Cette performance du numéro 87 lui a valu la première étoile de la rencontre. Les détails dans la version papier d&#8217;Infos Laurentides de mercredi&#8230;.

Son parcours, tissée de leadership, de partage et d’engagement éclaire les sentiers du Club des fondeurs d&#8217;une lumière singulière depuis la fin des années 1990. Son altruisme et sa passion a transformé un simple club en une communauté soudée.&nbsp;



Avec 25 années de bénévolat dévoué, Martin Richer incarne la persévérance et la constance. Modeste, il réagit à la remise du prix avec étonnement. « C&#8217;est très flatteur et j&#8217;en suis très reconnaissant, car pour moi, ça a toujours été et ça restera du bénévolat pour l’amour du ski et la satisfaction d’avoir l’impression de faire une réelle différence dans la réussite d’un événement ».



À 52 ans, cet homme humble croit que son pouvoir réside dans sa capacité à rassembler, former et inspirer les bénévoles autour de lui. Chaque course, chaque compétition, chaque expédition de ski de fond, Martin Richer est toujours présent, tissant des liens forts au sein de la communauté des fondeurs.



Au fil des ans, Martin Richer a assumé divers rôles au sein du club, dépassant largement les contours de son statut de bénévole.&nbsp;



Son implication incommensurable et sa passion dévorante pour le ski de fond, l&#8217;ont conduit à des postes variés, devenant ainsi le pilier du Club des fondeurs.



« Mes filles qui sont aujourd’hui âgées de 22, 20 et 17 ans pensaient lorsqu’elles étaient jeunes que papa travaillait au club de ski », dit-il pour expliquer les heures et les heures passées pour aider les autres.&nbsp;



Martin Richer va au-delà du simple bénévolat. Sa contribution à la mise en place des écoles de skis et des programmes jeunesse depuis l&#8217;an 2000 a permis d&#8217;accueillir plus de 450 jeunes, un chiffre impressionnant qui témoigne de sa capacité à inspirer et à transmettre sa passion. Il est aussi impliqué dans le projet novateur de la remorque mobile de ski déployée dans les écoles de la CSSRDN, lui qui a à cœur, l&#8217;accessibilité et la gratuité pour les enfants.



Dans l&#8217;écho de ses actions, les témoignages affluent, révélant l&#8217;impact profond de Martin Richer. Un enseignant en éducation physique et à la santé de l&#8217;école du Grand-Rocher de Saint-Hyppolyte. « Depuis le prix, des gens qui savaient que je fais du bénévolat me disent merci et les autres qui ne le savaient pas sont plus conscients du travail exigé par des bénévoles. Des gens trop souvent sous le radar, mais combien importants pour la réussite d’un événement ».



Deux mentors



En recevant le prestigieux Prix Dollard-Morin en 2023, Martin Richer suit les traces de son mentor Marc Desjardins, honoré deux décennies plus tôt en 2003.&nbsp;



Remontant aux racines du Club des fondeurs, M. Desjardins, lui a transmis la flamme qui brûle encore en lui aujourd&#8217;hui. Le second mentor, Ildemaro Sanchez, ancien professeur d&#8217;éducation physique, qui a entraîné Pierre Mainville de Saint-Colomban, un athlète paralympique en fauteuil roulant en escrime. « Ce maître a fait de moi un meilleur bénévole et surtout une meilleure personne ».&nbsp;



Martin Richer, continuera d’illuminer les pistes de Saint-Jérôme de son dévouement infatigable pour toujours. « Tant que je pourrai marcher, tant que je pourrai skier, les gens peuvent compter sur moi », déclare-t-il.



Son histoire demeure une source d&#8217;inspiration, une preuve que l&#8217;amour du sport peut transcender les pistes et toucher le cœur de toute une communauté.



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Martin Richer, plus qu’un simple bénévole…un passionné

Saison Golf, le tout premier golf intérieur de Saint-Jérôme a ouvert ses portes, le 20 octobre dernier. Dès maintenant, l’objectif de ses propriétaires est donc d’offrir une expérience hors norme, mais encore accessible, à la communauté laurentienne.



«&nbsp;Les gens vont y vivre une expérience comme nulle part ailleurs. On le voit tout de suite en rentrant&nbsp;: c’est plus grand et plus vaste. Je pense aussi qu’on est les seuls de la région à être entièrement en 4K. On est en plus les seuls à avoir des vestiaires de membre, on offre le rangement de sacs pour l’hiver, on a un&nbsp;lounge, un salon privé, et même un bar », énumère Steve St-Denis, co-fondateur de Saison Golf.



« Je me répète, mais c’est vraiment un endroit unique », réitère-t-il avec fierté.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf2-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-13636" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf2-960x640.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf2-327x218.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf2-96x64.jpg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf2-768x512.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf2-615x410.jpg 615w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf2.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Photo : Noé Cloutier &#8211; Selon Steve St-Denis, l’une des forces de son commerce est qu’il est le seul de la région à avoir tous ses simulateurs en 4k.</figcaption></figure>



Amateurs et entrepreneurs



Avant de devenir entrepreneurs dans le monde du Golf, Steve St-Denis et ses trois associés étaient d’abord… entrepreneurs et amateur de golf. C’est donc à force de fréquenter les golfs intérieurs en hiver qu’ils ont cru pouvoir rehausser le produit.



«&nbsp;En y allant souvent, on voyait qu’il pouvait y avoir plusieurs jours d’attente. En tant qu’entrepreneur, en tant que&nbsp;fan, on s’est dit qu’on allait en ouvrir un. Il n’y en avait pas à Saint-Jérôme, alors la possibilité d’affaires était là&nbsp;», se souvient-il.



« En se lançant dans la recherche, on a fait tous les centres de golf des Laurentides, on a essayé tous les types de simulateurs et en faisant les pours et les contres de chaque centre. En faisant un melting pot des bonnes idées de tout le monde, on a fait notre centre », poursuit-il, disant n’avoir eu jusqu’à maintenant que des retours positifs.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf5-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-13637" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf5-960x640.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf5-327x218.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf5-96x64.jpg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf5-768x512.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf5-615x410.jpg 615w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf5.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Photo : Noé Cloutier</figcaption></figure>



De Saint-Jérôme, pour Saint-Jérôme



Ils sont quatre entrepreneurs, quatre amateurs de golf, mais surtout «&nbsp;quatre gars du coin&nbsp;». Steve St-Denis habite à Sainte-Sophie, Mario Caron à Saint-Colomban, Claudérick Garant à Saint-Jérôme et Jérémy Paquette à Saint-Hippolyte. Maintenant tous réunis sous le commerce situé au 1085, boulevard Jean-Baptiste-Rolland Ouest, ils se donnent pour mission de partager leur passion à toute la communauté.



« On a un salon privé pour le corporatif, des bâtons pour les enfants, un rabais pour les membres de la FADOQ, on compte aussi approcher le Cégep de Saint-Jérôme pour offrir le programme de golf… On veut vraiment rendre ça accessible à tous », témoigne Steve St-Denis – prêt pour l’hiver – disant que même si son centre en offre plus que les autres, il ne compte pas le rendre moins abordable pour autant.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="640" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf3-960x640.jpg" alt="" class="wp-image-13638" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf3-960x640.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf3-327x218.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf3-96x64.jpg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf3-768x512.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf3-615x410.jpg 615w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/11/saison-golf3.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Photo : Noé Cloutier</figcaption></figure>

Grosse victoire des Panthères