<h2>Un bien-être pour plus de 5 000 enfants</h2>



M. Dion oeuvre avec toute son équipe à la promotion des activités pour les jeunes. Il est convaincu que de favoriser l’épanouissement de la jeunesse et être à l’écoute des besoins des enfants exercera une influence positive sur le milieu.



D’ailleurs, le Club Optimiste a su captiver plus de 5 000 enfants par année et bénéficie de l&#8217;aide d’une centaine de bénévoles. Le bonheur de cette grande famille, c’est de donner la chance aux jeunes qui s&#8217;impliquent dans les activités de connaître leur potentiel.&nbsp;



<h2>Un positif pour la communauté</h2>



M. Dion s&#8217;efforce aussi d&#8217;entretenir de bonnes relations avec les jeunes. En premier lieu, il est important de respecter les autres et de communiquer avec eux.



Il croit fermement que le fait de se dévouer pour les autres participe au développement du bien-être des personnes. Avec son lien significatif et sa disponibilité, les jeunes deviennent bénévoles puis, selon leur courbe d’apprentissage, ils peuvent recevoir de l’aide à se trouver un premier emploi dans la communauté.



Le Club Optimiste offre le vendredi soir et un&nbsp;samedi sur deux des activités pour les enfants de 0 à 12 ans. Un large choix de jeux est proposé grâce à un investissement de 6 000 $. Les activités commencent au début septembre et se terminent à la fin juin. Au programme : disco le vendredi soir, activités avec le père Noël, la fête de Pâques, une promenade à vélo, bingo, ateliers de bricolage, ateliers de bijoux, cinéma avec un écran géant et party pour les bénévoles.



&nbsp;Les membres du conseil d&#8217;administration et leurs conjoints s’engagent généreusement, tout comme les partenaires du coin qui les aident à faire une différence dans la vie des familles de Sainte-Sophie. À noter que tous les adultes doivent fournir le relevé des antécédents judiciaires avant de devenir bénévoles. La sécurité des enfants est une priorité.



<h2>Un changement positif</h2>



Dans la vie, il n’arrive jamais rien pour rien. M. Dion en est la preuve. Natif de Saint-Canut et exproprié, il s&#8217;établit à Sainte-Sophie en 1980. Un gars de campagne, il y trouve son petit paradis sur une terre sur le bord d&#8217;une rivière, c’est tout un privilège d’être en retrait pour profiter de cette belle nature qui l’entoure!



Lui qui a longtemps travaillé à Montréal, il y retrouve la paix dans un espace loin de tout. Il s&#8217;aperçoit que la municipalité de Sainte-Sophie n&#8217;est plus le petit village qu&#8217;il était autrefois. La Municipalité de Sainte-Sophie attire de plus en plus de nouveaux résidents pour son côté de vivre au grand air.



Pour en savoir plus sur le Club Optimiste de Sainte-Sophie, il est possible de communiquer avec Yves Dion, président, au 450 602-4852 / 450 438-3221 ou encore par courriel à  <a href="mailto:cosaintesophie2017@hotmail.com">cosaintesophie2017@hotmail.com</a>. L’organisme dispose également d’une <a href="https://www.facebook.com/people/Club-Optimiste-de-Sainte-Sophie/100068889593080/">page Facebook</a>.







Nathalie Dumas redaction@groupejcl.ca

Activité du Club Optimiste de Sainte-Sophie

Nous distribuons 10,3 millions d’exemplaires par année sur l’ensemble de notre territoire, alors que nos plateformes numériques comptent un total de 20 millions de pages vues et près de 15 millions de visiteurs uniques par mois.



La presse est un rempart précieux de la démocratie et son devoir d’informer le public avec la plus grande rigueur journalistique ne doit pas être asservi par l’hégémonie de quelques géants du Web qui s’enrichissent non seulement en s’appropriant un contenu que nous produisons à grands coûts, mais qui diffusent également un lot de fausses nouvelles dénuées de véritables pratiques journalistiques et de sens éthique, un contenu non vérifié et inexact.



Ces géants du Web, comme Facebook et Google, laissent aussi libre cours aux agrégateurs de contenu auxquels Internet a donné naissance.



Ceux-ci se sont multipliés sans produire des contenus originaux, avec très peu ou sans investissements dans les ressources journalistiques et peu de règles d’éthique en matière d’information.



La presse hebdomadaire francophone au Québec a d’ailleurs joué un rôle fondamental dans la livraison de l’information au cœur de plusieurs communautés locales, souvent dans des régions ne comptant aucun autre média local ou régional. Dans ce contexte, on peut affirmer qu’une presse affaiblie, menacée d’abandonner sa mission et de disparaître après des décennies d’existence, met sérieusement en péril notre démocratie.



Les hebdos, quant à eux, font partie&nbsp;du paysage économique et culturel, certains depuis près d’un siècle, et ils sont essentiels à la vitalité démocratique. Hors des grands centres, ils sont souvent les seuls à jouer un tel rôle et leur pertinence demeure tout aussi grande qu’avant l’avènement des réseaux sociaux.



Nos journalistes créent et produisent du contenu original local ou régional pour chacun de nos produits d’information à partir de nos salles de nouvelles respectives, qui totalisent plus de 200&nbsp;journalistes au Québec.



On peut dire que c’est une très grande salle de rédaction qui couvre l’ensemble du Québec.



Chaque jour, ils livrent de la nouvelle de proximité de grande qualité et contribuent à ériger un mur contre la vague de désinformation qui déferle, particulièrement depuis quelques années.



Dans un sondage réalisé par Pollara Strategic Insights au nom de Médias d’Info Canada en&nbsp;mai&nbsp;2022, on a appris que 90&nbsp;% des Canadiens estimaient qu’il est important que les médias locaux survivent, que 79&nbsp;% des Canadiens étaient d’accord pour que les géants du Web doivent partager leurs revenus avec les médias canadiens et que 80&nbsp;% des Canadiens étaient favorables à l’adoption du projet de loi.



Pour notre part, c’est un véritable « cri du cœur »&nbsp;: nous vous demandons d’avaliser ce projet de loi et de permettre la négociation collective pour pallier le déséquilibre du marché entre les plateformes Web mondiales et les éditeurs de médias d’information locaux et régionaux.



Même les ententes déjà conclues entre certains éditeurs et Google ou Facebook présentent une inégalité et un déséquilibre par rapport aux autres.



Ces géants du Web ont, de fait, cannibalisé nos revenus sans assumer aucune des responsabilités sociales et fiscales qui s’y rattachent en contrôlant les algorithmes. Ils ont bouleversé notre modèle d’affaires et diminué la valeur réelle de l’information. Ils ont surtout réussi à s’attirer 80&nbsp;% des investissements publicitaires d’entreprises et de commerçants locaux et régionaux sans qu’il y ait de retombées tangibles dans les communautés.



En quelques années seulement, sans contribution fiscale, ces géants du Web ont érodé les revenus des médias traditionnels qui, pendant des décennies, ont investi temps et argent dans leur communauté, encouragé leurs commerçants et professionnels, soutenu leurs institutions et servi l’intérêt public de leurs concitoyens. Google et Meta, pour ne nommer que ceux-là, bénéficient et tirent nettement profit de notre contenu. Ils maintiennent ainsi l’intérêt de leurs utilisateurs, dont ils collectent et traitent les données afin de cibler les publicités vendues.



Au fond, c’est leur modèle d’entreprise.



Pour couronner le tout, ces géants nous menacent de bloquer les nouvelles au Canada si le projet de loi&nbsp;C-18 est adopté.



Nous demandons à nos parlementaires d&#8217;aider les journaux communautaires en adoptant le projet de loi C-18 avant leurs vacances d&#8217;été.



Benoit Chartier, président du conseil d’administration, Hebdos Québec



Sylvain Poisson, directeur général, Hebdos Québec

Hebdos Québec: Un appel à adopter C-18 et à préserver les nouvelles locales

<h2>Une décision qui apporte la stabilité</h2>



Afin d&#8217;améliorer la qualité de vie de sa famille et pour un nouvel emploi, Yvette Rocheleau a décidé de s&#8217;installer dans la municipalité de Sainte-Sophie. Elle se rend rapidement compte que les résidents sont amicaux et qu&#8217;ils ont le sens de l&#8217;accueil. Dès lors, elle prend la décision de s&#8217;impliquer de manière positive et de voir ce qui se passe autour d&#8217;elle. Elle participera à des activités où elle rencontrera d’ailleurs la personne qui partage sa vie.



<h2>Touchée par l’action communautaire</h2>



Mme Rocheleau embarque dans l’aventure de bénévole pendant cinq ans après avoir eu un coup de cœur pour la cuisine collective <a href="http://www.lamontagnedespoir.ca">La Montagne d’Espoir</a>.  Elle n&#8217;aurait jamais pu imaginer qu&#8217;elle ferait partie intégrante d&#8217;un beau projet en devenant active dans la vie de la communauté. Lorsque Louise Gallant fut élue à la mairie de Sainte-Sophie, en 2013, ce fut un bonheur pour elle de prendre sa place et d’être nommée directrice de cet organisme et de pouvoir s’impliquer davantage. 



<h2>L’espoir de voir plus grand</h2>



Les besoins augmentent sans cesse. Que ce soit pour les plus démunis, les personnes âgées ou la réinsertion, la cuisine collective est devenue une nécessité.



<a href="http://www.lamontagnedespoir.ca">La Montagne d’Espoir</a> compte une vingtaine de bénévoles âgés de 35 à 81 ans et accueille des étudiants pour l’été. L’organisme aide également les prisonniers à reprendre une vie normale en leur proposant de l&#8217;aide pour apprendre à cuisiner des repas nutritifs, à participer à des activités qui contribuent à la communauté, à devenir plus sensibles aux autres et à faire des achats afin d&#8217;être plus autonomes. Un objectif important de leur action est de permettre aux personnes âgées de sortir de l&#8217;isolement.



Yvette Rocheleau est optimiste quant à la possibilité de trouver un local plus grand, ce qui lui permettrait de ne plus être à l&#8217;étroit dans les installations actuelles. Ainsi, toute l&#8217;équipe pourra continuer à fournir aux personnes des moyens d&#8217;améliorer leurs conditions affectives, sociales, économiques et culturelles.







Nathalie Dumas redaction@groupejcl.ca

Club Optimiste de Sainte-Sophie : un lien significatif pour les jeunes

Un bien-être pour plus de 5 000 enfants

Un positif pour la communauté

Un changement positif