Organisé par le service de police de la ville, cet événement a permis cette année de distribuer des cadeaux à plus de 524 enfants et de remettre 17 000 $ en cartes cadeaux. « C’est toute une communauté qui se mobilise, un beau projet à l’approche des Fêtes. » — Caroline Bernard



<h2>Un geste de solidarité</h2>



Caroline Bernard, directrice du service de police, explique que l’Arbre du partage repose sur trois étapes : les citoyens choisissent le nom d’un enfant à gâter, apportent leur cadeau au poste, et enfin, les policiers se chargent de la distribution. Chaque année, l’initiative dépasse les attentes. Certains citoyens préfèrent donner des cartes cadeaux ou participer à des collectes comme le célèbre match des toutous des Panthères, dont les recettes sont entièrement versées à l’Arbre du partage. Cette année, un couple a marqué les esprits en pigant trois noms d’enfants et en offrant 1 000 $ en cartes cadeaux. « Ça prend tout un village pour élever un enfant. Sans les organismes qui nous fournissent les noms et les citoyens qui offrent les cadeaux, l’Arbre du partage n’existerait pas. » — Caroline Bernard



<h2>La distribution, un moment magique</h2>



Le 14 décembre, plus de 60 policiers, accompagnés de membres de leur famille et d’employés civils, ont participé bénévolement à la distribution. Ils ont visité les familles directement à domicile, offrant des cadeaux aux enfants référés par les écoles ou les organismes partenaires. Bien que l’initiative cible principalement les jeunes de 13 ans et moins, les adolescents ne sont pas oubliés. Les fonds récoltés lors du match des toutous permettent d’offrir des cartes cadeaux, des coupons McDonald, et parfois même des surprises adaptées à leurs goûts. « Il n’y a pas un enfant qui ne reçoit pas un cadeau. » — Caroline Bernard



<h2>Plus qu’un simple don</h2>



Pour les policiers, cette initiative va au-delà du geste. Habituellement confrontés à des situations difficiles dans leur travail, ces moments de partage ont un impact positif autant sur eux que sur les familles qu’ils rencontrent. Lors de la distribution, ils prennent le temps de discuter, d’expliquer leur rôle et de montrer leur équipement. Pour certaines familles, notamment des nouveaux arrivants, cela représente une occasion précieuse de créer un lien et de découvrir une police de proximité. « On fait vraiment une différence dans la vie de ces gens grâce à la générosité de nos donateurs. » — Caroline Bernard L’Arbre du partage est orchestré par le service de police, mais son succès repose sur un effort collectif réunissant citoyens, écoles et organismes comme le CISSS. Une tradition qui, année après année, prouve que la solidarité peut illuminer les Fêtes pour tous.

Cet accomplissement souligne l’engagement de l’entreprise envers des pratiques durables et éthiques.



En devenant la première entreprise serricole au Canada à obtenir cette distinction, Cultures Gen V répond à des normes rigoureuses en matière de performance sociale et environnementale, de transparence et de responsabilité.



<h2>Un exploit remarquable pour l’industrie serricole</h2>



Pour une entreprise comme Cultures Gen V, l’obtention de la certification B Corp représente un défi significatif. L’agroalimentaire, et plus particulièrement la production en serre, présente des enjeux environnementaux complexes et spécifiques à ce secteur, notamment en matière de gestion énergétique et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Malgré ces défis, Gen V a adopté des pratiques durables, en priorisant l&#8217;énergie verte et en prenant des décisions axées sur le bien-être des employés et de la communauté.



Cette démarche, qui s’est échelonnée sur trois ans, a été initiée par la relève familiale, qui reprendra éventuellement les commandes de l’entreprise. Sensibles aux enjeux environnementaux et sociaux, ces jeunes entrepreneurs souhaitent assurer la pérennité de l’entreprise en adoptant une approche responsable. Ils ont donc recherché des solutions pour que chaque décision prise aujourd’hui ait un impact positif sur les générations futures.



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/cultures-gen-v-2-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-18645" width="552" height="367" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/cultures-gen-v-2-960x640.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/cultures-gen-v-2-327x218.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/cultures-gen-v-2-96x64.jpg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/cultures-gen-v-2-768x512.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/cultures-gen-v-2-615x410.jpg 615w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/cultures-gen-v-2.jpg 1024w" sizes="(max-width: 552px) 100vw, 552px" /><figcaption>Photo courtoisie</figcaption></figure>



Dans un secteur où les pratiques traditionnelles privilégient souvent la rentabilité à court terme, Cultures Gen V choisit de se démarquer en misant sur une stratégie d’entreprise progressiste dans un contexte capitaliste. En intégrant des standards élevés dans les cinq piliers de la certification B Corp (gouvernance, collectivité, clients, collaborateurs et environnement), l’entreprise démontre qu’il est possible d’allier performance économique et responsabilité sociale, même dans une industrie réputée pour ses défis environnementaux.



« B Corp est un outil important pour démontrer notre engagement à contribuer concrètement à la création d’un avenir durable pour les générations futures puisqu’on en fait partie, en tant que trentenaire à la tête de l’entreprise. Comme entreprise familiale jeune et dynamique, bâtir une entreprise qui s’engage à constamment élever ses pratiques sur les plans environnemental, social et de la gouvernance, ça nous parle. J’espère que ça parlera aussi à nos consommateurs, aux épiceries et plus encore! On souhaite être profitable, mais pas au détriment du bien-être de nos employés ou de la planète. On a le privilège d’avoir une entreprise et de décider si cette dernière aura un impact positif ou négatif sur le monde de demain. On souhaite inspirer et encourager d’autres entreprises à suivre le pas, tous secteurs confondus. J’espère un jour que cette certification ne sera plus nécessaire puisque l’ensemble des entreprises voudront normaliser les normes ESG. » -Simon Terrault, 2e génération, directeur général chez Cultures Gen V Inc.



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L’entreprise a mis en place diverses initiatives pour améliorer sa performance environnementale, sociale et organisationnelle.



• Détourner 100 % de leurs plastiques agricoles de l’enfouissement. En 2022, cette initiative a permis de recycler ces plastiques, réduisant ainsi les émissions de GES de 86,11 tonnes.



• Participer activement à un projet de concertation sur la circularité des plastiques horticoles en Montérégie.



• Adopter le système EOS (Entrepreneurial Operating System), un cadre favorisant une communication ouverte et structurée au sein de l’organisation.



• Redistribuer les produits invendus à des organismes, permettant à ces derniers d’offrir aux populations vulnérables des aliments frais, locaux et accessibles grâce à une tarification sociale.



• Soutenir l’intégration des employés étrangers grâce à plusieurs initiatives : cours de français et d’espagnol, embauche d’une personne attitrée aux ressources humaines pour répondre à leurs préoccupations, etc.

Cultures Gen V : Premier producteur serricole B Corp au Canada

L’an dernier, les députés péquistes avaient promis de limiter leur augmentation salariale à la moyenne des hausses accordées aux travailleurs de la fonction publique, remettant le reste à des organismes communautaires. Cette promesse est renouvelée cette année.&nbsp;



Paul St-Pierre Plamondon a déclaré&nbsp;:&nbsp;



« Nous respectons notre promesse et remettons le reste à des causes qui nous interpellent, comme le bien-être des femmes et des jeunes. C’est pourquoi je remets une partie de mon augmentation à la Fondation des Centres jeunesse Laurentides et à la Maison d’Ariane. »&nbsp;



À travers le Québec, c’est plusieurs milliers de dollars qui seront remis de la poche des députés péquistes, qui entendent respecter leur promesse jusqu’au prochain scrutin, en 2026.

Les policiers de Saint-Jérôme distribuent du bonheur

Un geste de solidarité

La distribution, un moment magique

Plus qu’un simple don