<h2>Juin, «&nbsp;Mois de l’eau&nbsp;»</h2>



Dans le but de sensibiliser la population aux enjeux de l’eau, le mois de juin a été proclamé « Mois de l’eau » par le gouvernement du Québec en 2017, lors de l’adoption de la Loi concernant la conservation des milieux humides et hydriques. Depuis, les organismes de bassins versants à travers la province organisent une foule d’activités pour inviter la population à célébrer et à protéger la ressource en eau. Cette année, le Mois de l’eau a pour thème À la découverte des milieux humides.



<h2>Concours photo</h2>



La population du bassin versant de la rivière du Nord est invitée à participer au Concours photo Mois de l’eau! du 1er au 30 juin. Plusieurs prix sont à gagner en fonction des différentes catégories de conditions. Tous les détails sont disponibles sur la <a href="http://www.abrinord.ca/projets/en-cours/concours-de-photographie-du-mois-de-leau/">page du concours</a>.



<h2>Destination milieux humides et hydriques</h2>



Il existe près de 16 000 milieux humides et plus de 4 500 km de cours d’eau sur le territoire du bassin versant de la rivière du Nord. Afin de découvrir plusieurs de ces derniers, il est possible de consulter la <a href="https://storymaps.arcgis.com/stories/0673651b831445a4bcda5e7fa1668df3">carte interactive</a>. La plateforme documente plus de 30 sites accessibles au public et propose de nombreuses observations à y faire afin de découvrir et comprendre les caractéristiques uniques de chaque lieu.



<h2>Marche découverte en milieux humides</h2>



De plus, Abrinord, en collaboration avec Ruisseau Jackson aire naturelle protégée (RJANP), organise une marche en plein coeur du bassin versant du ruisseau Jackson dans la région de Morin-Heights et Saint-Sauveur. Il s’agit d’une activité exceptionnelle dans une zone naturelle fragile normalement inaccessible au public.



La marche sera animée par Mathieu Madison, un expert biologiste et président d’Abrinord, qui éduquera et sensibilisera les participants aux services et fonctions qu’offrent les milieux humides et hydriques.



À noter que cette initiative est prévue dans le Plan d&#8217;action 2018-2023 de la Stratégie québécoise de l&#8217;eau, qui déploie des mesures concrètes pour protéger, utiliser et gérer l&#8217;eau et les milieux aquatiques de façon responsable, intégrée et durable.

Les citoyens et commerçants sont invités à prendre part à une rencontre de démarrage du projet le 10 juin, de 10 h à 12 h, à l’hôtel de ville (au 2870 boulevard du Curé Labelle). L’invitation est ouverte à tous, incluant les citoyens des municipalités avoisinantes susceptibles d’utiliser un tel système dans les restaurants prévostois. Aucune inscription n’est nécessaire. Collations et service de garde seront offerts sur place.



<h2>Des contenants réutilisables dans une perspective zéro déchet</h2>



La formule existe déjà dans les grands centres urbains. Le souhait de la Ville de Prévost : l’adapter, afin de permettre aux petites communautés de mettre en place un tel projet.



« Le but est que notre système soit reproductible à la grandeur du Québec. Beaucoup de personnes et de municipalités suivent avec attention les innovations que Prévost met en place et nous souhaitons toujours inspirer les autres à nous imiter afin que notre travail dépasse les limites de notre ville, voire de notre région », déclare le maire de Prévost, Paul Germain.



La Ville entend donc travailler de concert avec ses citoyens et commerçants afin d’élaborer un système qui soit uniforme et adapté à leurs besoins. Quelques rencontres seront tenues d’ici la fin de l’année et les participants élaboreront ensemble les paramètres et la logistique du projet.



Plus qu’une simple démarche de consultation publique, Prévost aspire à monter ce projet intégralement avec la communauté. Pour y arriver, elle pourra profiter de l’expertise de Marie Bellemare, doctorante à la Polytechnique Montréal. Celle-ci réalise sa thèse de doctorat sur l’implantation durable du zéro déchet dans le domaine de l’alimentation.



<h2>Changer ses habitudes pour réduire la facture</h2>



La Ville paie 1,3 M$ par année pour la gestion de ses matières résiduelles. Le projet, en contribuant à réduire l’utilisation de contenants à usage unique, devrait permettre de faire diminuer cette facture.



« C’est beaucoup de sous! Pour chaque contenant à usage unique qu’on enlève, c’est un déchet de moins pour lequel on n’aura pas à payer plus tard. C’est un projet qu’il faut voir sur le long terme. Au bout du compte, ça va être rentable », mentionne M. Germain.



Le projet est financé à même les fonds des éco-contributions qui sont ajoutées au prix de certains articles à usage unique vendus sur le territoire. « C’est une super belle utilisation des éco-contributions! Ce qu’on souhaitait faire avec ces fonds, c’est de soutenir des projets qui touchent directement notre population, qui offrent des choix, qui entraînent une réduction des matières résiduelles et qui amènent à repenser nos habitudes de consommation. Le projet de contenants réutilisables pour les plats à emporter en est le parfait exemple », ajoute le directeur du Service de l’environnement à la Ville de Prévost, Frédérick Marceau.



<h2>En collaboration avec l’entreprise Bo</h2>



« Nous sommes très fiers de nous allier, dans ce projet, à la Ville de Prévost, réputée innovante et leader dans le domaine de la réduction des déchets. Notre expertise n’est plus à démontrer, étant bien implantés à l’échelle du Grand Montréal. Lorsqu’on nous a approchés avec l’idée de démarrer un projet de contenants réutilisables à l’extérieur des grands centres urbains, nous étions emballés! », souligne la fondatrice de Bo, Mishel Wong.



Bo est une entreprise québécoise qui conçoit et met en place des solutions d&#8217;emballage réutilisables pour les fournisseurs de services alimentaires à travers plusieurs industries tels que les restaurants, services de traiteur, épiceries, l’événementiel, cafétérias institutionnelles, ainsi que les fournisseurs de repas prêt-à-manger.

Prévost veut implanter les contenants réutilisables dans les restos

Rappelons que <a href="https://etadar.com/intercollegial-des-publications">Premières impressions</a>, auquel participent l’Étendard et le Trouble-Tête,  rassemble les membres gravitant autour des publications littéraires et artistiques des cégeps de la province. Cet événement représente pour ces équipes une occasion inouïe de laisser libre cours à leur créativité en compagnie de personnes qui partagent la même passion. L’événement fait certainement partie de ceux à ne pas manquer l’an prochain.



<h2>Lancement des éditions de l’Étendard et du Trouble-Tête&nbsp;</h2>



Par ailleurs, les équipes de la revue littéraire Trouble-Tête et de la revue artistique Étendard ont récemment procédé au lancement de leur plus récente édition.



Comme le veut la tradition, la soirée s’est déroulée au restaurant pédagogique Neurones et papilles, à Saint-Jérôme. La cinquantaine de personnes a été chaleureusement accueillie par Luc Gagné et Annie Turbide, membres du département de Gestion d’un établissement de restauration. Des personnes des collèges de Bois-de-Boulogne, de Saint-Hyacinthe et de Lionel-Groulx étaient présentes.



Tous ont été invités à confectionner des macarons à la manière de Charles Salagane, poète, artiste et enseignant, pour briser la glace avant la présentation des nouvelles éditions.



Mentionnons que l’animation était assurée par les éditeurs en chef des deux revues, Maël Bacon (Étendard) et Raphaël Morissette (Trouble-Tête). Vous pouvez consulter les <a href="http://etadar.com">revues en ligne</a>.

Abrinord invite la population à découvrir les milieux humides

Juin, « Mois de l’eau »

Concours photo

Destination milieux humides et hydriques

Marche découverte en milieux humides