« Je suis arrivé dans la région parce que mes parents ont été expropriés pour l’aéroport de Mirabel. Je suis donc arrivé en 1974 avec mes parents et à ce moment j’avais 4 ans. Depuis ce temps, j’y suis installé », raconte le président de l’Association des gens d’affaires de Sainte-Sophie.



<h2>Les implications de Luc Plouffe</h2>



« Étant impliqué depuis près de cinq ans au niveau de l’Association des gens d’affaires de Sainte-Sophie, nous avons mis en place un marché public en 2021 pendant la pandémie. Ce marché aura été un beau petit défi! La mission de l’Association est de faire rayonner les entrepreneurs, donc il y a des soirées de réseautage, des déjeuners-causeries et plus encore. Je suis aussi impliqué au niveau d’un jardin communautaire pour l’installation d’un système d’alimentation en eau à partir de la rivière Achigan pour la deuxième année consécutive dans le parc Nightingale. Finalement, je suis aussi bénévole au niveau du Club optimiste de Sainte-Sophie pour différents événements. J’aimerais en profiter pour mentionner que tout ça ne serait pas possible sans faire partie d’une équipe de bénévoles dévoués qui ne cessent de se dépasser à chaque événement et d’un extraordinaire partenariat avec les gens de la Municipalité qui sont à l’écoute de nos demandes et n’hésitent pas à nous soutenir dans nos projets », renchérit M. Plouffe.



<h2>Ses endroits coups de cœur</h2>



« Mes endroits préférés dans la région sont la halte routière adjacente à l’hôtel de ville, le parc Nightingale et les chutes de la rivière Achigan dans le secteur de New Glasgow. Ces trois endroits sont mes coups de cœur. Ils ont tellement de possibilités à offrir à l’ensemble des citoyens », conclut Luc Plouffe.







Kim Desormeaux redaction@groupejcl.ca

Le parcours de Guy Lamothe à Sainte-Sophie a commencé en 1981. « Je suis arrivé à Sainte-Sophie en 1981. Mon père rêvait de construire sa maison et il avait choisi cette belle ville. Je suis donc arrivé à Sainte-Sophie par les choix de mon père. À ce moment-là, j’avais 14 ans. C’est donc à partir de cet instant que ma vie à Sainte-Sophie a commencé », mentionne-t-il.



Ayant commencé son parcours politique en 2013, M. Lamothe souhaitait s’impliquer davantage dans la vie politique de la Ville de Sainte-Sophie. « Après une discussion avec Madame Louise Gallant lors de la Fête nationale, je lui avais mentionné que je voulais m’impliquer et donner plus dans le service aux citoyens et dans la bonne gestion des fonds publics », dit Guy Lamothe.



C’est donc sans surprise que Mme Gallant a offert son soutien à son acolyte lors des dernières élections municipales. « Ça fait plusieurs mois que je regardais travailler mes conseillers qui étaient candidats. En fait, je les connaissais beaucoup, puisque ça faisait huit ans qu’on travaillait ensemble. J’ai pris du recul et je me suis mise à la place du citoyen en les observant. Je ne sentais pas l’importance de dossiers, qui me tenaient à cœur, pour certains candidats. En ce sens, M. Lamothe avait la même vision que moi et c’est pour cette raison que je lui ai donné mon appui. Ils auraient tous fait un excellent travail et avaient tous de l’expérience », avait-elle mentionné à l’époque. 



<h2>Tomber sous le charme de Sainte-Sophie</h2>



« J’adore cette municipalité pour la vie paisible, l’espace, son noyau villageois, les activités offertes, les espaces verts et Sainte-Sophie est la 23e meilleure ville et municipalité pour y demeurer selon les sondages. Je vais y demeurer tout le restant de ma vie. Sainte-Sophie est devenue ma ville natale et la meilleure place dans les Laurentides, renchérit le maire. 



Il y a de beaux lacs, de belles pistes cyclables, notamment la piste cyclable, les golfs et la ville offre la possibilité de faire de belles balades en voiture.







Kim Desormeaux



redaction@groupejcl.ca

Guy Lamothe s’ouvre sur son amour de Sainte-Sophie

Dans le cadre du pré-lancement de l’exposition du 150e anniversaire du Service de sécurité incendie de la Ville de Saint-Jérôme, le 23 juin, Infos-Laurentides est allé à la rencontre d’Histoire et Archives Laurentides (HAL), un organisme à but non lucratif (OBNL) qui permet aux gens d’ici d’immortaliser à jamais leurs biens historiques. 



« Dans le fond, notre mission, c’est d’acquérir des archives d’ici, principalement de la MRC de La Rivière-du-Nord, pour les traiter, les conserver, les décrire et de les rendre accessibles au public en les diffusant dans des expositions comme aujourd’hui », explique Linda Rivest, directrice générale et archiviste de l’OBNL reconnu par Bibliothèque et Archives nationales du Québec.



L’histoire citoyenne



Afin d&#8217;accomplir sa quête, l’organisme doit avant tout avoir le matériel pour le réaliser. C’est pourquoi il le trouve directement à la source de ceux qui créent l’histoire : « C’est souvent beaucoup des archives que de citoyens de la région nous amènent, ou bien des organismes ou d’entreprises privées », indique la directrice adjointe, précisant que cela permet de créer plusieurs panneaux éducatifs, comme ceux qui se retrouvent un peu partout dans Saint-Jérôme.



« S’il n’y avait pas de citoyens qui nous remettait leurs archives, on ne pourrait pas faire la diffusion et on ne pourrait pas faire connaître l’histoire… Ce qui est intéressant c’est que ça nous permet de parler davantage de la petite histoire, celle nos petits organismes qui font rayonner la région », renchérit-elle.



Des dons éternels



Si le concept de don est de donner une deuxième vie à un objet, l’organisme laurentien l’amène au niveau supérieur en le faisait vivre, « idéalement pour toujours ». Comme l&#8217;a auparavant souligné la conseillère du 12e district de Saint-Jérôme, Nathalie Lasalle, ces dons sont d’autant plus pertinents à ce temps ce de l’année



« Vu que le 1er juillet arrive à grands pas, c’est quelque chose qui peut être pensé, de ne pas jeter [ses objets d’époque], parce que l’histoire… ça nous rattache entre nous! », avait-elle indiqué le 20 juin dernier, lors de la dernière séance du conseil, à l’aube du week-end des déménagements partout dans la province.



Ainsi, le public possédant «&nbsp;un trésor de fond de tiroir&nbsp;» peut se rendre sur le site web d’Histoire et Archives Laurentides, soit histoire-archives-laurentides.com, pour ainsi trouver tous détails permettant de lui trouver sa place dans le patrimoine de la région.

Luc Plouffe raconte son histoire à Sainte-Sophie

Les implications de Luc Plouffe

Ses endroits coups de cœur