«Est-il possible d’en arriver un jour à générer zéro déchet?», demande Valérie Grenier aux élèves de deux classes de cinquième année de l’école du Triolet de Saint-Colomban.
Parmi les jeunes, les avis sont partagés.
Certains y croient, d’autres s’interrogent.
Ça adonne bien, c’est justement pour leur apprendre comment viser cet objectif que Mme Grenier leur rend visite en ce matin du début novembre.
Son atelier Génération Zéro Déchet se veut interactif et les élèves participent de bon cœur.
Comme quoi, à cet âge, on est souvent ouvert sur la question.
Des choix différents
Une partie de la réponse à la question de Valérie Grenier se trouve dans le fait que, comme elle le dit, il faut faire des choix différents.
Ça passe notamment, insiste-t-elle, par l’élimination des sacs de plastique, dommageables pour l’environnement. À plus forte raison quand on mise (comme c’est le cas, entre autres, dans le domaine de l’alimentation) sur le suremballage.
La récupération, on s’en doute bien, représente également un bon moyen d’éliminer nombre de choses qui se retrouvent dans les sites d’enfouissement.
Encore faut-il mieux évaluer les produits qui sont destinés à la récupération et d’autres pas; dont certains types de plastique.
C’est aussi vrai au niveau du compostage qui permet de «récupérer» des choses qui, ainsi, ne se retrouvent pas dans le bac à rebuts.
Comité environnemental
Dans sa démarche actuelle, Valérie Grenier a rencontré pas moins de 1 643 élèves dans quatre écoles de Saint-Colomban et une de Boisbriand.
Sa visite sera suivie de la formation d’un comité environnemental dans les écoles de Saint-Colomban.
Un comité qui sera formé d’élèves et d’enseignants dont la mission sera basée sur des actions qui commencent par R (réduire, réutiliser, recycler et refuser), auxquelles s’ajoute le compostage.
Tient, parlant de compostage, savez-vous que la brosse à dents en plastique dont vous disposerez quand elle sera devenue inutilisable est plus difficilement transformable (sinon inutile) que celle en bois qui est fabriquée d’un matériau naturel, donc compostable?
On dit ça de même…
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On a célébré jeudi soir dernier, à la cafétéria de la polyvalente de Saint-Jérôme, le 21e anniversaire de l’organisme Prométhée.
Le hasard fait bien les choses, puisque c’est souvent à cette même cafétéria que Gilles Trudel, enseignant à la retraite et instigateur du projet, a souvent rencontré depuis plus de deux décennies les élèves bénéficiaires du projet qui, en résumé, permet de jumeler un élève en difficultés avec un mentor.
Parti de la polyvalente, il y a 21 ans, Prométhée est aujourd’hui impliqué dans quelque 11 écoles de la Commission scolaire de la Rivière-du-Nord.
Potentiel décrocheurs devenus mentors
Au fil de ces 21 années, c’est plus d’un millier de jeunes qui ont profité de ce jumelage. Même que certains d’entre eux sont devenus des mentors qui s’impliquent au sein de l’organisme.
Travail reconnu
Au fil des ans, le travail de Gilles Trudel a été reconnu à l’échelle régionale, d’abord, mais aussi à l’école nationale.
Il y a deux ans, M. Trudel a été le choix du public du concours Gens de cœur, organisé par la Société Radio-Canada.
La même année, on lui a décerné le prix Bénévolat Québec pour la région des Laurentides.
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Du mentorat pour des élèves en difficultés: Prométhée a 21 ans

Le Rocket de Laval organise un match-bénéfice au profit de la Fondation du Cégep de Saint-Jérôme, le 8 février, à 19 h 30, à la Place Bell, de Laval.
Une partie de la vente des billets – offerts au prix spécial de 25 $ – servira à financer la bonification de l’équipement technologique du Centre de simulation haute-fidélité du Cégep de Saint-Jérôme et du Centre collégial de Mont-Laurier.
Simulation d’accouchement
L’argent permettra notamment l’acquisition d’un mannequin de femme de taille réelle simulant l’accouchement d’un bébé.
Ces équipements à la fine pointe de la technologie serviront à la formation en obstétrique, en santé maternelle et en santé infantile des étudiants en Soins infirmiers, du Cégep de Saint-Jérôme et du Centre collégial de Mont-Laurier.
«Nos étudiants pourront s’exercer et raffiner leurs compétences en étant confrontés à toutes les situations auxquelles ils devront faire face au terme de leur parcours académique», mentionnent Sylvie Marsan et Annie Denoncourt, les coordonnatrices du Centre de simulation en soins infirmiers.
Cette initiative de la Fondation s’inscrit dans le cadre de la campagne majeure Voir grand pour soigner, dont l’objectif s’élève à 1,6 M$.
Une seconde fierté
Lors du match, non seulement la communauté du Cégep de Saint-Jérôme encouragera sa fondation (par la vente de billets et du tirage moitié-moitié), mais pourra également voir son protégé Alexandre Alain, à l’œuvre.
Cet ancien étudiant du CSTJ qui évolue aujourd’hui au sein du Rocket de Laval demeure une grande fierté pour le Collège. Reconnu pour ses performances académiques prodigieuses (il a terminé son DEC avec une cote R de 34,471) et ses exploits sportifs remarquables, Alexandre incarne parfaitement les valeurs du CSTJ!
En répondant présent à l’évènement du 8 février, vous poserez donc un geste généreux tout en vous faisant plaisir! Célébrez ce beau mariage entre la détermination académique et le hockey en assistant au match du Rocket le 8 février!
Deux moyens 
&#8211; Achetez des billets pour le match du 8 février en utilisant le code promo CSTJ2019.
Vous bénéficierez ainsi d’un rabais sur le prix du billet, en plus de faire un don à la Fondation du Cégep de Saint-Jérôme!
&#8211; Lors du match, participez au tirage moitié-moitié au profit de la Fondation du Cégep de Saint-Jérôme!
Pour en savoir plus et se procurer des billets, on visite le [cstj.qc.ca].
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Tournée dans les écoles de Saint-Colomban: Zéro déchet, est-ce possible?