En remettant cette pierre temporelle à la SHRN, le CISSS des Laurentides assure ainsi la préservation d’un élément du patrimoine de la région des Laurentides. Le boîtier sera conservé au centre d’archives de la SHRN, à la Maison de la culture Claude-Henri-Grignon de Saint-Jérôme. 
Un dévoilement officiel de son contenu aura lieu le 12 février au local de l’organisme. D’ici là, afin de susciter l’intérêt face au caractère historique de l’événement, la SHRN invite les citoyens intéressés à deviner ce que contient cette pierre temporelle et à faire part de leurs idées à ce sujet sur sa page Facebook. 
«Nous sommes très heureux que le CISSS des Laurentides ait pris en considération l’importance de préserver ce témoin du passé et de nous en confier la garde», souligne Henri Prévost, président de la Société d’histoire de la Rivière-du-Nord. «Comme toute personne, ajoute-t-il, qui s’intéresse à l’histoire locale, j’ai bien hâte de découvrir ce que les personnes présentes à l’époque y ont déposé pour marquer la construction de cet établissement en 1957.» 
L’ancienne école des infirmières 
Construit sept ans après l’ouverture de l’Hôpital régional de Saint-Jérôme, le Pavillon Jeanne-Mance était à l’origine une école destinée à la formation des infirmières, affiliée à l’Université de Montréal. Jusqu’en 1970, plus de 300 jeunes femmes y ont suivi le cours de soins infirmiers, qui s’échelonnait sur trois ans. À partir de 1968, le Collège Lionel-Groulx, à son campus de Saint-Jérôme, s’est vu confier cette formation avec le programme Soins infirmiers, encore offert aujourd’hui. Depuis 1973, le Pavillon Jeanne-Mance accueille les usagers ayant un trouble de santé mentale. Il sera remplacé prochainement par un nouveau bâtiment mieux adapté à cette clientèle et dont la construction s’achèvera à l’automne 2020.

Hopîtal régional de Saint-Jérôme: Une pierre temporelle de 1957 avec un contenu mystérieux

Tel que prévu, la commission d’enquête du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) tiendra la deuxième partie de l’audience publique sur le Projet d’agrandissement du lieu d’enfouissement technique de Sainte-Sophie par WM Québec Inc. à compter du mardi 11 février 2020, à 19 h, au Comfort Inn de Saint-Jérôme. 
Il est aussi prévu que les séances publiques se poursuivront les jours suivants, selon les besoins du public et de la commission. 
Comme ce fut le cas lors des séances d’information tenues les 14 et 15 janvier dernier à la Salle Laviolette de Saint-Jérôme, les séances du 11 février et des jours suivants seront retransmises en version vidéo dans le site Web du BAPE. 
Mémoires et avis 
Comme il est planifié dans le processus, les séances qui débuteront le 11 février prochain seront consacrées exclusivement à l’audition des mémoires, des opinions verbales et des suggestions des personnes, des municipalités, des organismes et des groupes désireux de donner leur avis à la commission. 
Pour en savoir plus sur la façon de procéder, on peut prendre connaissance des règles de participation en audience publique à l’adresse www.bape.gouv.qc.ca, sous la rubrique Participer . 
Avant le 6 février 
Par ailleurs, toute personne qui désire présenter un mémoire ou s’exprimer verbalement au cours de l’audience est invitée à en informer la coordonnatrice du secrétariat de la commission, Rachel Sebareme. 
Il faut transmettre le formulaire en ligne Avis d’intention disponible dans le site Web du BAPE au plus tard le 27 janvier 2020. 
Afin que la commission puisse en prendre connaissance avant la séance publique, le mémoire, bien identifié au projet, doit être transmis au plus tard le 6 février 2020 à midi en utilisant le formulaire en ligne Dépôt de mémoire, ou par la poste, au 140, Grande Allée Est, bureau 650, Québec (Québec) G1R 5N6, à l’attention de Rachel Sebareme. 
Le 12 mai 
Le rapport du BAPE sera remis au ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, Benoit Charette, au plus tard le 12 mai 2020. 
 Les personnes qui désirent obtenir plus de renseignements peuvent communiquer avec Rachel Sebareme au 418 643-7447 ou, sans frais, au 1 800 463-4732, ou par courrier électronique à l’adresse suivante : let-sainte-sophie@bape.gouv.qc.ca.

Site d’enfouissement de Sainte-Sophie: le BAPE siègera de nouveau le 11 février

Le Souper des présidents rapporte 150 000 $ à la Fondation Pallia-Vie

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Mychel Lapointe

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