
<p>Avec plus de 20 ans d&#8217;expérience en gestion et une carrière bien ancrée en enseignement au HEC Montréal, François Rioux est sans aucun doute un atout majeur au sein du conseil d&#8217;administration de la 60ème Finale des Jeux du Québec.</p>



<p>« Je suis un gars de Blainville, je connais pas mal de gens autour de la communauté d&#8217;affaires. [Puisque] c&#8217;est un événement qui est jeune, qui est rassembleur, je pense que ça n&#8217;a certainement pas nui pour aider à ma candidature », ajoute M. Rioux qui a aussi fréquenté l&#8217;École nationale de l&#8217;humour avant d&#8217;obtenir sa maîtrise en administration des affaires (EMBA) à l&#8217;Université Concordia.</p>



<p>Tout au long de son mandat, le directeur général aura pour responsabilité, entre autres, de gérer le financement tout en accompagnant ses collègues et partenaires :</p>



<p>« Je me vois aussi comme quelqu&#8217;un qui est beaucoup en soutien aux autres. J&#8217;aime penser aussi que je peux peut-être être un mentor pour mes collègues en donnant des outils, ou des façons de faire qui vont peut-être les inspirer à court terme, mais peut-être qui vont rester également avec eux. »</p>



<h2>Faire briller la communauté </h2>



<p>« Je suis vraiment, très fier que mon nom et ceux de mes collègues soient associés à un projet qui rassemble la jeunesse, les saines habitudes de vie, le sport », avoue le directeur général, soulignant la rareté d&#8217;une telle occasion dans les Basses-Laurentides. Il est donc essentiel pour François Rioux de faire tout en son pouvoir pour honorer les talents de la région : « C&#8217;est un projet où il y a beaucoup de lumière et je souhaite la redistribuer dans la communauté. »</p>



<p>Présentée du 27 février au 7 mars 2026, la 60ème Finale des Jeux du Québec mettra à l&#8217;honneur la persévérance des jeunes sportifs, mais François Rioux s&#8217;engage à faire valoir les différentes entreprises et organisations qui rendront cet événement possible : « C&#8217;est tout un écosystème qui gravite autour et j&#8217;aimerais que ces gens-là aient un petit moment de gloire à l&#8217;intérieur de ces dix jours-là. Je me fais un devoir de trouver de l&#8217;espace pour tout le monde, c&#8217;est bien important pour moi. »</p>



<p>Les Bourses Oxygène, ont pour mission de soutenir financièrement les jeunes athlètes d’élite de moins de 25 ans de la région, visent à les aider à atteindre leur plein potentiel au niveau québécois et canadien.</p>



<h2><strong>Les athlètes</strong></h2>



<p>Ludovic Lachance, jeune patineur de vitesse, est en pleine ascension. Après avoir décroché plusieurs podiums provinciaux, il se prépare à entrer dans les compétitions internationales. Ludovic utilise la Bourse Oxygène principalement pour financer ses participations aux compétitions de qualification.<br><br>Éliane Blais, championne québécoise en XCO, s&#8217;est démarquée sur les pistes de vélo de montagne. Elle a utilisé la Bourse Oxygène pour participer à des compétitions dans l’Ouest canadien, où elle a terminé deuxième. Sans cette aide, elle n’aurait probablement même pas pu participer à la compétition.<br><br>Jade Gamache-Thibault, une fondeuse prometteuse, s’est imposée sur la scène provinciale grâce à ses performances à la Coupe Québec. La Bourse Oxygène lui a permis de couvrir les frais de déplacement et de participation à cette compétition majeure, où elle a confirmé son potentiel.&nbsp;</p>



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/09/image-edited.jpeg" alt="" class="wp-image-17735" width="569" height="378" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/09/image-edited.jpeg 1024w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/09/image-edited-327x218.jpeg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/09/image-edited-960x640.jpeg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/09/image-edited-96x64.jpeg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/09/image-edited-768x512.jpeg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/09/image-edited-615x410.jpeg 615w" sizes="(max-width: 569px) 100vw, 569px" /><figcaption>Photo courtoisie</figcaption></figure>



<h2><strong>Accompagnement</strong></h2>



<p>« Je sais que ces jeunes athlètes doivent composer avec de nombreux défis au quotidien, au-delà de la simple compétition. J’ai voulu créer un espace où ils peuvent respirer et se concentrer sur leurs performances, sans les soucis financiers qui pourraient les ralentir », explique Patrice Gascon.</p>



<p>M. Gascon, qui a souhaité rendre hommage à son père en nommant la Bourse &#8220;Oxygène 1966&#8221; – l’année où il a démarré son entreprise –, connaît personnellement chaque athlète et chaque parcours. Outre sa contribution de 25 000 $ par année aux bourses, son investissement va bien au-delà : « Je dis toujours aux jeunes qu&#8217;ils ont mon cellulaire. Si un jour ils ont une mauvaise compétition ou qu’ils ont besoin d&#8217;un exutoire, ils peuvent m&#8217;appeler et je serai leur &#8220;dépotoir&#8221; pour leur mauvaise humeur. S’ils ont eu une bonne compétition, c&#8217;est parfait. Je ne regarde pas les résultats. »</p>



<p>En plus de son engagement avec les Bourses Oxygène, Patrice Gascon s&#8217;implique auprès de la&nbsp;Fondation du Cégep de Saint-Jérôme, ainsi qu&#8217;au&nbsp;QGDA (Quartier général de l’Audace), une initiative dédiée à l&#8217;accompagnement et au mentorat des étudiants-entrepreneurs de la région.</p>



<p>Enfin, M. Gascon lance un appel à l’action. Il invite d&#8217;autres entrepreneurs et bienfaiteurs à rejoindre cette initiative, soulignant que le soutien financier est essentiel pour aider les jeunes talents à s&#8217;épanouir. « Chaque contribution, petite ou grande, peut faire une réelle différence dans le parcours de ces jeunes. Ils ont besoin de nous pour atteindre leurs objectifs », conclut-il.</p>


Une bouffée d’air pour trois athlètes des Laurentides


<p>Ils partagent maintenant la deuxième position au classement général avec le Collège français et les Cobras, ayant tous six points en quatre matchs. Mais au-delà de ces chiffres, c’est l’identité de l’équipe qui encourage. Même si une semaine ne fait pas une saison, force est d’admettre que l’équipe est arrivée bien préparée en ce début de calendrier. Jean-Philippe Paré misait sur une équipe difficile à affronter, et à ce point-ci, la majorité de leurs adversaires pourraient témoigner en ce sens. </p>



<h2><strong>Des recrues prometteuses et une profondeur impressionnante</strong></h2>



<p>Avec six joueurs affichant une moyenne d’un point ou plus par match après seulement quatre rencontres, les Panthères démontrent une belle profondeur. Parmi les étoiles montantes, l’ailier droit Benjamin Beaudry se distingue avec 13 points en 4 matchs! À seulement 18 ans, il pourrait bien faire la pluie et le beau temps chez les Panthères pour les années à venir s’il maintient le rythme. Son coéquipier, le centre Ludovic Martel, 19 ans, n’est pas en reste avec 11 points en autant de matchs.&nbsp;</p>



<p>Cette productivité offensive illustre bien la stratégie de Paré, qui, lors du recrutement estival, cherchait à renforcer l’équipe non seulement en termes de talents, mais aussi avec des joueurs capables de maintenir une pression constante sur l’adversaire.</p>



<h2><strong>Une défense jeune, mais prometteuse</strong></h2>



<p>Malgré quelques doutes initiaux sur la défense, celle-ci se révèle plutôt solide. Un seul défenseur a un différentiel négatif pour l’instant, ce qui est encourageant pour une équipe défensive aussi jeune. Avec un seul défenseur âgé de 19 ans (les autres ont 17 ou 18 ans), ils réussissent à tenir tête, à prendre l’avance… et la conserver!</p>



<h2><strong>Une équipe épuisante à affronter</strong></h2>



<p>L’intensité des félins les sert bien jusqu’à maintenant. Le prochain défi sera celui de la constance. La saison 2023-2024 avait également très bien commencée pour l’équipe de Jean-Philippe Paré. Il faudra continuer à travailler si on veut répondre aux attentes, soit d’être l’équipe la plus redoutée de la ligue.&nbsp;</p>


François Rioux s’engage à honorer les talents de la région

Faire briller la communauté