La Compagnie Électrique Lion de Saint-Jérôme a annoncé avoir reçu une commande conditionnelle de 1 000 autobus scolaires électriques LionC de Student Transportation of Canada (STC) une filiale de Student Transportation of America, un leader nord-américain du transport scolaire, de la sécurité des usagers et des services de gestion de flottes, dont l’actionnaire de contrôle est la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ).
Le bon de commande est conditionnel à l’octroi satisfaisant de subventions non remboursables du Fonds pour le transport en commun à zéro émission d’Infrastructure Canada, pour lequel STC a déposé une demande de subvention.
Rappelons que dans le cadre du Fonds pour le transport en commun zéro émission, le Gouvernement du Canada a comme ambition d’investir 2,75 milliards de dollars au cours des cinq prochaines années pour soutenir la transition vers l’électrification du transport en commun et du transport scolaire.
Quelque 23 000 tonnes de GES 
Si cette commande se confirme, STC deviendrait le plus important opérateur d’autobus scolaires zéro-émission en Amérique du Nord. Cet investissement contribuerait également à l’atteinte des objectifs de décarbonation du portefeuille de la CDPQ. Les livraisons débuteraient en 2022 et se poursuivraient jusqu’à la première moitié de 2026. Ces autobus électriques remplaceraient ainsi les véhicules diesel existants au sein de la flotte canadienne de STA. L’entreprise entend travailler en étroite collaboration avec ses clients et ses partenaires pour déterminer dans quelles régions les autobus électriques pourraient être utilisés.
Lion estime que le déploiement de 1 000 autobus 100 % électriques éliminerait jusqu’à 23 000 tonnes de gaz à effet de serre par année, en plus de réduire significativement la pollution sonore dans les communautés où ces véhicules seraient utilisés.
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Nous apprenions, le 15 octobre, que le FIQ-Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides avait envoyé une mise en demeure à la PDG du CISSS des Laurentides, Rosemonde Landry, pour qu’elle prenne les moyens qui s’imposent afin de mettre fin à « l’utilisation abusive » du temps supplémentaire obligatoire (TSO) comme mesure de gestion, et ce, d’ici le 15 novembre.
Au cours des dernières années, mais particulièrement des dernières semaines, soutient le syndicat, de multiples représentations auprès du CISSS des Laurentides ont été réalisées afin que cesse le recours au TSO. Ces interventions sont cependant restées lettre morte, malgré l’urgence de la situation, estime la présidente du FIQ-Syndicat des professionnelles en soins des Laurentides, Julie Daignaut, qui déplore que le recours au TSO soit désormais « un mode de gestion bien établi ».
« Plusieurs de nos membres sont contraintes, voire menacées, d’effectuer du TSO de manière répétitive et abusive, les forçant souvent à travailler pendant 16 heures, ce qui a pour effet de les épuiser et de les mettre à risque de dispenser des soins non sécuritaires et de qualité», dénonce la présidente.
Le syndicat juge qu’il s’agit d’une situation totalement inacceptable tant pour les professionnelles en soins que pour la sécurité des patients qui reçoivent les soins de santé.
« Nos membres travaillent dans un climat caractérisé par une forte détresse psychologique. Il n’est pas rare de voir plusieurs d’entre elles éclater en sanglots au cours de leur prestation de travail. Certaines tiennent même des propos suicidaires directement liés à l’utilisation excessive du TSO», d’ajouter Julie Daignaul qui interpelle donc la ministre responsable de la région, Nadine Girault, afin que celle-ci fasse les représentations nécessaires pour éliminer le TSO une fois pour toutes.
Priorité organisationnelle
Au CISSS des Laurentides, on a indiqué ne pas souhaiter émettre quelconque commentaire en lien avec la mise en demeure. On nous a toutefois affirmé que le TSO est une mesure de dernier recours.
« Notre priorité est d’assurer des soins et des services de qualité et sécuritaires à notre population et nous privilégions en tout temps la recherche commune de solutions. Précisons que nous faisons actuellement de la réduction du TSO une priorité organisationnelle», a répondu Mélanie Laroche, au nom de l’équipe du Service des relations médias, relations publiques et à la communauté du CISSS des Laurentides.
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PDG du CISSS : Rosemonde Landry mise en demeure

La compagnie <a href="https://sistm.ca/">SISTM</a>, anciennement connue sous le nom de Réfrigération Locas, fête cette année son 40eanniversaire. Pour l’occasion, la compagnie s’est offert une nouvelle image, un nouveau nom, tout en conservant la même mission et la même qualité de service.
Situé sur le boulevard Maisonneuve à Saint-Jérôme, SISTM est une entreprise spécialisée dans la climatisation et le chauffage et offre divers produits en fonction de différentes utilisations, comme la climatisation centrale, climatisation murale, cellier, géothermie, piscine intérieure, système de chauffage central, thermopompe et encore plus, et ce, tant dans le domaine résidentiel, que commercial et industriel.
Pour Patrick Guay, qui est devenu copropriétaire en 2008 et unique propriétaire en avril 2020, il est important de préciser qu’il ne s’agit pas d’une nouvelle compagnie, mais bien de l’évolution d’une compagnie qui a fait ses preuves au cours des 40 dernières dans les Laurentides.
« Il s’agit toujours d’une compagnie de service, contrairement aux autres compagnies dans le domaine qui sont des compagnies de construction. On s’est toujours défini comme ça, comme étant des gens de services, des gens qui résolvent des problèmes », a-t-il souligné.
M.Guay est aussi heureux d’affirmer que la culture d’entreprise est restée intacte et que visiblement, SISTM s’inscrit dans la continuité des Locas : « C’est comme redevenu une compagnie familiale, parce que mon fils s’intéresse à l’entreprise et il y a une relève potentielle qui était inexistante il y a deux ans à peine. C’était le moment pour moi de mettre mes propres couleurs, étant donné que c’est devenu la compagnie d’une autre famille, on était rendu là. »
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Lion électrique reçoit une commande conditionnelle de 1 000 autobus scolaires