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Véronique Leblanc
rédaction@infoslaurentides.com
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Alexandre Cloutier-Pilon se passionne pour les compositions d’histoires fantastiques depuis son adolescence. À 28 ans, il décide de publier un de ses récits ayant pour titre: «Le monde de Taralia – Adoume et la quête des cinq clés».
«Je réside à Saint-Jérôme. Mon premier roman est une histoire fantastique de 206 pages qui s&#8217;adresse à un large public; de jeunes ados jusqu’aux aînés. Les lecteurs seront tenus en haleine avec les nombreux rebondissements et les créatures uniques dans cet univers parfois obscur qui peut faire frissonner», c’est ainsi qu’Alexandre Cloutier-Pilon s’est décrit au Journal.
Un aperçu 
Votre curiosité a été piquée en tant qu’amateur d’histoires fantastiques. Voici quelques lignes qui décrivent brièvement ce premier roman.
«Hélio, un jeune fermier caressant par-dessus tout le désir de changer de vie, fait une découverte inattendue sur les terres de sa famille. Cette découverte le conduira aux quatre coins du continent de Drimilard à travers une multitude d’aventures rocambolesques. Une entité maléfique connue sous le nom d’Adoume, restée jusque-là dans l’ombre, finit par s’intéresser de près au jeune garçon. Une quête pour la survie du royaume des hommes prend alors racine dans les péripéties que le jeune fermier devra affronter. Néanmoins, il ne sera pas seul dans ses aventures. Un mage, un prince ainsi que quelques soldats accompagneront le jeune Hélio dans son périple. Arriveront-ils à assurer la survie du royaume des hommes?»
Avec beaucoup d’imagination
Inspiré par des livres comme «Harry Potter», «Le Seigneur des anneaux» et «Game of Thrones», Alexandre a toujours eu une imagination débordante. Il a récupéré une histoire composée en 2e secondaire pour ensuite la peaufiner pendant plusieurs années et ainsi accoucher d’un premier roman avec Les Éditions Première Chance.
Ce dessinateur industriel de profession sera, pendant ses temps libres, un auteur puisqu’il participera à trois salons du livre majeurs, dont celui de Montréal. Les lecteurs intéressés de découvrir son univers peuvent commander son livre, au coût de 19,95 $, en visitant sa page Facebook en indiquant dans la zone de recherche &lt;Le monde de Taralia&gt;.
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Les autorités de Saint-Colomban ont lancé, samedi dernier, la nouvelle Politique culturelle de la ville.
Soulignant, à cette occasion, qu’une Politique culturelle existait à Saint-Colomban depuis 2006, le maire Xavier-Antoine Lalande a tenu à dire «pour nous, c’était important de la moderniser. En travaillant sur la Politique culturelle, on voulait que la culture soit implantée dans tous nos prochains documents de travail».
Faisant, entre autres, référence au plan d’urbanisme pour lequel on procède actuellement à une refonte, le maire dira «pour nous c’était essentiel que la culture soit reflétée dans le plan d’urbanisme et non le contraire. Nous sommes très contents de l’implanter. C’est le premier document où on peut implanter clairement nos orientations et on souhaite influencer les prochaines décisions pour les 10-12 prochaines années».
Sentiment d’appartenance
Selon ce que prévoient les édiles, «la Politique culturelle favorisera le développement culturel au bénéfice de la qualité de vie des citoyens de tous âges. Cette politique nourrira une vie municipale bien ancrée dans le présent, tout en valorisant le patrimoine naturel et historique comme élément identitaire à la base d’un sentiment d’appartenance et de fierté des Colombanois».
Il faut dire qu’en vertu de la nouvelle politique, la Ville reconnaît que la culture constitue un bien essentiel, est nécessaire au bien-être de ses citoyens, enrichit la qualité de vie des citoyens et contribue à leur épanouissement, alimente le développement social et économique, peut devenir un élément distinctif de la ville, renforce le sentiment d’appartenance et la fierté des citoyens à l’égard de leur milieu  et améliore la participation citoyenne à la vie municipale ou régionale.
Consultation et enjeux
Pour mener à bien l’élaboration de cette nouvelle Politique culturelle, les élus colombanois s’étaient assurés de l’implication de différents intervenants locaux et régionaux, en plus de tenir une séance de consultation en novembre dernier.
S’en sont dégagé cinq enjeux majeurs. Soit: participation citoyenne en culture, développement et rayonnement de l’offre culturelle, centre-ville, protection et mise en valeur du patrimoine naturel et bâti, et enfin, l’identité et l’appartenance.
On peut consulter la Politique culturelle au [st-colomban.qc.ca/culture].
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Partie intégrante des prochaines décisions: Saint-Colomban lance sa Politique culturelle

La Ville de Saint-Colomban exposera les œuvres de Nancy Beaudoin, artiste peintre colombanoise, du 31 janvier au 3 mars 2019.
Artiste peintre de la relève, Nancy Beaudoin peint de façon occasionnelle depuis l&#8217;âge de 12 ans, mais ce n’est qu’à partir de 2017 qu’elle se consacre corps et âme à la peinture et participe à plusieurs expositions dans la région.
Elle utilise l&#8217;huile sur toile pour donner vie à ses personnages, ses animaux, ses paysages et ses portraits.
Une plume
À travers ses toiles, elle souhaite transmettre et partager la sérénité, la quiétude et la paix, états d’âme que l’on retrouve autant dans les yeux de ses personnages que dans les paysages qu’elle peint.
Une plume se trouve dans chacune de ses compositions, parfois évidente, parfois cachée. Elle signifie qu’il n’est jamais trop tard pour prendre son envol.
L’exposition se déroulera du 31 janvier au 3 mars à la salle d’exposition de la bibliothèque municipale, soit du lundi au jeudi de 10 h à 20 h, le vendredi de 12 h à 17 h ainsi que le samedi et le dimanche de 10 h à 14 h.
Le vernissage, ouvert à tous, aura lieu le jeudi 31 janvier à 19 h en compagnie de l’artiste.
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Jeune auteur jérômien: Alexandre Cloutier-Pilon lance son premier roman fantastique