Avec l’aide des proches de M. Bincette, les administrateurs de l’organisme et les bénévoles impliqués au jardin collectif ont planté un pommier décoratif et ont installé une plaque faisant mention de son apport pour notre communauté.



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/10/bellefeuille-2-edited.jpg" alt="" class="wp-image-18044" width="560" height="419" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/10/bellefeuille-2-edited.jpg 749w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/10/bellefeuille-2-edited-291x218.jpg 291w" sizes="(max-width: 560px) 100vw, 560px" /><figcaption>Crédit photo : Citoyens actifs du Vieux-Bellefeuille La plaque commémorative à la mémoire de M. Claude Bincette</figcaption></figure>



M. Bincette a toujours été un partenaire majeur dans l’aménagement du jardin collectif du Vieux-Bellefeuille. Il était présent lors de la fondation de l’organisme responsable du jardin « Citoyens actifs du Vieux-Bellefeuille » et nous donnait énormément de plants, de paillis et de terre à toutes les années. Il a aussi été impliqué dans plusieurs autres projets et mobilisations locales au cours de sa vie. Il faut souligner l’apport de cet homme d’exception dans le quartier de Bellefeuille – Mélissa Vincent, présidente des Citoyens actifs du Vieux-Bellefeuille.

Ce montant a été distribué à deux organismes locaux, la Maison d’accueil Le Mitan et La Maison d’Ariane, qui œuvrent auprès des personnes en situation de vulnérabilité.



<h2>Un soutien national pour des milieux de vie sécuritaires</h2>



À l’échelle nationale, la campagne a permis de récolter plus de 515 000&nbsp;$. Ces fonds soutiendront des projets visant à revitaliser les milieux de vie ou à faciliter l’accès au logement pour des personnes victimes de violence conjugale, des familles à faible revenu, ainsi que des personnes ayant des besoins particuliers ou des enjeux de santé mentale.



<h2>Organismes soutenus dans les Laurentides&nbsp;:</h2>



–&nbsp;RONA Blainville et RONA+ Rosemère&nbsp;: Maison d’accueil Le Mitan – 4 122,11&nbsp;$ et 606,82&nbsp;$



–L’entrepôt RONA Saint-Eustache&nbsp;: Maison d’accueil Le Mitan – 5 437,69&nbsp;$



–&nbsp;RONA Saint-Jérôme&nbsp;: La Maison d’Ariane – 3 190,00&nbsp;$



<h2>Un engagement local fort</h2>



« Nous sommes fiers de constater l’engagement de nos équipes et de nos clients pour une cause aussi importante que l’accès à un logement sécuritaire », souligne Josée Lafitte, directrice de la Fondation RONA. « Grâce à leur générosité, nous aidons à créer des environnements plus sûrs pour des milliers de Canadiens. »



Pour en savoir plus sur la Fondation RONA et ses initiatives, visitez le site <a href="http://www.ronainc.ca">www.ronainc.ca</a>.

La Fondation RONA remet plus de 515 000 $ à 150 organismes au Canada

En cette semaine nationale de l’action communautaire autonome (#SNACA), nous souhaitons rendre visible l’engagement des 4500 organismes communautaires et rendre hommage aux 54 000 personnes qui contribuent quotidiennement, bien souvent dans l’ombre, à améliorer les conditions de vie des personnes, des communautés et de la société.



« Nous sommes communautaires autonomes ! » est le thème porteur et rassembleur de cette 23e&nbsp;édition de la #SNACA. Nous existons dans les quatre coins du Québec, nous accompagnons des milliers de personnes de tout âge et de tout horizon, nous contribuons à construire une société plus juste et respectueuse du vivant et par notre nature alternative et innovante, nous représentons un tremplin pour le changement. C’est ça, être communautaire autonome !



Cependant, avec le fractionnement des sources de financement, les projets non récurrents et les commandes et décisions ministérielles qui viennent contrecarrer les négociations établies en région, il est devenu de plus en plus exigeant pour les organismes communautaires autonomes de garder un esprit critique et de jouer leur rôle de transformation sociale. N’oublions pas toutes ces crises qui sévissent actuellement et affectent les populations du Québec. C’est dans ce paysage loin d’être rose que les organismes communautaires autonomes existent en 2024 et tentent sur tous les fronts — logement, alimentation, défense de droits, santé mentale et bien plus encore, de palier au désengagement de l’État.



« Avec ces forces qui nous tirent et nous poussent de tous les côtés, nous avons besoin les unEs des autres pour rester ancrées dans nos racines faites de nos membres et d’approches alternatives à celles d’un réseau qui, avec la nouvelle Agence Santé Québec, part résolument sous la gouverne d’intérêts privés, vers une centralisation des pouvoirs et une perte des espaces de consultations citoyennes », témoigne Sophie Dion, présidente du ROCL.



C’est pour se camper dans cette force collective et solidaire que plus de 75&nbsp;organismes communautaires des Laurentides fermeront leurs portes, le 24&nbsp;octobre prochain, comme moyen de revendication afin de faire reconnaître leur apport essentiel à la région. Le 24&nbsp;octobre a été décrété comme la Journée régionale de reconnaissance des travailleuses et des travailleurs du milieu communautaire afin de rendre visible un travail trop souvent invisible.



« Nous sommes fières d’être communautaire autonome, mais épuiséEs de réparer les pots cassés dans des conditions précaires avec de la colle bon marché, pendant que nos décideurs priorisent les intérêts privés au détriment d’une vision adéquate et préventive pour aborder les problèmes sociaux auxquels la population est confrontée », affirme avec vigueur Benoit Larocque, coordonnateur du ROCL.



Nous brillons par notre résilience, notre détermination et notre créativité à vouloir créer une société plus juste, verte et inclusive. En contrepartie, nous portons aussi le poids de la crise sociale et climatique sans précédent que traverse la planète actuellement.



Face aux différents enjeux vécus présentement par les groupes communautaires, d’autres solutions existent pour apporter des changements qui sont nécessaires. Dans un esprit de bien commun, nous souhaitons être entendus afin de contribuer à humaniser un peu plus notre monde. Notre place n’est plus à défendre et notre voix pour l’avenir de notre société compte plus que jamais. C’est ça, être communautaire autonome !

Inauguration de l’espace Claude Bincette au Jardin collectif du Vieux-Bellefeuille