La soirée-bénéfice de la planchiste Elizabeth Hosking qui devait avoir lieu le 13 mai prochain est reportée à l’année prochaine.
En plus de continuer à parfaire son entraînement en vue d’une participation aux Jeux olympiques de Beijingen 2022 où elle vise une médaille, la jeune athlète se consacre à une cause qui lui tient particulièrement à cœur: le Club des petits déjeuners.
C’est ce qu’elle a fait savoir dans une communication, la semaine dernière.
Faire les choses différemment
«En période de crise et de grands changements, je crois qu&#8217;il est important de s&#8217;arrêter et de prendre son temps. Pour nous tous, cette crise apportera nécessairement des changements, des ajustements&#8230;de faire les choses différemment. Pour ma part, je me trouve choyée d&#8217;être si bien entourée» note Elizabeth.
Quant au Club, elle dira que «après avoir été bénévole (avec ma merveilleuse maman) durant tout mon primaire, j&#8217;ai le grand privilège, depuis quelques années, d&#8217;être ambassadrice du Club des petits déjeuners. J&#8217;adore ce rôle qui me permet d&#8217;aller rencontrer les jeunes dans les écoles et de constater à quel point le Club a un impact tellement positif sur la réussite scolaire. Débuter la journée avec un bon repas fait toute une différence pour des milliers d&#8217;écoliers».
En ce sens, Elizabeth Hosking lance une invitation au grand public. 
«Tous ensemble, prêtons main-forte au <a href="https://snowboardfirm.us3.list-manage.com/track/click?u=eddcdac63ebc8322feccceee1&amp;id=99a9f0308c&amp;e=c7593f2b5d">Breakfast Club of Canada / Club des petits déjeuners</a> et ses partenaires pour nourrir nos enfants».
Actuellement, le club met en place un fondsd’urgence pour rejoindre les enfants partout au pays (COVID-19 #NourrirNosEnfants).
On peut contribuer via le site <a href="https://www.breakfastclubcanada.org/fr/dons-particuliers/">https://www.breakfastclubcanada.org/fr/dons-particuliers/</a>
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MATHIEU LOCAS
En ces temps de crise, mes patrons m’ont dit d’être positif. Pas question de sortir de la bouette sur des politiciens ou des administrations publiques. Le mandat est de mettre en valeur les belles réalisations de chez nous.
«Pas de trouble les boys, je suis votre homme, vous pouvez compter sur moi».
En février dernier, j’ai fait des demandes d’accès à l’information à la Ville de Saint-Jérôme et à la Commission scolaire de la Rivière-du-Nord. J’aime beaucoup les demandes d’accès car les données sont pures. On a beau les critiquer, analyser, tempérer ou rebrasser, les chiffres parlent.
Parmi les demandes à la commission scolaire, il y a les comptes de dépenses (déplacements, repas et hôtels) de ses quatre principaux cadres. En février 2010, le Journal de Montréal avait fait le même exercice auprès des dirigeants des cégeps de la province. Le quotidien nous avait appris que la directrice générale du Cégep de l’Outaouais de l’époque raffolait des sucreries des mini-bars des hôtels. En cinq ans, elle avait réclamé pour 340$ de KitKat, de Coffee Crips et de Pringles.
En faisant une demande sur les dépenses de la directrice générale Guylaine Desroches et de ses adjoints, René Brisson, Sébastien Tardif et Michaël Charrette, je n’avais aucune attente. Je pourrais bien mettre en valeur une facture pour un souper à 63.47$, survenu le 23 novembre 2017, mais je ne peux pas, mes boss ne veulent pas.
Histoire de vous informer et surtout de demeurer positif, j’ai choisi de vous parler des dépenses en déplacement. La demande touche les années scolaires 2017-18, 2018-19 et 2019-20 (mi-février dernier)
Depuis l’automne 2018, c’est comme si nos dirigeants avaient remplacé la lame 24 dents de leur scie à onglet pour une 120 dents. Ils sont d’une précision chirurgicale et je tiens à saluer leur rigueur en matière de tenue de livre.
Ah oui, j’oubliais! La commission scolaire accorde 45 cents pour chaque kilomètre parcouru.
Dans le secteur privé, il y a souvent un minimum de kilomètres à parcourir avant de réclamer. Présentement, je dois rouler au moins 6km avant d’envoyer une facture à mon patron.
Ce n’est pas le cas à la CSRDN.
Assez le suspense! Le premier de classe, parmi les dirigeants de la commission scolaire, en matière d’assiduité dans sa tenue de livre est René Brisson. Il ne laisse rien passer, il est d’une rigueur implacable. Comme le 15 mars 2019 où il a réclamé 13 cents pour un déplacement. En appliquant la règle de trois, on constate qu’il a roulé 289 mètres entre le point A et le point B. Monsieur Brisson semble être un As dans la précision car, toujours en 2019, mais le 17 mai, il a réclamé 50 cents pour un déplacement. Cette fois, la bonne vieille règle de trois nous confirme qu’il a parcouru la distance de 1.111 kilomètre. Même un odomètre n’est pas aussi précis.
Quand vient le temps d’économiser, je ne manque pas une aubaine. L’automne dernier, je me rends dans un magasin grande surface à Gatineau. Les quarts de rond, 11/16 par 11/16, étaient 1$ (ça vaut normalement 5$). Ce samedi-là, nous avions 20% de rabais supplémentaire sur l’item de notre choix. J’en ai pris 200. Plutôt que 1000$, ça m’a coûté 160$. Ma fille se tordait de gêne en me voyant pousser mon chariot débordant. Mon principe en négociation est simple. Quand il y a des miettes sur la table, je les veux dans mes poches. Je crois avoir trouvé un allié en René Brisson car depuis l’automne 2018, il a réclamé 11 déplacements de moins de 1$ et 44 entre 1$ et 2$. C’est fantastique!
Il est dans une catégorie à part parmi les quatre dirigeants quand on analyse les dépenses sous le dollar et entre 1$ et 2$. Sébastien Tardif arrive au second rang (2-10), Guylaine Desroches (2-4) et Michael Charette est celui qui semble perdre le moins de temps avec les petits montants lui qui n’a réclamé qu’à une reprise un déplacement de moins de 1$ et à trois reprises entre 1$ et 2$.
En passant, ce n’est pas parce qu’on rit que c’est nécessairement drôle!
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Je demeure disponible à mathieu.locas@hotmail.com

13 cents pour 289 mètres

On enregistre maintenant 20 126 cas de Québécois atteints de la COVID-19. On parle d’une augmentation de 807 au cours des 24 dernières heures.
On doit, malheureusement, parler de  102 décès supplémentaires depuis hier (lundi) pour porter le total à 1 041 depuis le début de la crise.
Un total de 1 224 personnes sont hospitalisées (en hausse de 55), dont 201 aux soins intensifs, soit seulement 3 de plus, comparé à la veille.
Sur le plan régional, on retrouve 906 cas dans les Laurentides, pour un écart à la hausse de 37 depuis hier.
Sur le territoire de la MRC de la Rivière-du-Nord on a passé le cap des 200 cas positifs pour atteindre 202 en date d’aujourd’hui (mardi).
Quelque 80 établissements 
En point de presse en début d’après-midi, le premier ministre François Legault, a dressé un bilan (chiffres à l’appui) de la situation dans les CHSLD et résidences de personnes âgées qui continue à être préoccupante avec quelque 850 décès sur le total de 1 041.
D’abord des 2 600 résidences que compte le Québec, on en dénombre, souligne M.Legault, 2 300 où aucun cas n’a été relevé. Dans les 300 résidences ciblées, le premier ministre parle de 220 où la situation serait sous contrôle.
Rouvrir graduellement   
Par ailleurs, parce que «la situation est stable depuis un certain nombre de jours», le premier ministre Legault a parlé de la possibilité de «rouvrir graduellement l’économie» du Québec.
Retenons qu’un aspect qui pourrait militer en faveur d’une telle hypothèse est que «ça ne serait pas une bonne idée d’attendre au 1erseptembre» pour retourner les enfants à l’école.
Une chose est certaine dans l’esprit de M.Legault, pour qui le critère de la santé est le plus important : «Je veux qu’on protège les enfants, les éducatrices (en service de garde) et les enseignants».

Sa soirée-bénéfice est reportée: Elizabeth Hosking se consacre au Club des petits déjeuners