« Dans un contexte où nos jeunes occuperont plus de la moitié des emplois disponibles au cours de la prochaine décennie, il est primordial d’engager avec eux une discussion concernant leur avenir professionnel », énonce Kateri Champagne Jourdain, ministre de l’Emploi par communiqué lors du lancement de la campagne.



L’édition&nbsp;2022-2023 met de l’avant des secteurs dits comme stratégiques dans l’économie québécoise. On y retrouve entre autres les technologies de l’information, le génie et la construction.



La campagne a pour but d’encourager les jeunes en recherche d’emploi ou en voit de l’être à voir les possibilités dans certains secteurs ciblés, considérés comme fortement atteints par la pénurie de main-d’œuvre.



Le <a href="https://www.quebec.ca/emploi/metiers-professions/metiers-professions-avenir">site de la campagne </a>se veut facile d’accès par ses utilisateurs. Présentant d’abord les passions générales comme l’art, le sport et la musique, il met ensuite en valeur les secteurs où la demande de travailleurs est forte.



Par chacun des secteurs, plusieurs dizaines de perspectives d’emploi sont décrites, incluant le salaire horaire et les tâches associés. Des formations menant à l’emploi sont ensuite proposées avec davantage d’informations.



<h2>Des métiers d’avenir? Pourquoi?</h2>



Plusieurs raisons sont données quant au pourquoi du choix des emplois présentés dans le cadre de la campagne. Le renouvellement de la main-d’œuvre est bien entendu soulevé, vu le nombre de départ à la retraite élevé dans le domaine. Mais on compte également faire découvrir des corps de métier moins connus. Dans la majorité des cas, le placement ap

Selon le besoin et l’évaluation de l’état de santé de la personne, le GAP pourra diriger la personne vers l’un des professionnels disponibles dont les services s’ajoutent aux consultations médicales déjà offertes depuis cet été dans la région. Cette offre de consultation diversifiée permet de diriger les patients vers le bon professionnel pour ainsi stabiliser ou améliorer divers problèmes de santé ponctuels. <figure class="wp-block-image size-large"><img class="wp-image-82808" src="https://bn.leveil.com/wp-content/uploads/2022/12/guichet-acces-b-853x640.jpg" alt="Équipe du Guichet d'accès à la première ligne"><figcaption>L’équipe du Guichet d’accès à la première ligne et la première patiente du service de consultation en soins infirmiers. De gauche à droite : Jason Belisle, Zineb Yacoubi Soussane, Renée Charpentier, Kathryne Sanz (patiente), Josiane Rousseau et Dre Anouk Taster.</figcaption></figure> Pour la présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides, Rosemonde Landry, cette nouveauté permettra d’améliorer concrètement l’accès aux soins et aux services pour la population des Laurentides. « Il est important pour nous que les personnes sans médecin de famille puissent avoir accès à des services qui répondent à leurs besoins. Puisque chaque situation est unique, c’est une très bonne nouvelle que nous puissions offrir des consultations auprès de différents professionnels de la santé et des services sociaux », souligne-t-elle.



Les personnes sans médecin de famille peuvent joindre le GAP en composant le 811, option 3. Le numéro unique du 811 est un accès facile à tous les services de consultation téléphoniques, gratuits et confidentiels.

Patiente en consultation avec une infirmière

Nouveaux services pour les personnes sans médecin de famille

Voilà pourquoi en ce 3 décembre, Journée internationale des personnes handicapées, nous, l’organisme Moelle épinière et motricité Québec (MÉMO-Qc), appuyé par le Collectif d’organismes pour la défense des droits des personnes en situation de handicap (CODDPSH), invitons les leaders politiques, sociaux et toute la population à se questionner collectivement sur la place des personnes en situation de handicap dans la société québécoise.



D’autant plus que les droits de ce groupe s’enchâssent dans divers outils législatifs. On compte notamment, la Charte québécoise qui garantit l’exercice des droits des personnes en situation de handicap sans discrimination; la Loi assurant l’exercice des droits des personnes handicapées en vue de leur intégration scolaire, professionnelle et sociale, entrée en vigueur en 1978 et renforcée en 2004, qui responsabilise les différents acteurs publics à l’égard de leurs besoins ainsi que la politique À part… égale, adoptée en 1984 et mise à jour en 2009 sous le nom À part entière : pour un véritable exercice du droit à l’égalité, qui vise à accroître la participation sociale des personnes handicapées.



Pourtant, malgré l’existence de ces sources de droit, nous remarquons peu de résultats structurels de la part des différents paliers gouvernementaux. Nous constatons avec regret que le Québec ne bénéficie toujours pas d’outils législatifs forts reconnaissant clairement les droits spécifiques aux personnes en situation de handicap, et contraignant réellement la majorité des acteurs privés et publics à agir pour améliorer les choses. Par conséquent, les décideurs et les administrateurs arrivent encore trop souvent à esquiver leurs responsabilités, et ce, en toute impunité. Les personnes en situation de handicap en sont donc toujours, même au crépuscule de l’année 2022, à revendiquer des droits de base auprès des élus et élues.



Des exemples? En matière d’employabilité, la dernière enquête statistique d’envergure, qui date de 2017, relevait que seulement 55 % des personnes ayant des incapacités étaient représentées sur le marché du travail contre 79,3 % des personnes sans incapacité. Un écart de 23,2 %, et ce, dans un contexte où le nombre de travailleurs et travailleuses sur le marché décroit sans cesse depuis 2010! Une étude récente de l’Institut de la statistique du Québec démontre pourtant qu’une grande proportion des personnes ayant des incapacités étaient aptes au travail, ce qui ne les empêche pas de vivre encore de la discrimination. L’étude constate que le milieu de l’emploi est marqué d’embuches à leur égard et que l’adaptation de l’environnement de travail ou de l’organisation du travail est une des clés pour favoriser leur inclusion parmi les contribuables. Ces constats sont bien connus et ont été maintes fois mis en lumière. Pourtant, sur le terrain, nous voyons peu d’évolution.



Un deuxième exemple vise l’accès concret aux soins de santé. Si nous parlons souvent d’un système de santé à deux vitesses au Québec, il faut en ajouter une troisième pour les personnes en situation de handicap. Est-ce normal qu’à l’aube de l’an 2023, des femmes aient le temps de développer des tumeurs à l’utérus et doivent sortir de leurs régions avant d’avoir accès à une table d’examen gynécologique adaptée? Est-ce



conséquent que des cliniques médicales prétendument accessibles n’aient pas le matériel requis pour faire des examens aux personnes ayant de grandes limitations motrices? Est-ce logique que des personnes tétraplégiques ressortent des centres hospitaliers du Québec en moins bon état qu’elles n’y sont entrées? La réponse à ces questions devrait être non. Malheureusement, encore aujourd’hui, trop de centres hospitaliers ont une méconnaissance des besoins des personnes lourdement handicapées et les infrastructures continuent de ne pas être pensées pour les servir. Dans le secteur des soins privés, comme il n’existe aucun incitatif financier ou légal pour favoriser l’accessibilité, la problématique est encore plus criante.



Un troisième exemple concerne les revendications dans le secteur du transport adapté qui traverse actuellement une crise inqualifiable. N’offrant souvent que quelques plages horaires très espacées par jour, les services de transport en commun accessibles offerts par les municipalités répondent rarement aux besoins de déplacements des personnes en situation de handicap. Les services des taxis accessibles, plus flexibles, assumaient jadis jusqu’à 77 % des services et la demande était en croissance. Cependant, la pénurie de personnel, le coût d’exploitation des véhicules adaptés et la récente réforme de l’industrie du taxi font en sorte que l’offre est devenue ridiculement insuffisante. On voit même des régions et municipalités qui n’ont plus aucun taxi adapté comme Rouyn-Noranda et Saint-Joseph-de-Coleraine. Ainsi, les services de transport adapté municipaux subissent une hausse de la demande à laquelle ils sont incapables de répondre. Cela mène à des bris de services et des réductions drastiques. Les personnes en situation de handicap sont donc privées de mobilité et laissées à elles-mêmes, isolées, précarisées et privées de loisirs.



Ces trois exemples éloquents sont pourtant liés à des besoins fondamentaux pour l’inclusion sociale et professionnelle des personnes en situation de handicap. Nous aurions cependant tout aussi pu aborder les difficultés à cultiver une sympathie proactive dans l’espace médiatique et public, les obstacles pour trouver un logement adapté, les entraves à l’accessibilité architecturale dans les milieux urbains comme ruraux ou encore les difficultés sans précédent à obtenir des soins à domicile de qualité adéquate.



Nous sommes évidemment conscients que le système public a subi une série de conjonctures qui laissent encore leurs marques aujourd’hui, notamment la réforme du système de santé de 2015 qui a décimé les services de proximité ou encore la pandémie de COVID-19. Cependant, nous croyons que le piètre état des droits des personnes en situation de handicap ne découle pas exclusivement de ces conjonctures, mais plutôt d’un manque de volonté politique et du manque de soutien à l’endroit du milieu associatif oeuvrant dans le secteur du handicap.



À cet effet, nous nous permettons un aparté afin de souligner l’importance d’un contre-pouvoir solide portant l’identité collective du groupe des personnes en situation de handicap. Historiquement, ce contre-pouvoir se constitue d’organisations communautaires autonomes. Or, le sous-financement du milieu associatif, jumelé à la hausse des besoins ainsi qu’à la fragmentation de la société, nous place devant un milieu associatif à bout de souffle.



Les constats de cette lettre témoignent d’une situation urgente et impérieuse. Nous demandons l’action immédiate de la classe politique d’une part, de façon à protéger les droits des personnes en situation de handicap de la province, et d’autre part, de façon à soutenir le milieu associatif en lui donnant les moyens de représenter leurs intérêts. Nous



espérons aussi avoir sensibilisé les lecteurs et lectrices aux réalités vécues par plus de



1 385 000 personnes en situation de handicap, soit 16,1 % de la population québécoise.



Puisse cette missive être le tremplin d’un mouvement collectif porteur qui permettra enfin



à celles-ci de devenir réellement une partie intégrante et active d’une société inclusive



modèle qui fera l’envie du monde entier. En souhaitant à tous et toutes une très belle



Journée internationale des personnes handicapées!



Marie-Blanche Rémillard, Québec



Présidente du Conseil d’administration



Moelle épinière et motricité Québec



Walter Zelaya, Montréal



Directeur général



Moelle épinière et motricité Québec



wzelaya@moelleepiniere.com (poste 220)



Anabelle Grenon Fortin, Montréal



Organisatrice communautaire – Défense des droits



Moelle épinière et motricité Québec



agrenonfortin@moelleepiniere.com (poste 219)



Avec l’appui des membres du CODDPSH dont la plateforme de revendications est



disponible au https://www.moelleepiniere.com/coddpsh/



Emmanuel Barbot, Montréal



Centre communautaire Radisson



Line Beauregard, Québec



Réseau international sur le Processus de production du handicap (RIPPH)



Selma Kouidri, Montréal



Institut National pour l’Équité, l’Égalité et l’Inclusion des personnes en situation de



handicap (INÉÉI – PSH)



Florence Pardo, Montréal



Action Femmes et handicap (AFH)



Smaille Pierrilus, Montréal



Association multiethnique pour l’intégration des personnes handicapées (AMEIPH)



Serge Poulin, Montréal



Regroupement des Usagers du Transport Adapté et accessible de l&#8217;île de Montréal



(RUTA Mtl)



Dominique Salgado, Québec



Comité d’action des personnes vivant des situations de handicap (CAPVISH)



Marie Turcotte, Montréal



Ex aequo

Lettre ouverte pour la solidarité et la considération des personnes en situation de handicap

Une campagne lancée pour faire connaître des métiers méconnus

Actualités

COVID-19

Faits divers

Lettres ouvertes

Politique

SANTÉ

Société

Économie

Éducation

«Je ne peux pas venir à Saint-Jérôme sans parler de la compagnie Lion. Il y a (là) un potentiel extraordinaire…» lançait François Legault mardi dernier.
De passage en sol jérômien dans le cadre de sa tournée estivale des régions du Québec, le premier ministre ne tarissait pas d’éloges envers la Compagnie Électrique Lion, au moment du point de presse qui clôturait la journée.
«Attendez-vous à ce que, dans les prochaines années, la compagnie Lion grandisse beaucoup à Saint-Jérôme (…) C’est un beau créneau. On peut construire beaucoup d’entreprises autour de cette compagnie Lion qui est une entreprise prometteuse à Saint-Jérôme» notait-il à cette occasion.
Premiers camions
Effet du hasard ou non, le jour-même, Lion et Boivin Évolution (BEV) annonçaient les premières ventes de châssis du Lion8 avec des bennes à chargement latéral complètement automatisé à Waste Connections, un fournisseur de premier plan de services de collecte, de transfert, de recyclage et d’élimination des déchets solides non dangereux aux États-Unis et au Canada. L’introduction de ces véhicules électriques (fabriqués à Saint-Jérôme) sur les marchés de Washington et de la Floride, précisent les deux entreprises québécoises, «représentera les premières utilisations en Amérique du Nord de camions propres avec bennes de collecte de matières résiduelles entièrement électriques et des bras automatisés».
«Développée pour le marché électrique, la combinaison du châssis Lion8 et de la benne à chargement latéral automatisé à 100 % électrique de BEV offre une solution rentable de gestion des déchets, qui réduit les émissions de gaz à effet de serre» précise-t-on.
Avantages substantiels 
On s’en doute, Marc Bédard, président et fondateur de la Compagnie Électrique Lion, accueille cette première avec joie.
«Nous sommes reconnaissants à Waste Connections de diriger le mouvement vers l’utilisation des véhicules électriques lourds et nous sommes ravis qu’ils aient choisi Lion pour les aider dans leur transition vers une flotte à zéro émission. Je suis convaincu que les camions de collecte de matières résiduelles entièrement électriques de Lion seront un ajout précieux aux activités de Waste Connections. J’espère que cette transaction inspirera tous ceux qui recherchent une solution de transport économique, durable et écologique pour tirer parti des avantages substantiels de l’électrification».
Lancement
On se souviendra que le lancement du Lion8 a été fait à Saint-Jérôme en novembre dernier alors que les ministres Pierre Fitzgibbon, Économie et Innovation, et Benoît Charrette, Environnement et Lutte contre les changements climatiques, étaient sur place pour l’occasion.
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Compagnie Électrique Lion

Vantée par le premier ministre: Lion livre ses premiers camions électriques

«On constate un grand relâchement (dans la population). (Il est important) de respecter les mesures de protection. C’est comme ça que nous allons éviter une deuxième vague» a lancé, un peu comme un avertissement, lundi Rosemonde Landry, présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides, au cours d’une conférence téléphonique avec les journalistes régionaux.
Éclosion
Parallèlement à ce constat de Mme Landry, l’éclosion amorcée au début du mois dernier à l’hôpital régional de Saint-Jérôme, ne se dément pas.
Lundi, les autorités du CISSS parlaient de 91 cas parmi les patients et 71 au niveau du personnel.
Sylvain Pomerleau, directeur général adjoint programme santé physique générale et spécialisée, de l&#8217;enseignement et de la rechercheau CISSS des Laurentides, tient tout de même à faire remarquer que dans la semaine du 28 juin, 20 cas nouveaux cas auraient été enregistrés, comparativement à 12 dans la semaine du 5 juillet. Ce qui fait dire à M.Pomerleau, qu’on «enregistre une réduction progressive du nombre de nouveaux cas».
Legault
Dans un autre ordre d’idée, Rosemonde Landry, a rencontré le premier ministre François Legault, de passage à Saint-Jérôme mardi.
Il a, bien sûr, été question de la COVID-19.
«On a fait un bilan de la situation, de ce qui s’est passé depuis quatre mois, en particulier dans les résidences de personnes âgées. Évidemment, un peu comme on a vu dans les autres régions, il y a eu un manque de personnel important. Heureusement, le CISSS a amené des employés pour remplacer ceux qui avaient été atteints de la COVID-19 ou (ceux) qui avaient peur (d’être contaminés). On a quand même, il faut l’avouer, manqué d’employés. On en manquait depuis plusieurs années dans nos CHSLD dans nos résidences.
Heureusement, dans les Laurentides, il a actuellement 500 étudiants qui vont venir s’ajouter au personnel en place» a résumé M.Legault, en point de presse.
Bilan des cas
Par ailleurs, à la lumière des statistiques dévoilées par le CISSS des Laurentides, vendredi dernier, on affichait un total de 550 cas (une augmentation de 17, en comparaison de la semaine dernière) cde COVID-19 à Saint-Jérôme.
Dans les Laurentides, Saint-Jérôme se retrouve (en nombre de cas) devant Blainville avec 348 (+11), Mirabel avec 332 (+9), Sainte-Thérèse avec 308 (même total), Saint-Eustache avec 289 (+9) et Boisbriand avec 256 (+2).
Les quatre MRC du sud de la région affichaient au 9 juillet (le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) publie le vendredi les statistiques compilées le jeudi à 18h00) un total de 3 012 cas.
Au total par MRC, ça donne 1 248 (+32) cas pour Thérèse-de Blainville, 859 (+28) pour Rivière-du-Nord, 582 (+17) pour Deux-Montagnes et 323 pour Mirabel (une ville, une MRC),
Densité de population
On sait que les trois MRC du sud de la région font partie de la Communauté métropolitaine de Montréal qui est très touchée actuellement par la COVID-19.
Interrogé, mardi dernier, à savoir si, dans un tel contexte, les trois MRC du sud de la région des Laurentides n’ont pas été défavorisées quand est venu le moment de déconfiner (étant assujetti aux mêmes règles que les autres villes de la CMM dont elles font partie), le premier ministre François Legault a dit qu’«il faut regarder la réalité municipalité par municipalité. Sainte-Anne-de-Bellevue (d’où il est natif), c’est pas mal plus loin du centre-ville de Montréal que Blainville et Boisbriand (…) Il faut regarder là où il y a de la densité (de population). Il y a une différence entre le sud des Laurentides et le Nord (plus rural). Il y avait, par 1 000 habitants, plus de personnes contaminées dans le sud des Laurentides que dans le nord (…) C’est normal que les mesures soient différentes. Ça a été plus compliqué à appliquer, mais ce n’est pas vrai que le virus arrête à la grandeur de la ville de Montréal».
Rivière-du-Nord
En outre, si les chiffres publiés par le CISSS des Laurentides révèlent (sur le territoire de la MRC de la Rivière-du-Nord), une forte proportion des cas à Saint-Jérôme on en retrouve, tout de même, 102 (+3) à Sainte-Sophie, 86 (+4) à Saint-Colomban, 81 (+2) à Prévost et 40 (+2) à Saint-Hippolyte.
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CISSS des Laurentides

François Legault

Rosemonde Landry

CVID-19

COVID-19:«Un grand relâchement» constate Rosemonde Landry

Il a notamment été question d’économie, mais pas de financement du service de police de Saint-Jérôme, mardi dernier, quand le maire Stéphane Maher a rencontré le premier ministre François Legault dans une salle du théâtre Gilles- Vigneault.
«On n’a pas discuté de cela aujourd’hui, mais c’est un sujet qu’on avait déjà discuté et que j’ai eu l’occasion de discuter avec Geneviève Guilbault, la ministre de la Sécurité publique» a, d’entrée de jeu, répondu M.Legault au représentant du Journal Infos Laurentidesqui lui a posé la question au cours du point de presse qui a suivi la rencontre à laquelle participaient également le député de Saint-Jérôme, Youri Chassin, et le préfet de la MRC de la Rivière-du-Nord, Bruno Laroche.
Équité
«Il semble qu’il y a peut-être un manque d’équité sur le financement qu’on demande aux citoyens de la municipalité par rapport au financement qui vient de Québec» de reprendre le premier ministre, avant d’ajouter «en même temps, quand on a son propre corps de police, c’est nous, comme municipalité, qui négocions avec les syndicats, alors, on ne peut pas se plaindre qu’il y a une explosion des coûts (quand) c’est nous-mêmes qui l’avons négociée».
«Mais, ça fait partie des réflexions qu’on a actuellement, qu’a Geneviève Guilbault, pour s’assurer qu’il y ait une équité sur le coût des services de police qui est attribué à chaque municipalité».
Interrogé sur la question des négociations avec les policiers jérômiens (avec qui il a signé il n’y a pas tellement longtemps une nouvelle convention collective), Stéphane Maher a dit que les conventions collectives avec les policiers (service de police municipal) se «ressemblent pas mal toutes» et (comme, il l’avait dit il y a quelques mois) «on n’a pas une police chromée».
Fin 2020 ou début 2021
Toujours est-il, répondra M.Legault, à une autre de nos questions sur le dossier que «l’échéancier que Mme Guilbault s’était donné, c’est d’avoir des résultats soit à la fin de 2020 ou début 2021».
Les Jérômiens pourraient donc être fixés, d’ici un an, sur la facture qu’ils devront payer pour la police.
Autres dossiers
Quant aux autres dossiers (outre celui de l’agrandissement de l’hôpital), les deux politiciens ont parlé d’un éventuel nouveau pavillon de l’UQO («le maire a demandé́ à ce que l’Université du Québec en Outaouais obtienne le financement adéquat pour ajouter un nouveau pavillon à son campus de Saint-Jérôme afin de répondre à la demande qui ne cesse d’augmenter» rapporte-t-on dans un communiqué émis par la Ville suite à la rencontre).
Aussi, des projets de construction d’une nouvelle bibliothèque centrale et d’un complexe aquatique d’envergure régionale. «Il (François Legault) m’a dit de relancer (auprès des instances gouvernementales) les deux dossiers» indique Stéphane Maher.
Il a également été question du fait que la Ville de Saint-Jérôme espère que le gouvernement du Québec donnera son appui à ses démarches pour rapatrier la gouvernance du transport collectif local.
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Service de police de la ville de Saint-Jérôme

Financement de la police de Saint-Jérôme: François Legault prône l’équité…

Cher Environnement,
L’année 2020 n’aura pas été facile pour personne et certainement pas pour toi. Après plusieurs marches historiques pour le climat un peu partout dans le monde et plusieurs belles promesses en 2019, notre « Je me souviens » a la mémoire courte, car on est rapidement passés à autre chose, alors que l’Australie a brûlé et qu’une crise sanitaire sans précédent a pris toute la place dans les médias et s’est installée dans nos craintes collectives.
Bien que nous ayons reculé de 3 petites semaines le Jour du dépassement de la Terre, que le télétravail, la fermeture de certaines usines et commerces aient fait diminuer la production de gaz à effets de serre pour le Québec, tu le sais, comme nous, que ces effets ne sont que temporaires et que l’urgence de prendre soin de toi persiste.
Certaines personnes ont profité de la pandémie pour revenir vers plus de simplicité, plus de “fait maison”, plus de récupération. D’autres se sont intéressés aux paniers bio, à l&#8217;agriculture locale, respectueuse de la Terre et au rythme régénérateur des saisons, qui ne permet pas de consommer des fraises en hiver. Un autre mouvement s’est créé pour tenter de soutenir les petites entreprises d’ici dans un contexte économique fragile et incertain. Cet engouement pour l’entraide, la compassion et la patience pour les files d’attentes a placé l’être humain au coeur de discussions plus que nécessaires. Nous avons aussi pris conscience que l’individualité d’un geste peut avoir des répercussions bien plus grandes que soi, pour le meilleur et pour le pire, et que c’est ensemble qu’on contribue au bien-être collectif. Ce temps d’arrêt imposé nous a permis d’entamer des réflexions plus que pertinentes sur le fonctionnement de nos systèmes. S’arrêter nous permet de prendre le temps d’observer. On devrait peut-être ralentir plus souvent.
On n’a pas beaucoup parlé de toi au début et tu as été maltraité par le retour en force du plastique à usage unique, nouveau symbole de sécurité sanitaire pour plusieurs. S’en est suivie une série de semaines d’isolement, un nombre triste de masques jetables au sol et les poubelles de la ville qui se sont remplies de tasses à café jetables et autres emballages générés par les commandes en ligne. Nos cerfs de Longueuil sont protégés, GNL Québec peut maintenant commencer, un cerf pour un béluga, fair enough ? Vraiment, c’est comme si on reculait de plusieurs pas en arrière. Toi, tu ne peux plus attendre. Tu as besoin qu’on s’occupe de toi pour pas que la 3e vague soit celle d’une catastrophe climatique.
On a aussi beaucoup parlé de cette dette économique, mais la dette environnementale que nous laissons aux générations futures, à nos jeunes si sensibilisés qui vivent déjà cette éco-anxiété, on en fait quoi? Cette dette qui n’est pas remboursable et qui ne sera pas effacée qu’en plantant des arbres et en faisant un semblant de recyclage.
Il faut revoir notre économie pour t’y mettre au centre. Pour atteindre de manière plus réaliste nos objectifs de carboneutralité. Nous sommes déjà tellement loin de pouvoir atteindre le 37,5 % de réduction des GES de 2030 et nous faisons du sur place depuis trop longtemps. Entre les belles promesses gouvernementales, les conspirationnistes, le greenwashing et les commentaires sur les réseaux sociaux, on peut comprendre que c’est une période difficile pour toi et pour l’espoir. Le télétravail s’est imposé cette année, à ton grand plaisir. Les voitures restent stationnées et ça te laisse respirer un peu. Plusieurs y ont pris goût et nous sommes d’avis que c’est un élément intéressant de ce fameux équilibre que nous cherchons à instaurer. Ajoutons à cela l’interdiction d’ici 2035 de la vente de voitures à essence et le co-voiturage, espérons que tout se tienne ensemble.
Il n’y a pas que les grandes institutions qui peuvent te faire des promesses. Les citoyen.ne.s ont aussi leur rôle à jouer dans ce grand nettoyage. Peut-être que ça commence avec des produits ménagers plus naturels et doux pour tes nappes phréatiques? Ou avant que cela devienne obligatoire l’année prochaine, les gens penseront peut-être déjà à traîner leurs sacs et bouteilles d&#8217;eau réutilisables? Il y a aussi le refus des consommateurs.trices pour les pailles, les ustensiles en plastique, les baguettes jetables, les sacs pour vos fruits et légumes et tellement plus.
Qu’est-ce qu’on te souhaite vraiment pour 2021?
On te souhaite que les gouvernements du monde entier investissent là où c’est nécessaire pour ta santé et que leurs paroles ne restent pas en l’air, que des espaces urbains soient de plus en plus aménagés pour prendre soin de toi, que les 5R deviennent un incontournable dans l’esprit de chacun d’entre nous, que le modèle de l&#8217;agriculture maraîchère et biologique qui prend soin de tes sols se répande partout, qu’on continue d’encourager l’économie d’ici qui prend soin de nous, mais de toi aussi. On te souhaite qu’on bannisse pour toujours le plastique à usage unique qui pourrit tes racines, que les citoyens.ne.s exercent leur droit et entament la conversation avec les commerçants pour faire avancer les choses dans ta direction, que les cyclistes soient de plus en plus nombreux à respirer ton air frais, que le télétravail soit roi et qu’on te laisse tranquille un peu, que tu sois invité à 
tous les repas du monde, qu’on passe à l’action pour toi et peut-être, qu’on retourne dans la rue pour se rappeler combien nous étions nombreux à manifester pour toi…
On parle beaucoup de résilience ces temps-ci. On n’est pas parfaits, mais on s’engage à faire mieux. À sensibiliser, transmettre, écouter, supporter, suggérer, encourager la communauté zéro déchet qui gravite autour de nous.
Cher Environnement, on te souhaite une bonne année 2021, on l’espère,
L’Association québécoise Zéro Déchet

environnement

Association québécoise Zéro Déchet

Le «ça va bien aller» à l’environnement de l’Association québécoise Zéro Déchet

Depuis plusieurs années, la Société nationale des Québécoises et Québécois (SNQ) des Laurentides organise un concours sous forme de questionnaire afin de mettre à l&#8217;épreuve les connaissances de tous et chacun sur le fleurdelisé. Cette année ne fait pas exception et il reste quelques jours pour participer.
Les gens ont jusqu&#8217;au 20 janvier pour vérifier leurs connaissances et prendre part au <a href="https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeji895_0xrAnbflil1Dx9fjSiCxRngQJ_9hXYDnOW25PvNqQ/viewform">concours</a>.
Parmi les participants qui auront répondu correctement au questionnaire, la SNQ des Laurentides fera tirer cinq drapeaux du Québec (36 po X 54 po, valeur de 35 $) le 21 janvier.

concours

SNQ des Laurentides

drapeau

Testez vos connaissances sur le drapeau fleurdelisé

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Saint-Colomban a inauguré, le 2 janvier dernier, un tout nouveau site de plein air destiné aux citoyens: le sentier du golf Capri.
À la suite d’une entente avec le propriétaire du club de golf Capri, Patrice Arbic, il est maintenant possible pour les citoyens de pratiquer les sports suivants : la marche, le ski de fond, la raquette et depuis le 15 janvier, le fatbike.
Le sentier comprend trois circuits soit : 1,8 km, 3 km ou 5 km. C’est un parcours de niveau débutant et accessible pour tous les âges.
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Cette initiative permet à la Ville de multiplier les lieux propices à la pratique de sports de plein air dans ce contexte de pandémie, où seules les activités extérieures sont autorisées. Le sentier est un projet réalisé en étroite collaboration avec le Club de golf Capri afin d’offrir à la population un lieu vaste et majestueux durant toute la saison hivernale 2021.
L’accès au site est un privilège pour les citoyens, il est donc important de respecter les règles d’usages: le respect des sentiers déjà tracés afin d’éviter d’endommager le terrain, l’interdiction des animaux sur le site, le respect de la bulle familiale et du 2 mètres de distance en tout temps avec les autres usagers ainsi quel’interdiction des véhicules à moteur.
«C’est une priorité pour nous de développer encore plus d’activités extérieures à même notre environnement et ainsi mettre en valeur nos sites extérieurs, surtout dans le contexte actuel. Nous voulons travailler en collaboration avec nos citoyens et je remercie grandement l’ouverture dont fait preuve la famille Arbic» a déclaré le maire de Saint-Colomban Xavier-Antoine Lalande.
«Inviter les gens à pratiquer leurs sports d’hiver favoris, c’est une façon de m’impliquer auprès de la communauté. Ça me rend heureux de voir que la population participe et profite du sentier» a déclaré le propriétaire du club de golf Capri Patrice Arbic.
Pour connaître la mise à jour quotidienne des conditions des sites hivernaux de la ville de Saint-Colomban:  st-colomban.qc.ca/condition-des-sites-hivernaux
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Ville de Saint-Colomban

Club de golf Capri

Le sentier du golf Capri: un nouveau site de plein-air

Les travaux sont débutés depuis quelques mois déjà, mais c’est lundi dernier qu’on a lancé le projet de la nouvelle école secondaire sur la rue Lajeunesse à Saint-Jérôme.
L’ouverture de l’institution de « nouvelle génération » est prévue pour la rentrée 2023. On parle d’un projet de 171,8 M$.
Milieu de vie
Représenté lundi par le député de Saint-Jérôme, Youri Chassin, le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, a tenu à souligner que « le début des travaux de la nouvelle école secondaire à Saint-Jérôme démontre encore une fois que nous tenons nos promesses et que l’éducation est la priorité de notre gouvernement ! Nous posons encore aujourd’hui des gestes concrets pour que les jeunes puissent évoluer dans des écoles lumineuses, modernes et répondant aux besoins de nos jeunes. Je suis toujours très heureux d’annoncer une école de la « nouvelle génération d’école », car c’est bien plus qu’une nouvelle infrastructure que nous offrons ici : il s’agit d’un milieu de vie ainsi que d’un lieu d’apprentissage et de socialisation dans lequel les élèves pourront s’épanouir et développer leur plein potentiel. Le personnel scolaire y trouvera également son compte ».
À point
Dans les faits, a-t-il été permis d’apprendre, le bâtiment intégrera des toitures vertes, en plus d’un terrain de soccer et d’une piste d’athlétisme.
Par ailleurs, l’école sera munie d’une place publique extérieure partagée avec la communauté, d’un atrium avec des gradins fixes et d’une salle de spectacle fermée de 400 places.
D’une superficie de 21 000 mètres carrés, l’institution pourra accueillir jusqu’à 1 256 élèves de la 1reà la 5e  secondaire.
« La construction de cette école secondaire arrive àpoint pour notre organisation, qui jongle depuis plusieurs années avec une croissance soutenue de sa clientèle et un manque d’espace criant dans nos écoles » d’exprimer René Brisson, directeur général du CSSRDN. « En plus d’être certifiée LEED argent et d’offrir une haute performance énergétique permettant de réduire notre empreinte écologique et 55 % d’économie de coûts (une première au Canada), elle offrira un environnement pédagogique offrant une grande variété de types de locaux d’apprentissage pour nos élèves et les espaces communs seront accessibles et partagés avec la communauté ».
Alors que pour le maire Marc Bourcier, « la venue de cette nouvelle école secondaire, la première située à l’ouest de l’autoroute 15, me rend très enthousiaste. Je suis persuadé qu’il en est de même pour l’ensemble des citoyens de Saint-Jérôme, et plus particulièrement pour les parents et les élèves habitant ce secteur. Nous travaillerons à optimiser l’accessibilité à cette école par le transport en commun et par le prolongement de notre réseau de pistes cyclables dans une optique de développement durable et de valorisation du transport actif ».
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Ministère de l'Éducation

Jean-François Roberge

Youri Chassin

Centre de services scolaire de la Rivière-du-Nord

L’ouverture est prévue pour la rentrée 2023 : une école secondaire « nouvelle génération » à Saint-Jérôme

En amont de la Journée mondiale du souvenir des victimes des accidents de la route, qui aura lieu dimanche 21 novembre, la Sûreté du Québec dévoile sa nouvelle Stratégie en sécurité des réseaux de transport 2021-2026.
Les drames humains engendrés par les collisions touchent des milliers de personnes annuellement au Québec, qu’il s’agisse des victimes, de leurs proches, des conducteurs fautifs et même des premiers répondants. « La nouvelle stratégie de la Sûreté du Québec place la vie humaine au cœur de ses priorités. Elle permettra de diminuer progressivement le nombre de collisions mortelles et avec blessés graves qui surviennent sur les réseaux routiers et récréotouristiques desservis par la Sûreté », souligne l’inspecteur-chef Luc Belzile, directeur de la Sécurité des réseaux de transport de la Sûreté du Québec.
Avec la Stratégie 2021-2026 « la Sûreté poursuit ses efforts visant à améliorer le bilan routier et récréotouristique et à accroître le sentiment de sécurité des usagers de la route, des sentiers et des plans d’eau. Cette stratégie contribuera à l’adoption decomportements sécuritaires et tiendra compte de l’ensemble des composantes des réseaux de transport », poursuit l’inspecteur-chef Luc Belzile.
Le partenariat, condition essentielle de succès
La Stratégie 2021-2026 s’arrime aux meilleures pratiques en matière de sécurité routière, dont la Vision zéro, une tendance mondiale émergente qui repose sur un principe fondamental : la sécurité des réseaux de transport est une responsabilité partagée entre tous les acteurs-clés. Cette philosophie implique également un changement des perceptions associées au risque de collisions.
Cette nouvelle orientation va teinter nos actions et opérations sur le terrain pour les prochaines années. La Sûreté mise sur la collaboration entre tous les intervenants en sécurité routière, pour tendre vers un objectif commun, celui de rendre les réseaux de transport plus sécuritaires.
Cinq axes d’action
Pour atteindre ses objectifs, la Sûreté déploiera des actions concrètes qui découleront des cinq axes suivants :
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<li>Bonifier les partenariatsavec les intervenants en sécurité des réseaux de transport;</li>
<li>Renforcer l’application de la loi par des interventionsefficaces en sécurité des réseaux de transport;</li>
<li>Sensibiliser la population à l’adoption de comportements sécuritaires sur les réseaux de transport;</li>
<li>Tirer parti des technologies existantes et de l’innovation en sécurité des réseaux de transport;</li>
<li>Améliorer les pratiques d’évaluation en sécurité des réseaux de transport.</li>
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Jusqu’en 2026, ces cinq grands axes formant l’acronyme PISTE guideront les actions de la Sûreté du Québec en matière de sécurité routière et récréotouristique. Des pistes d’actions nationales, régionales et locales seront déployées tout au long de la Stratégie.
Ils ont dit
« Cette initiative de la Sûreté du Québec rencontre les objectifs de notre Stratégie de prévention en sécurité routière 2021-2023. Avec l’aide de nos partenaires policiers ainsi que l’ensemble de nos partenaires en sécurité routière, nous sommes persuadés d’améliorer de façon concrète la sécurité sur la route afin d’aller chercher les gains qui peuvent encore être obtenus en matière d’amélioration du bilan routier. »
Éric Santerre, directeur des Stratégies et des partenariats en sécurité routière, Société de l’assurance automobile du Québec
« Ensemble, que nous soyons des intervenants en sécurité routière ou des usagers de la route, nous pouvons réduire les décès, les blessés et par le fait même les dommages collatéraux auprès des familles des victimes de la route. Nos efforts collectifs ne peuvent que donner des résultats probants. Il est important que nous comprenions tous que les actions concertées découlant de la Stratégie de la Sûreté du Québec n’ont qu’un seul objectif, celui de sauver des vies. »
Didier Deramond, directeur général, Association des directeurs de police du Québec
 « Nous visons tous le même objectif : placer la vie humaine au cœur de nos priorités par l’amélioration du bilan routier et récréotouristique. Nous croyons que la concertation de nos efforts favorisera l’atteinte de cet objectif, puisque la sécurité des réseaux de transport concerne tous les corps policiers ainsi que nos partenaires privilégiés dans ce domaine. En ce sens, nous adhérons aux principes de la nouvelle Stratégie de la Sûreté du Québec. »
Pierre Simard, directeur général, Association des directeurs de police des Premières Nations et Inuits du Québec
Pour des informations additionnelles sur la Stratégie en sécurité des réseaux de transport 2021-2026, nous vous invitons à consulter <a href="https://www.sq.gouv.qc.ca/services/surveillance-du-territoire/">le site Internet de la Sûreté du Québec ici</a>.

Sûreté du Québec

La Sûreté du Québec lance sa nouvelle stratégie en sécurité des réseaux de transport 2021-2026

Le déneigement, le centre multisports, le développement du Lac Jérôme et les itinérants : autant de dossiers auxquels le nouveau maire de Saint-Jérôme, Marc Bourcier, entend s’attaquer à court terme, comme il en fait part samedi dernier au cours d’une rencontre avec le  Journal Infos Laurentides.
« Un mensonge »
D’abord le déneigement.
À cet égard, Marc Bourcier parle d’intervention plus rapides.
« Le déneigement, ça commence bientôt.
Il faut regarder le plan de déneigement au niveau de la ville et regarder ce qu’on peut améliorer immédiatement. (Ici, le maire dit) aucunement remettre en question le travail de nos employés. (Il faut, par contre) des sorties de véhicules un peu plus tôt. Même chose au niveau des chenillettes sur les trottoirs. Il faut qu’il y ait du travail à cet égard ».
Il n’est, par contre, pas question de promettre de déneiger tous les trottoirs comme l’a fait une adversaire politique.
« La mairesse (Janice Bélair-Rolland) avait promis que les trottoirs seraient tous déneigés alors qu’elle venait de vendre deux chenillettes, l’équivalent de 15 % de la flotte. (Pour déneiger tous les trottoirs) ça va prendre huit chenillettes supplémentaires et agrandir les sites de déneigement. C’est une coquette somme de 8 M$. Comment je dis aux citoyens : prenez votre mal en patience. Les chenillettes vont sortir plus tôt, mais ça va prendre deux ou trois ans avant de régulariser la situation. Je n’ai pas la prétention de dire les choses pour bien paraître. (La promesse de l’ex-mairesse) c’était un mensonge et la réalité est toute autre ».
Centre multisports et Lac Jérôme
Ce n’est un secret pour personne, Marc Bourcier était opposé à la construction du centre multisports (soccerplex).
Par contre, la construction est passablement avancée.
« Il va falloir faire avec parce que les contrats sont déjà signés et il va continuer d’être bâti » note le premier magistrat. « Il va falloir la rentabiliser. Amener la pratique d’autres sports».
En outre, dossier préoccupant pour plusieurs et qui a défrayé la manchette depuis plusieurs mois, le développement d’un écoquartier aux abords du lac Jérôme est également dans la mire du nouveau maire.
Il se veut clair.
« (Pour) le dossier du Lac Jérôme, c’est le moratoire. On arrête toute construction dans le secteur. Il n’y aura pas de boulevard. Il n’y aura pas d’avenues. Il n’y aura pas de prolongement de ce qui est déjà fait ».
Qui plus est, M.Bourcier parle d’avoir des alliés et donner davantage suite à des projets d’un tout autre ordre.
« On va faire appel à des organisations de protection de territoire. Canards illimités. M.Charette (Benoît, ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques) a promis de faire de la protection des milieux humides et des terres une priorité ».
« Nous on va se diriger vers l’implantation d’industries complémentaires à Lion. Le bureau du développement économique va être mis en opération. Ils vont avoir de l’ouvrage. Ils ont besoin d’attacher leur tuque avec de la broche. La promotion du développement industriel, c’est une priorité. C’est beaucoup plus payant que le développement immobilier. Les dix derniers développements immobiliers, ils n’ont pas été payants, parce qu’il faut payer les infrastructures. En même temps, les infrastructures routières vont être mises à rudes épreuves si on ajoute des milliers de véhicules ».
Itinérants
Dans un autre ordre d’idée, le maire Bourcier se dit aussi préoccupé que bien des gens par la situation des itinérants à Saint-Jérôme. Surtout avec la saison hivernale qui arrive bientôt.
« Ce n’est pas humain de ne pas loger ces gens-là en hiver… » lance-t-il.
« Les itinérants, ça peut être notre frère, notre fille, quelqu’un qui a perdu son emploi. Qu’est-ce qu’on fait avec ces gens-là ? Est-ce qu’on est protecteur pour quelqu’un qui provient (peut-être) de notre propre famille ?  Il faut aussi qu’ils (les itinérants) fassent attention à nous. C’est souvent des deux bords ».
« Ce que j’ai l’intention de faire, c’est d’asseoir le plus vite possible tous les organismes qui s’occupent des itinérants. Soit dit en passant, je vais être présent à cette discussion-là. Il va falloir sortir avec une solution qui va plaire à tout le monde. Il va falloir travailler ensemble (…) Et trouver un endroit aussi. À Sainte-Paule (l’église), ça ne faisait pas avec les citoyens autour, avec raison. Il y avait des problèmes. Si on les met ailleurs, est-ce que la même chose va se répéter
Il va falloir trouver la meilleure solution. On a une petite idée. Et on va y arriver (…) Il y en a qui résident à l’église Sainte-Paule. Le clocher est attaché avec du « Duck Tape ». Est-ce qu’il va leur tomber sur la tête? Est-ce que l’église Sainte-Paule est sécuritaire ? Est-ce qu’elle est sécuritaire pour 20 personnes alors qu’il y a 80 itinérants à Saint-Jérôme ? Est-ce que le CISSS des Laurentides va s’en occuper? ».
Et un cri du cœur :
« Ce n’est pas vrai, comme citoyen de Saint-Jérôme, qu’on va laisser quelqu’un dormir dans un banc de neige à -30 degrés » souligne M.Bourcier.
D’ici deux semaines
Quant à savoir à quel moment il faut savoir à avoir le plan d’action du nouveau conseil, aux dires de Marc Bourcier, ça ne devrait pas traîner.
« C’est un peu comme si on venait d’acheter une maison. On n’a pas de rapport d’inspection. On ouvre la porte et on regarde. La maison, je vais peser mes mots, ce n’est pas un champ de mines, mais il va falloir réparer beaucoup de choses. Dans une ou deux semaines maximum, on va faire état de tout ce qu’on veut faire ».
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Janice Bélair Rolland

Marc Bourcier

Ville de Saint-Jérôme

Une liste de priorités pour le nouveau maire : « Il va falloir réparer beaucoup de choses » – Marc Bourcier

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Au lendemain de l’élection municipale, le Mouvement Jérômien compte maintenant officiellement deux élus au sein du Conseil municipal de la Ville de Saint-Jérôme en les personnes de Jacques Bouchard(District 3) et Marc-Antoine Lachance(District 8).
Élu dans le secteur Lafontaine, le nouveau conseiller municipal Jacques Boucharda occupé le poste de secrétaire général du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) de 2008 à 2016, représentant plus de 40 000 membres issus de l’ensemble du Québec. Sensible aux enjeux touchant les services publics et la transition écologique, Jacques Boucharda été élu avec 36,44%des voix.
Nouveau conseiller municipal dans le secteur Saint-Antoine, Marc-Antoine Lachanceest chef d’équipe chez Service Canada, dont il est fonctionnaire depuis 2013. Membre fondateur du Mouvement Jérômien, il est également impliqué depuis de nombreuses années sur les conseils d’administrations du Cégep de Saint-Jérôme, de l’école Sainte-Thérèse-de-l’Enfant-Jésus, de la Caisse Desjardins de la Rivière-du-Nord. Marc-Antoine Lachancea été élu avec 41,76%des voix.
Représenter les Jérômiennes et les Jérômiens
Pour les deux conseillers du Mouvement Jérômien, le travail ne fait que commencer. Ils travailleront en collaboration avec le nouveau maire élu et l’ensemble du Conseil municipal à l’avancement et au progrès de la Ville. Pour Jacques Bouchard, il est impératif que le nouveau Conseil municipal agisse au niveau environnemental dans le cadre d`une vision globale qui inclut la justice sociale. « Notre ville doit être au front de la lutte des changements climatiques, nous le devons à nos enfants et petits-enfants. Je travaillerai pour le secteur Lafontaine à la sécurité des rues, à la réalisation d’une bibliothèque à Lafontaine, mainte fois promise, ainsi qu’à la vie de quartier avec les citoyennes et citoyens », abonde le conseiller Bouchard.
Pour sa part, Marc-Antoine Lachance compte prioriser le développement d’une ville à échelle humaine. Dans le secteur Saint-Antoine notamment, plusieurs espaces offrent un potentiel de revitalisation et de développement. : « Plusieurs projets peuvent être projetés dans le secteur Saint-Antoine, notamment auprès du PPU du Pôle Santé. Ce projet pourrait générer la création de richesses foncières pour la Ville, tout en diversifiant l’offre de logements et les commerces dans ce secteur. La revitalisation du cœur de Saint-Antoine sera l’une de mes priorités pour les quatre prochaines années », poursuit le conseiller Lachance.
« Avec ses deux élus, le Mouvement Jérômien travaillera à défendre les intérêts des gens de Lafontaine, de Saint-Antoine et de l’ensemble de la Ville au Conseil municipal. Le mandat confié par les jérômiennes et les jérômiens au Mouvement Jérômien est de collaborer avec la nouvelle administration, tout en défendant notre environnement, en proposant des solutions concernant l’actuelle crise du logement et de veiller à ce que les citoyennes et les citoyens soient consultés et au cœur des grands dossiers municipaux », conclut le chef du Mouvement Jérômien Marc-Olivier Neveu.

Marc-Antoine Lachance

Marc-Olivier Neveu

Mouvement Jérömien

Jacques Bouchard

Le Mouvement Jérômien fait son entrée au Conseil municipal

À l’issue de la séance du conseil du 24 novembre, les maires composant le conseil de la MRC de La Rivière-du-Nord ont élu à la préfecture de celle-ci, Xavier-Antoine Lalande, maire de la ville de Saint-Colomban. À 39 ans, M. Lalande devient le 9e préfet de la MRC.
À titre de préfet, M. Lalande succède à Bruno Laroche, préfet de la Municipalité régionale de comté de Rivière-du-Nord depuis 2013.
« J’accepte cette nomination avec honneur et humilité et je remercie mes collègues de me témoigner la confiance qui accompagne ce mandat. Les responsabilités qui découlent de la préfecture sont importantes. La MRC de La Rivière-du-Nord possède une histoire aussi riche que son potentiel. Je suis investi dans les Laurentides depuis longtemps et je crois fermement qu’une collaboration entre les villes de notre MRC est essentielle pour arriver à surmonter les prochains défis. Je veux concilier et ramener un pouvoir d’influence à l’intérieur de la Maison Prévost afin que nous soyons prêts à faire face aux changements climatiques, à la croissance démographique et à la diversification économique et sociale nécessaire au développement de notre territoire. Ça doit se faire à l’intérieur d’un groupe uni et je suis très optimiste » a exprimé Xavier-Antoine Lalande.
Homme de vision, de changements et d’idées, M. Lalande profitera des premières semaines à la préfecture pour rencontrer les différentes municipalités de la MRC afin de s’enquérir de leurs priorités respectives. D’autres rencontres seront aussi organisées afin de rencontrer les différents partenaires économiques, communautaires et institutionnels afin de discuter des enjeux qui les concernent. L’aménagement du territoire, l’environnement, l’itinérance et la lutte contre les changements climatiques seront des enjeux prioritaires sous l’égide du conseil de la MRC. La qualité de vie des citoyens sera au cœur de l’ensemble des décisions.
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MRC de la Rivière-du-Nord

Xavier-Antoine Lalande

MRC de La Rivière-du-Nord : Xavier-Antoine Lalande élu préfet

La prise de rendez-vous pour la vaccination contre la COVID-19 des enfants âgés de 5 à 11 ans est maintenant disponible. Les sites de vaccination de la région ont tous été transformés pour accueillir les familles dans un environnement ludique, chaleureux et adapté aux enfants.
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Rappelons que cette décision fait suite à l&#8217;annonce de l&#8217;approbation, par Santé Canada, du vaccin Pfizer pour les enfants ciblés et que le Comité sur l&#8217;immunisation du Québec a également publié un avis recommandantl’offre de ce vaccin à tous les enfants de 5 à 11 ans qui ne présentent pas de contre-indication. L&#8217;intervalle recommandé est de huit semaines ou plus entre les deux doses.
« Tous les enfants de 5 à 11 ans des Laurentides, dont les parents vont donner leur consentement, aurontl’opportunité de recevoir une première dose avant la période des Fêtes. Les équipes de vaccination du Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) des Laurentides ont travaillé très fort, et ce, depuis déjà plusieurs semaines, pour tout mettre en place et être fin prêt à rendre l’expérience de vaccination des enfants positive. Décorations, accessoires de déguisement pour le personnel, appliqués muraux colorés, etc., tout a été planifié », souligne Mme Rosemonde Landry, présidente-directrice générale du CISSS des Laurentides, qui se dit particulièrement fière de la préparation de cette campagne.
La vaccination en milieu scolaire sera également offerte à partir 29 novembre aux enfants de 5 à 11 ans. Les précisions seront acheminées aux parents par les différents centres de services scolaires et les directions des écoles privées de la région.
Des outils d’informations, pour soutenir les parents dans leur démarche de réflexion sur la vaccination de leur enfant, sont disponibles dès maintenant sur le site santelaurentides.gouv.qc.ca.
Une vidéo informative sur le déroulement de la vaccination dans les sites de vaccination est également accessible à tous.
Ainsi, pour prendre rendez-vous en ligne visitez le Québec.ca/vaccinCOVID ou encore sur l’application mobile NotifVAX. Pour ceux et celles qui n’ont pas accès à Internet ou qui éprouvent des difficultés à l’utiliser,il est possible de composer le 1 877 644-4545 pour recevoir un soutien. Un service de navette gratuit est également disponible sur le territoire pour les personnes à mobilité réduite et nécessitant unaccompagnement ou n’ayant pas de moyen de transport. Pour y avoir accès, il suffit d’appeler au1 866 495-5833.
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campagne de vaccination

COVID-19: vaccination des 5-11 ans

Les policiers, les agents de surveillance de sentier de la FCMQ et les contrôleurs routiers réaliseront diverses interventions, que ce soit dans les sentiers ou à leur croisement avec un chemin public, de même qu’à la conformité de l’arrimage des équipements lors de leur transport sur les routes du Québec. 



Tous appliqueront, selon la situation, les différentes lois et règlements visant les véhicules hors route, que ce soit en vertu de la Loi sur les véhicules hors route, du Code de la sécurité routière ou du Code criminel.



Une campagne de sensibilisation sera aussi déployée sur les différentes plateformes des médias sociaux des organisations policières. Celle-ci vise à rappeler aux usagers de véhicule hors route l’importance de respecter les lois en vigueur et d’adopter des comportements prudents en tout temps. C’est sous le thème « Évite de déraper ! En motoneige, penses-y » que se déploiera cette nouvelle campagne.



<h2>Conseils de sécurité</h2>



•  Évitez de partir seul en randonnée et avertissez toujours un proche de l’itinéraire prévu ;



•  Avant de partir en randonnée, planifiez celle-ci et informez-vous de l’état du réseau (<a href="https://fcmq.qc.ca/fr/motoneigistes/imotoneige/">iMotoneige</a>);



•  Respectez la signalisation et ajustez votre vitesse en fonction des conditions des sentiers ;



•  Maintenez une distance sécuritaire entre votre véhicule et celui qui vous précède ;



•  Maintenez allumés le ou les phares blancs de votre véhicule ainsi que le feu de position rouge à l’arrière ;



•  Traversez les chemins publics aux endroits où la signalisation l’autorise ;



•  Maintenez la droite en tout temps;



•  Portez toujours votre casque et des lunettes de sécurité si le casque n’a pas de visière ;



•  Respectez les propriétés privées en vous assurant d’avoir l’autorisation du propriétaire pour y circuler ou demeurez dans les sentiers.



La capacité de conduite affaiblie par l’alcool, la drogue ou une combinaison des deux et la vitesse sont les principales causes de collisions mortelles en motoneige. Pensez-y!



Rappelons que par ces opérations, l’ensemble des partenaires souhaite que les adeptes de VHR puissent profiter de leurs activités récréotouristiques en toute sécurité, partout à travers le Québec.



Évite de déraper ! En motoneige, penses-y.

Groupe de motoneigistes près d'un boisé

Fédération des clubs de motoneigistes du Québec

Opération nationale concertée visant les motoneigistes

En mettant les pieds sur le terrain, c’est le paradis dans le bois. Des espaces verts qui laissent place au rêve. Une piscine creusée de grande dimension pour se baigner par les chaudes journées d’été et clôturée svp pour la protection des enfants.



Toujours à l’extérieur, un pool house, construit au coût de 250&nbsp;000$, est le lieu de rassemblement en famille ou pour siroter une bonne bière entre boys, parfois autour d’un feu de foyer.



Un peu plus dans la discrétion, une maison d’été pour les vacanciers avec douche chauffée dehors branchée à la maison. Cabane pour enfants en arrière avec lumières et électricité.&nbsp; &nbsp;&nbsp;



Garage détaché très grand pour remiser voiture, vtt, motoneige et bateau. D’ailleurs, une piste de vtt et motoneige a été aménagée au coût de 7000$.



Aucun élément est manquant&nbsp;: génératrice, pompe submersible avec batterie de sécurité, système d’irrigation, remise extérieure, cuisinette et salle de bain extérieures, panneau de 400 ampères, la liste est longue, notamment des caméras extérieures, au nombre de quatre, pour assurer la quiétude.



« La cible des clients est très restreinte. Des gens plus âgés, plus qu’un jeune couple. Des gens de l’extérieur qui veulent une maison secondaire dans les Laurentides. J’ai des appels et des visites, ça bouge, surtout depuis cette semaine », a raconté Denis Babineau, courtier immobilier Remax en charge de vendre ce domaine, en entrevue avec Infos Laurentides.



Le nouvel engouement s’explique par le fait que l’animateur a décidé de diminuer le prix de 160 000$. Le domaine est en vente depuis cet été. Le prix affiché au départ était 1 350 000$.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="543" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/patrick-groulx-domaine-b-960x543.jpg" alt="Domaine de Patrick Groulx, vue aérienne" class="wp-image-11346" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/patrick-groulx-domaine-b-960x543.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/patrick-groulx-domaine-b-327x185.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/patrick-groulx-domaine-b-768x434.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/patrick-groulx-domaine-b.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /></figure>



<h2>Maison intergénérationnelle</h2>



Ce bijou en campagne est fait sur mesure pour être transformée en maison intergénérationnelle, sans devoir cogner un seul clou. Une entrée indépendante avec un clavier d’alarme indépendant, une cuisine, une toilette sont déjà installés.



Cette construction 2006 a été modernisée depuis, dont une toiture neuve. Le 110, rue de la Réserve, à Saint-Colomban, est très spacieux.



Dès la porte principale ouverte, le vestibule mène au salon, à la salle de détente et à la salle à manger, le tout à aire ouverte avec des fenêtres partout laissant pénétrer la lumière du jour et le soleil pour réchauffer naturellement les pièces.



La cuisine demeure chaleureuse et moderne avec des couleurs foncées, beaucoup de rangement, des comptoirs en granite, une cuisinière au gaz, inclus tout comme la machine au sel de la piscine, le système de qualité d’eau, le robot de la piscine sont également des articles compris dans la vente.&nbsp;



Au rez-de-chaussée, se trouve, entre autres, l’une des trois salles de bain et une salle d’eau de la résidence, qui semble perdue en forêt. &nbsp;



La chambre principale, quant à elle, est située au deuxième étage dans laquelle il y a une penderie grande comme une pièce, de même que trois autres chambres pour les amis ou les enfants, et un autre espace pour un bureau qui peut devenir une salle de jeu, toutes ces pièces sont dotées d’une grande fenestration.



Le sous-sol a de quoi faire la fête&nbsp;: bar, cinéma maison, gym complet, entrée extérieure…loin des voisins.



Pour information ou pour une <a href="https://denisbabineau.com/fr/nos-proprietes/saint-colomban/110-rue-de-la-reserve/13307920">visite virtuelle </a>.

Domaine de Patrick Groulx à Saint-Colomban

Saint-Colomban

Patrick Groulx

L’humoriste Patrick Groulx vend son domaine à Saint-Colomban… à rabais

Un restaurant du centre-ville, qui préfère rester dans l’anonymat pour l’instant, a confirmé que les portes seraient ouvertes 24 heures sur 24, ce week-end.&nbsp;&nbsp;&nbsp;



À Montréal, voyant venir une vague de froid extrême dans les prochains jours, la mairesse de la métropole, Valérie Plante, a pris les grands moyens pour s’assurer « de ne laisser personne derrière. On veut garantir à tout le monde une place ».



La première halte chaleur a ouvert ses portes mardi soir dans le secteur de Ville-Marie. La seconde sera accessible ce soir au Centre du Plateau, dans l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal. Deux ressources ouvertes de 20&nbsp;h à 9&nbsp;h jusqu’à dimanche, moment prévu de la fin de la période glaciale.



Toujours à Montréal, la Ville et ses partenaires du réseau de la santé et les organismes communautaires promettent d’assurer une surveillance sur le terrain en collaboration avec le Service de police de la Ville de Montréal afin d’accompagner les personnes en situation d’itinérance qui auront besoin de se réchauffer le bout des orteilles et le bout des doigts.&nbsp;



Ailleurs, les villes de Québec, Drummondville, Trois-Rivières ont également décidé d’ouvrir des haltes de chaleur pour les prochains jours&nbsp;



Saint-Jérôme, des itinérants dehors



À la Ville de Saint-Jérôme, le maire Marc Bourcier rappelle que la hutte peut accueillir une soixantaine de personnes en comptabilisant les lits d’urgence dans l’église Sainte-Paule, transformée en dortoirs.



Talonné de questions à ce sujet, encore l’autre jour lors de l’assemblée publique, le maire Bourcier répond que l’itinérance est du ressort du « CISSS des Laurentides et non de la Ville de Saint-Jérôme ».



Le Book humanitaire, qui quotidiennement offre plus de 500 repas à des gens démunis, estime qu’il y a une centaine de personnes qui dorment dehors la nuit à Saint-Jérôme.&nbsp;



Bien que le nombre exact soit difficile à obtenir, une petite promenade d’Infos Laurentides d’une trentaine de minutes dans une seule nuit a permis d’en répertorier sept, dont un couché dans un banc de neige avec des couvertures, sans plus.&nbsp;



Dans la version papier de mercredi prochain, un itinérant nous racontera pourquoi il veut lui-même venir en aide aux sans-abri, maintenant qu’il a un toit.



-30-&nbsp;&nbsp;&nbsp;

Saint-Jérôme

itinérance

Un restaurant ouvert 24 heures pour les itinérants

<h2>Éléments à surveiller</h2>



L’exposition au froid, peu importe sa durée, peut affecter la santé et la sécurité des travailleurs dès que la température ambiante (à l’abri du vent) est inférieure à 5 °C. Elle peut causer l’hypothermie ou, encore, affecter les extrémités du corps (doigts, orteils, nez, joues, oreilles). Il est alors impératif d’être vigilant.



En présence de froid intense, l’employeur doit mettre en place des mesures préventives pour fournir à ses travailleurs des conditions sécuritaires. De leur côté, ces derniers doivent appliquer ces mesures et surveiller l’apparition, sur eux-mêmes et sur leurs collègues, de signes de gelures ou d’hypothermie, soit :



-une sensation de picotement ; -un engourdissement progressif ; -la perte graduelle de la sensibilité ; -des rougeurs avec plaques blanches inégales ; -une peau blanche, glacée, cireuse et parfois dure.



<h2>Facteurs de risque et mesures de prévention</h2>



Les trois principaux facteurs de risque à considérer lors d’une exposition au froid sont : les basses températures, le vent et les précipitations (pluie et neige).



La mise en place de moyens de prévention adaptés aux tâches à exécuter permet de protéger la santé et d’assurer la sécurité des travailleurs. Il peut s’agir de :



-chauffer le poste de travail, si possible ; &#8211; mettre à disposition des abris chauffés et, si possible, des boissons chaudes ; -recouvrir les poignées et les barres métalliques d’un isolant thermique ; -porter des vêtements adaptés à la température et à la nature des tâches à exécuter – plusieurs épaisseurs, s’il le faut – et se couvrir la tête et les extrémités ; -alterner les périodes de travail et de réchauffement ; -réorganiser le travail pour accomplir les tâches prévues à l’extérieur durant les périodes les plus chaudes de la journée. -mettre en place un régime d’alternance travail-réchauffement.



<h2>Monoxyde de carbone : redoublez de prudence!</h2>



En hiver, les gelures et l’hypothermie ne sont pas les seuls risques pour les travailleurs. Certains outils ou appareils de chauffage peuvent dégager du monoxyde de carbone.



Ce gaz asphyxiant sans couleur ni odeur peut causer des intoxications graves allant jusqu’à la mort. Celles-ci surviennent particulièrement en automne et en hiver. Le risque d’intoxication provient le plus souvent de l’utilisation, dans un espace fermé, semi-fermé ou mal ventilé, de dispositifs de chauffage, de véhicules, d’équipements ou d’outils actionnés par un moteur à combustion interne tels que les génératrices, les scies, les souffleuses et les chariots élévateurs. 



Lorsque vous utilisez l’un de ces appareils, assurez-vous qu’il est en bon état et que l’espace où vous vous trouvez est bien aéré afin de réduire le risque d’exposition au monoxyde de carbone.



L’inhalation de ce gaz peut causer des maux de tête, des nausées, des vomissements, des étourdissements, des troubles de la vision et du jugement, une sensation de sommeil, de la confusion, des convulsions ou une perte de conscience, voire le décès. Si vous constatez l’un ou l’autre de ces symptômes, quittez rapidement les lieux en laissant les accès ouverts et appelez les services d’urgence.

CNESST

Le froid : un ennemi sournois

Les systèmes de chauffage ainsi que les cendres peuvent dégager du monoxyde de carbone. Si vous utilisez un foyer, un poêle à bois ou un système de chauffage d’appoint, assurez-vous que la pièce est bien aérée afin d’éviter une intoxication au monoxyde de carbone. 



Il est important que vos appareils soient ramonés régulièrement et soient en bon état. Lorsque vous retirez les cendres, il est primordial de les mettre à l’extérieur dans un contenant en métal à fond surélevé et muni d’un couvercle en métal.



Ce gaz toxique, invisible et inodore peut entraîner des séquelles permanentes ou même la mort. Seul un détecteur de monoxyde de carbone peut vous alerter de la présence de ce gaz. Il est donc important de s’en procurer un, de préférence qui demeure fonctionnel lors de panne d’électricité. 



Rappelons qu’un détecteur de fumée ne détecte pas le monoxyde de carbone.Pour plus d’informations et pour les recommandations générales de prévention, consultez le site <a href="http://Quebec.ca">Quebec.ca </a>aux sections : <a href="https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/sante-et-environnement/prevenir-les-intoxications-au-monoxyde-de-carbone">Prévenir les intoxications au monoxyde de carbone</a> et <a href="https://www.quebec.ca/securite-situations-urgence/urgences-sinistres-risques-naturels/tempete-hivernale-et-grands-froids">Tempête hivernale et grands froids</a>.<h2>Solidarité à l’égard de l’itinérance</h2>Par ailleurs, les personnes en situation d’itinérance ou en état de grande vulnérabilité sont particulièrement à risque lors de grands froids. Par solidarité sociale, la Direction régionale de santé publique invite les Laurentiens à encourager ces personnes à contacter les organismes communautaires pour avoir accès aux ressources. De plus, la ligne 811, disponible 24/7, peut aussi les renseigner. N’hésitez pas à communiquer avec le 911 si une personne semble en difficulté. Pour toutes informations supplémentaires, consultez les services offerts en itinérance dans les Laurentides sur le site <a href="http://santelaurentides.gouv.qc.ca">santelaurentides.gouv.qc.ca</a>.

Conseils de sécurité pour éviter les intoxications au monoxyde carbone

Dominique Dubé, 42 ans, de Saint-Jérôme et Martin Brodeur, 51 ans, de Saint-Eustache. À l’instar des autres hommes qui ont été menottés, les lieux de résidence de même que des endroits utilisés par les suspects ont été perquisitionnés aux quatre coins du Québec.



Le matériel informatique saisi sera analysé afin de déterminer si d’autres chefs d’accusation seront portés contre ces hommes âgés de 37 à 79 ans. Certains des individus pincés sont des récidivistes en matière de crimes sexuels sur les enfants.



Pour l’instant, les principales infractions reprochées aux personnes arrêtées sont leurre, entente et arrangement pour perpétrer une infraction d’ordre sexuel à l’égard d’un enfant, rendre accessible à un enfant du matériel sexuellement explicite, contacts sexuels, incitation à des contacts sexuels, agression sexuelle et possession, distribution et production de pornographie juvénile.



<h2>275 policiers mobilisés</h2>



Cette frappe policière est le résultat d’une enquête menée par l’Équipe intégrée de lutte contre la pornographie juvénile, créé en octobre 2021, qui regroupe différents corps policiers municipaux, dont Montréal, Laval, Québec.



« C’est grâce au travail rigoureux de tous les policiers et procureurs impliqués que de tels résultats sont possibles », a souligné dans un communiqué le lieutenant Marc-Antoine Vachon, responsable de l’Équipe intégrée de lutte contre la pornographie juvénile.



Les enquêteurs précisent qu’il n’y a pas eu plus d’arrestations dans une région que dans une autre, signe que le réseau faisait des ravages partout.



Débutée à l’automne 2022, l’enquête a nécessité la mobilisation de 275 policiers. Une rafle majeure des forces de l’ordre qui croient que d’autres victimes pourraient se manifester.&nbsp;&nbsp;

Frappe policière chez des cyberprédateurs sexuels

La Sûreté du Québec demande l’aide du public pour retrouver Amely Veilleux, 15 ans, de Joliette.



L&#8217;adolescente a été vue pour la dernière fois vers 17 h 30, le 28 janvier, dans le secteur de Saint-Esprit, dans la région de Lanaudière.



Ses proches ont des raisons de craindre pour sa santé et sa sécurité.



Amely Veilleux mesure 1, 65 m (5 pi 4 po) et pèse 75 kg (165 lb). Elle a les cheveux bruns, les yeux pers et une tache de naissance sur le menton, côté droit.



La dernière fois qu’elle a été vue, elle portait des pantalons joggings gris et des souliers Nike blancs.



Toute personne qui apercevrait Amely Veilleux est priée de communiquer avec le 911. De plus, toute information pouvant permettre de retrouver Amely Veilleux peut être communiquée, confidentiellement, à la Centrale de l’information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.

RETROUVÉE – Une adolescente manque à l’appel: l’aide du public est demandée

L’autobus des sinistrés a été dépêché sur les lieux pour permettre aux sapeurs de se relier et d’aller se réchauffer, du moins quelques minutes, avant de retourner au combat.&nbsp;



Les équipements ont également subi les contrecoups d’un froid polaire, vendredi, à Prévost.



Le bâtiment en flammes a nécessité l’intervention d’une cinquantaine d’hommes de feu en provenance de Prévost, Saint-Hippolyte, Saint-Jérôme, Sainte-Sophie et Sainte-Anne-des-Lacs.&nbsp;



L’alerte a été sonnée 10h30 et le feu a été maîtrisé que vers 15h. Le brasier a causé d’importants dommages au bâtiment du 1096, rue des anciens, à Prévost. Le toit s’est effondré.&nbsp;



C’est un voisin qui a téléphoné les autorités voyant de la fumée s’échapper de la résidence.&nbsp;



La cause n’est pas connue pour l’instant.&nbsp;







<figure class="wp-block-image size-full"><img loading="lazy" width="822" height="548" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/st-pompier-froid-2.jpg" alt="" class="wp-image-11407" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/st-pompier-froid-2.jpg 822w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/st-pompier-froid-2-327x218.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/st-pompier-froid-2-96x64.jpg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/st-pompier-froid-2-768x512.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/02/st-pompier-froid-2-615x410.jpg 615w" sizes="(max-width: 822px) 100vw, 822px" /><figcaption>Photo: Maxime Labelle Ce n&#8217;était pas chaud pour éteindre un feu. C&#8217;était glacial!</figcaption></figure>

Dur dur d’être pompier…par temps froid

Nouvel épisode dans la confrontation qui oppose depuis plus d’un an Saint-Colomban et Saint-Jérôme concernant l’intersection Lamontagne et montée Saint-Nicolas: les autorités colombanoises ont fait installer il y a quelques jours un avis annonçant leur intention d’enlever le panneau d’arrêt en direction est sur Saint-Nicolas. 
Un accident mortel 
La chose a rebondi à la séance du conseil municipal de Saint-Jérôme le mardi 17 septembre dernier alors que le citoyen Martin Camirand a profité de la période de questions du public pour dénoncer la situation. 
«[Le geste] peut causer des conséquences graves pour sa population et la nôtre», a dit le Jérômien, faisant référence à un éventuel «accident mortel». 
Si bien que, selon lui, il n’y a «pas d’autres solutions que de fermer Lamontagne […] Saint-Colomban s’apprête à poser un geste irréfléchi [qui va] mettre sa population en danger. J’espère que la Ville [Saint-Jérôme] va agir avant le 15 octobre pour fermer la rue Lamontagne». Sinon «il va arriver un accident mortel dans les deux premières semaines que le maire de Saint-Colomban et son équipe vont poser ce geste-là». 
«Irresponsable» 
Ce à quoi le maire Stéphane Maher a répondu au citoyen Camirand que «vous avez tout à fait raison. C’est un geste… (le premier magistrat a eu une hésitation, mais parlera, par la suite, d’un geste “irresponsable”)». 
«On ne laissera pas Saint-Colomban faire ça. C’est irresponsable. Ça n’existe pas, une artère [importante] où il y a seulement trois arrêts [dans les différents sens]. On joue avec la vie des citoyens. Dans tous les cas, la Ville de Saint-Jérôme ne laissera pas faire cela», a indiqué le maire. 
Commission municipale 
On se souviendra que, après des pourparlers entre les avocats des deux villes concernées, on avait annoncé en mai dernier que l’affaire serait débattue devant la Commission municipale du Québec qui aura à déterminer qui a raison dans ce dossier qui n’a jamais cessé de s’envenimer au cours de la dernière année. 
Par contre, quatre mois plus tard, aucun développement n’est survenu et le dossier continue, de toute évidence, de se détériorer. 
Question de fluidité 
Du côté des autorités de Saint-Colomban (lire le Service des communications), on plaide que c’est pour «améliorer la fluidité de la circulation» à cet endroit qu’on entendrait procéder au changement annoncé. 
Quant à l’aspect de la dangerosité advenant que l’arrêt soit supprimé en direction est, on nous dit que «l’ensemble du portrait est pris en compte» et qu’on implanterait, le moment venu, «des mesures pour sécuriser l’intersection». 
Des mesures qui, nous précise-t-on «sont à être finalisées».

Stéphane Maher

Rue Lamontagne

Intersection Lamontagne/Saint-Nicolas: on fera l’arrêt ou pas?

Un programme, deux volets 
Jusqu’au 18 octobre prochain, les écoles secondaires, les centres de formation professionnelle et les cégeps pourront soumettre des projets pour le volet Sécurité Premier emploi. Ce volet vise à amener les jeunes à repérer différents risques pouvant se présenter dans un milieu de travail, à trouver des solutions pour les éliminer, et à ainsi prévenir les accidents. L’aide financière accordée pour un projet admissible est de 300 $. 
À cette même date, les écoles primaires pourront soumettre des projets pour le volet Défi prévention jeunesse. Celui-ci a pour but d’aider les jeunes à détecter les risques dans leurs activités quotidiennes, et de savoir comment les éliminer tout en les sensibilisant à la prévention. L’aide financière accordée pour un projet admissible est de 200 $. 
La CNESST met à la disposition des enseignants qui souhaitent soumettre un projet dans le cadre du volet Défi prévention jeunesse des projets clés en main (Kinga), disponibles sur le site jeunesautravail.com/enseignants. 
Ces activités clés en main sont divisées par cycle scolaire pour offrir du contenu adapté aux différentes phases de développement des élèves, et ainsi contribuer au développement de compétences en matière de prévention des lésions professionnelles chez les jeunes d’âge scolaire ou avant leur arrivée sur le marché du travail. 
Êtes-vous admissible? 
Pour être admissible, le projet doit être lié à un premier emploi, cibler un risque présent en milieu scolaire ou être en lien avec l’une des lois du travail, en plus de susciter la participation active des élèves. Pour plus de renseignements, visitez le site jeunesautravail.com/enseignants.

Santé et sécurité au travail: Les écoles invitées à soumettre des projets pour informer les jeunes

Le 811 
Si vous avez des inquiétudes ou des questions au sujet de votre santé ou celle d’un proche, appelez Info-Santé ou Info-Social en composant le 811 afin de parler avec un professionnel de la santé. Des conseils de santé sont disponibles 24 heures par jour, 7 jours par semaine. 
Médecin de famille 
Si vous ou l’un de vos proches devez consulter un médecin pour un problème de santé et que 
vous avez un médecin de famille, contactez-le, il est votre premier recours. 
Si vous faites partie d&#8217;une clinique désignée à titre de Groupe de médecine de famille (GMF), vous avez un accès privilégié auprès de votre médecin de famille et à l&#8217;ensemble des professionnels du groupe. On vous assignera un rendez-vous personnalisé en fonction de vos besoins. 
Vous n’avez pas de médecin de famille ou votre clinique est fermée: Consulter la liste des cliniques médicales avec ou sans rendez-vous. Dans la région des Laurentides, plusieurs cliniques médicales offrent des consultations médicales, sans rendez-vous, à la population. Pour tous les détails, visitez le www.santelaurentides.gouv.qc.ca/nous-joindre. 
Pour les autres régions, consultez le répertoire du Portail santé mieux-être du gouvernement du Québec au www.msss.gouv.qc.ca/repertoires. 
De plus, Rendez-vous santé Québec est un service gouvernemental harmonisé, convivial et gratuit permettant la prise de rendez-vous en ligne avec un médecin de famille, visitez le www.rvsq.gouv.qc.ca. 
Pharmacien 
Consultez votre pharmacien, il offre plusieurs services qui pourraient répondre à votre situation. 
Contactez tout autre professionnel de la santé qui connaît votre condition et qui vous a déjà traité pour une situation similaire. 
Les personnes n’ayant pas de médecin de famille sont invitées à faire une demande d’inscription directement sur le site du Guichet d’accès à un médecin de famille (GAMF) au https://www.quebec.ca/sante/trouver-une-ressource/consulter-un-professionnel/inscription-aupres-d-un-medecin-de-famille/.