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La Fête hivernale de Saint-Colomban est de retour samedi prochain (26 janvier).
L’événement sera présenté entre 12 h et 16 h au parc Phelan.
À pareille date l’année dernière, la fête familiale avait attiré pas moins de 800 personnes par une magnifique journée,pas trop froide.
Activités 
À nouveau cette année, on retrouvera sur le site: tours de calèche, jeux gonflables, mascottes, tour d’escalade, parcours à obstacles, feux de joie, glissade (apportez vos toboggans), sculpture sur neige, patinage et plus encore!
Bref, du plaisir en perspective pour petits et grands.
Jouer dehors
D’ailleurs, avec une pointe d’humour, le maire Xavier-Antoine Lalande souligne que « ce ne sont bien évidemment ni le pelletage ni la conduite hivernale qui nous font aimer la saison froide. Pour aimer l’hiver, le secret, c’est de jouer dehors. Et c’est ce qu’on vous offre avec la Fête hivernale : un événement pour nous permettre de nous rencontrer entre familles, amis, voisins et faire la fête dehors&#8230; loin des écrans! Nous avons en plus la chance d’avoir jusqu’à maintenant un hiver rigoureux et neigeux qui promet d’offrir les conditions idéales pour glisser, patiner et s’amuser. Au plaisir de vous y croiser!».
Politique culturelle
Par ailleurs, la Fête hivernale 2019 sera l’occasion pour les autorités de Saint-Colomban de lancer la nouvelle politique culturelle.
L’exercice de préparation a, notamment, donné lieu à une consultation publique le 21 novembre dernier relativement à un document préparé par différents intervenants des milieux politique, culturel et artistique.
On retrouvait dans le document cinq grands enjeux que sont: participation citoyenne en culture, développement et rayonnement de l’offre culturelle, centre-ville, protection et mise en valeur du patrimoine naturel et bâti et, enfin, l’identité et appartenance.
Le lancement sera suivi d&#8217;une animation de danse traditionnelle.
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Mathieu Locas
Après des décennies à supporter l’œuvre de la Soupe, l’Évêché de Saint-Jérôme est sur le point de tirer la «plogue».
«C’est un déficit structurel annuel de 60 000 $ et nous ne pouvons supporter un tel montant, avoue Mgr Raymond Poisson, futur évêque du diocèse. Nos églises sont vides et l’argent est rare»,avoue-t-il candidement d’entrée de jeu.
Pour trois ans
La cassure ne se fera pas instantanément.
Pour poursuivre la mission de la Soupe, l’Évêché a aidé à la mise sur pied d’un OSBL. «Ce sera plus facile d’avoir des subventions du privé avec un OSBL. Les entreprises et organisations seront plus enclines à donner, avec la nouvelle structure que directement à l’Évêché. De notre côté, nous allons continuer à appuyer la Soupe sur une période de trois ans, à raison de 25 000 $ par année».
Avez-vous invité la nouvelle organisation à quitter le sous-sol de la Cathédrale, lieu de la Soupe depuis des décennies?
«Nous allons continuer à accueillir les démunis jusqu’en septembre prochain. Ensuite, ils devront se trouver un autre local. Il y a deux types de clientèle dans l’œuvre de la Soupe; il y a l’aide alimentaire et les sans-abris. Nous n’avons pas les installations, ni les ressources pour continuer à accueillir tout ce monde. Aussi, ça nous empêche de pouvoir utiliser nos locaux pour d’autres groupes»,admet Mgr Poisson.
Pas de réponse
Au moment d’aller sous presse, nous n’avons pas eu de retour d’appel de Steve Cherenfant, l’un des dirigeants du nouvel OSBL. Par contre, selon nos informations, il serait sur le point de faire une déclaration publique pour expliquer son point de vue.
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La Soupe sur le point de quitter la Cathédrale: «On ne peut plus supporter un déficit de 60 000 $ par année» -Mgr Raymond Poisson

Par Mathieu Locas
Des dizaines pour ne pas dire quelques centaines de millions de dollars en projets de construction sont sur les planches à dessin à Saint-Jérôme. Le paysage de la ville sera passablement modifié dès 2019 avec le début de travaux de construction de près de 1 200 unités de logement et d’un agrandissement important de l’Hôpital de Saint-Jérôme.
Deux tours de 12 étages
Près du centre-ville, la Ville étudie un projet de deux tours de 12 étages sur le site de l’ancienne fonderie ML Viau, rue Saint-Joseph, entre Labelle et Brière. Ces deux tours vont regrouper un total de 335 unités de logement. Le terrain est vacant depuis le déménagement de l’entreprise, au milieu des années 2000, sur la route 158 à Mirabel, près de la frontière de Saint-Jérôme.
Comme le terrain demeure assez restreint pour accueillir autant de logements, le promoteur Lafond architectes prévoit l’établissement de deux stationnements souterrains reliés entre eux.
Quatre tours et résidences pour aînés
L’autre projet d’envergure, aussi piloté par la firme Lafond architectes, sera situé sur le site d’une autre ancienne fonderie du secteur Sainte-Marcelle. Le vaste terrain, où opérait la Mueller jusqu’en 2014, à l’angle de Castonguay et Gauthier, servira à la construction de 422 unités de logement regroupées à l’intérieur de quatre tours de cinq à huit étages. Là aussi, on retrouvera des stationnements souterrains qui relieront les tours.
Sur le même site, le projet prévoit l’établissement de 280 résidences privées d’hébergement pour personnes âgées. Selon les documents présentés à la Ville de Saint-Jérôme, le promoteur veut construire cinq piscines creusées, un pavillon et aussi une clinique médicale.
Six bâtiments
Un autre projet, celui-là situé sur la 117 dans le secteur Saint-Antoine, tout juste avant le viaduc ferroviaire, fait état de la construction de 144 logements. Six bâtiments de trois étages seront érigés aux adresses 920 et 930 des Laurentides.
Cette construction sera gérée par Développement Zone Vente, une entreprise de Terrebonne spécialisée dans la gestion et la conception de projets immobiliers. Par contre, selon le Registre foncier du Québec, les terrains appartiennent à l’entreprise 9371-3345 Québec inc., dont le siège social est à Saint-Colomban. Le Registre des entreprises du Québec indique que l’entreprise a vu le jour le 21 décembre 2017 et qu’elle se spécialise dans les projets immobiliers. Les trois principaux actionnaires sont Christian Lessard, Jonathan Fisette et Étienne Viel.
CISSS
Le dernier projet d’envergure se situe sur le quadrilatère des boulevards Jean-Paul-Hogue, Jean-Baptiste-Rolland, de la 5e Rue et de la route 117, derrière les restaurants Mikes et Harvey’s. Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides a présenté un projet de construction de bâtiments pour l’établissement de bureaux administratifs, d’un centre d’accueil de jour, d’un CLSC, d’un centre d’accueil ou établissement curatif ainsi que d’un sanatorium, une maison de convalescence et d’une maison de repos.
Il reste quelques étapes administratives avant d’obtenir une approbation officielle. Dans le cas des projets de construction privés, il y de fortes chances que la construction débute plus rapidement puisque les entreprises ne sont pas assujetties aux mêmes normes en matière d’octrois de contrats qu’une construction gouvernementale.
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Saint-Colomban: la Fête hivernale est de retour!