La ville de Saint-Jérôme souhaite concrétiser, de façon permanente, la protection du parc naturel du lac Jérôme avec une servitude de conservation pour assurer sa pérennité.



Le parc naturel du lac Jérôme, d’une superficie de 10&nbsp;millions de pieds carrés, deviendra désormais un territoire conservé dès 2025, en vertu d’une servitude de conservation octroyée par l’Institut des Territoires, un organisme de conservation reconnu et basé à Saint-Jérôme.



Mario Fauteux, conseiller à la ville de Saint-Jérôme, travaille sur ce projet depuis 2014 et il est très fier de l’annonce de ce projet qui sera signé au conseil de ville du 19&nbsp;novembre prochain.



« Pouvoir dire Ok, on l’a fait. C’est un beau legs qu’on fait à la communauté jérômienne, c’est une très grande fierté, je peux vous le dire. »



Mario Fauteux



Ce parc acquis en 2015 par la ville de Saint-Jérôme est actuellement zoné parc et est maintenant sorti de la zone urbaine. Cependant, qu’il soit considéré comme parc et non pas comme une servitude de conservation, cela peut permettre à n’importe quel conseil de ville de passer un chemin en plein milieu du parc et puis de le traverser comme l’ancien conseil de ville voulait le faire en 2021, explique le conseiller Fauteux.



Il n’y aura plus possibilité de construire des édifices, des chemins ou des trottoirs à l’intérieur du territoire. Tout ce qui sera permis, ce sont des aménagements récréatifs et éducatifs ainsi que la protection du territoire, bien évidemment, mentionne M.&nbsp;Fauteux.



C’est une nouvelle majeure, affirme-t-il, puisque ça comptera éventuellement dans le 30&nbsp;% que le gouvernement du Québec a comme cible avec le Plan Nature&nbsp;2030, qui vise à atteindre les prochaines cibles mondiales, dont la cible de conservation de 30&nbsp;% du territoire québécois.



De plus, cette servitude a une petite particularité, précise M.&nbsp;Fauteux. Elle sera d’une durée de 6&nbsp;ans, avec un facteur bien précis, c’est-à-dire qu’elle est renouvelable automatiquement et obligatoirement.



La servitude doit se renouveler aux mêmes conditions ou dans des conditions supérieures à ce qui sera signé en Conseil de ville.



On a soif de verdure à Saint-Jérôme, alors d’autres projets similaires seront rattachés éventuellement dans les 6&nbsp;prochaines années, néanmoins, c’est ce que désire fortement M.&nbsp;Fauteux.

Martin Pigeon, chef du parti Avenir Saint-Jérôme, candidat à la mairie de Saint-Jérôme et actuel conseiller municipal, est très fier de dévoiler leur premier candidat à titre de conseiller. Selon M. Pigeon, Philip est un jeune homme dynamique, passionné et déterminé, qui veut faire une différence dans sa communauté. « Il est le candidat qu’il faut pour le quartier dans lequel il va se présenter », c’est-à-dire dans le quartier nord-est, soit le secteur Lafontaine.



M. Pigeon explique que la candidature de M. Lapalme a été retenue parce que sa volonté d’améliorer le cadre de vie de l’ensemble des citoyens est palpable et inspire tous ceux qui l’entourent, selon M. Pigeon.



« L’équipe fait toujours des choix en fonction du bien-être de nos citoyens. Philip est un atout précieux en ce sens. Je suis extrêmement fier de l’accueillir au sein de notre équipe d’Avenir Saint-Jérôme. Ensemble, nous travaillerons à bâtir une ville plus prospère, plus verte et plus inclusive, au service de tous les Jérômiens », a commenté le chef de parti.



<h2>Jeune prodige de la fonction publique</h2>



Philip Lapalme est un jeune homme de 28 ans. À 24 ans, il a occupé les fonctions de maire et de conseiller municipal à Vaudreuil-sur-le-Lac, en Montérégie, de conseiller régional et de commissaire scolaire. « Je connais très bien la fonction d’élu et le fonctionnement d’une ville », rapporte M. Lapalme.



Il a également fait des études supérieures en comptabilité et gestion et possède plusieurs expériences professionnelles en tant que gestionnaire ou professionnel, comme gérant de commerce de détail, conseiller en sécurité financière et professionnel en administration au centre de services scolaire de la Rivière-du-Nord. C’est quelqu’un de très engagé dans la région, avec ses différentes implications comme administrateur au Carrefour Jeunesse-Emploi, à la Fondation de l’eau de la Rivière du Nord, et comme membre de la Chambre de commerce, en plus de ses rôles politiques.



« Je veux m’engager dans ma collectivité. Je veux faire une différence positive pour mes concitoyens. Avec ce bagage, je souhaite vraiment mettre mes compétences en administration et en gestion au service de notre ville. Pour moi, l’embellissement de notre ville, l’amélioration de nos milieux de vie, la revitalisation de notre centre-ville et le soutien à nos commerçants locaux sont au cœur de mes préoccupations. »,Philip Lapalme



Philip rappelle que le district 3 comprend l’école primaire Sans-Frontières, l’école secondaire des Hauts-Sommets, l’académie La Fontaine, deux centres de la petite enfance et le parc Schulz. C’est un milieu rempli de vie, composé notamment de nombreux jeunes et familles. « Et moi, je souhaite que leur voix soit entendue. Je veux porter leur voix au conseil municipal. C’est un secteur que j’habite, que je traverse tous les jours. Donc, je le connais. Je connais les enjeux. Ce serait un honneur pour moi de les représenter au conseil municipal », dit M. Lapalme.



Philip Lapalme tient à mentionner qu’il veut être un conseiller présent, accessible et à l’écoute de ses concitoyens. Il ne ménagera aucun effort pour faire avancer les dossiers, car il est passionné, investi dans sa collectivité et soucieux du bien-être de ses concitoyens. Il rappelle qu’il souhaite apporter son énergie et toute sa passion pour faire progresser la ville.

Philip Lapalme se joint à Avenir Saint-Jérôme

La IPA&nbsp;117, devient donc la meilleure IPA au Québec et troisième au Canada. Le plus important concours de bières au pays s’est déroulé à New Westminster en Colombie-Britannique.



La Coupe des bières du Canada est une toute nouvelle compétition nationale, au cours de laquelle les bières sont soumises à des juges internationaux de haut niveau, qui célèbre les microbrasseries indépendantes du Canada. Son objectif est de mettre de l’avant la qualité et l’innovation des bières artisanales d’un océan à l’autre.&nbsp;



Les médailles d’or et d’argent ont été remportées par deux microbrasseries de la Colombie-Britannique et la médaille de bronze a été remportée par la microbrasserie Shawbridge de Prévost. On en compte maintenant&nbsp;près de 1000&nbsp;microbrasseries au Canada, dont près de 250 au Québec.



<figure class="wp-block-image size-full is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/11/mpl-ipa117-2.png" alt="La bière IPA 117 de la microbrasserie Shawbridge à Prévost." class="wp-image-18243" width="497" height="413" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/11/mpl-ipa117-2.png 757w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/11/mpl-ipa117-2-262x218.png 262w" sizes="(max-width: 497px) 100vw, 497px" /><figcaption>Photo&nbsp;Justine Vachon Shawbridge remporte le bronze pour La IPA&nbsp;117.</figcaption></figure>



Hugues Néron, propriétaire de Shawbridge, se dit très fier de l’IPA 117, leur premier produit commercialisé, autrefois appelé Station 001 avant sa sortie en magasin. Cette bière, première à être dégustée par leurs clients à la brasserie de Prévost, a été retravaillée et améliorée au fil des ans. Elle représente aujourd’hui plus de 30 % de leurs ventes. « C’est ma bière de tous les jours, matin, midi et soir », a-t-il plaisanté.



Située sur la route 117 à Prévost, Shawbridge produit plus d’une vingtaine de bières artisanales, ainsi que des produits non alcoolisés, des charcuteries, des pizzas surgelées et des gelatos, disponibles dans plus de 800 points de vente au Québec, dont des épiceries et des restaurants, ainsi qu’au P’tit Magasin Shawbridge. Leur mission est d’offrir à la clientèle une expérience mémorable avec des produits de qualité supérieure.



Cet hiver, l’entreprise a investi environ 2,5 millions de dollars pour augmenter sa production annuelle à 7000 hectolitres de bière et 700 000 pizzas surgelées. Les travaux, estimés à 1,5 million de dollars, et l’équipement, d’une valeur de 1 million de dollars, permettront aussi d’accroître la production de boissons non alcoolisées, telles que leurs populaires limonades, selon M. Néron.



Bien que l’usine de production de pizzas ne soit pas encore achevée, elle devrait l’être d’ici février, ce qui permettra à Shawbridge de passer de 200 000 à environ 700 000 à 800 000 pizzas produites par an.



« Nous sommes ambitieux chez Shawbridge et fiers de faire travailler plus de 150 personnes dans les Laurentides », a ajouté M. Néron.

Microbrasseurs de Shawbridge à Prévost, heureux du prix remporté par leur IPA 117.

Le parc naturel du Lac Jérôme sera désormais protégé