Sonia Goulet, pour le district 7 (Saint-Antoine), et Simon Marcil, pour le district 11 (Bellefeuille – Place Citation), se joignent à l’équipe menée par Rémi Barbeau pour briguer des mandats de conseillers municipaux.
Selon M. Barbeau, chef du parti et candidat à la mairie, il s’agit de deux candidatures solides, ancrées dans la réalité des familles. Leur parcours professionnel, leur engagement social et leur désir sincère de s’impliquer activement dans la vie municipale témoignent, selon lui, d’une volonté de faire avancer les choses avec rigueur, écoute et humanité.
Sonia Goulet : une voix pour Saint-Antoine
Sonia Goulet, résidente de Saint-Antoine depuis six ans, est mère de deux filles. Chargée de projet dans le domaine de la santé, elle détient une formation universitaire en sciences politiques, en gestion de projet et en éducation. Elle a collaboré avec plusieurs municipalités et organismes publics au fil des ans.
Bien qu’elle ne soit pas une politicienne de carrière, elle se décrit comme une citoyenne engagée, proche des réalités du quotidien. « J’ai les compétences pour agir concrètement, et l’envie sincère de bâtir un quartier plus humain. Mon engagement part du cœur, mais il est aussi porté par une expérience de terrain que peu de gens ont », affirme-t-elle.
Mme Goulet souhaite remettre les besoins des citoyens au cœur des décisions municipales. « Je pense que les gens de Saint-Antoine ont l’impression que les décisions se prennent sans eux depuis trop longtemps. Je veux changer ça. » Elle promet de travailler pour les familles, les jeunes couples, les femmes seules, les aînés — « bref, pour tous ceux qui vivent à Saint-Jérôme. »
« On peut faire du secteur de Saint-Antoine un exemple de quartier à échelle humaine. » — Sonia Goulet
Simon Marcil : un retour à l’action municipale
De son côté, Simon Marcil mise sur son expérience politique. Ancien député du Bloc Québécois dans la circonscription de Mirabel, il a été élu pour deux mandats à la Chambre des communes, de 2015 à 2021. Il a travaillé sur des dossiers en agriculture, en économie régionale et en droit du travail, et a également été whip de son parti.
Aujourd’hui professionnel chez Hydro-Québec, M. Marcil poursuit des études supérieures en science politique afin de mieux comprendre les transformations sociales et institutionnelles des dernières années. Père de trois enfants, il dit avoir trouvé à Bellefeuille un milieu de vie calme, sécuritaire et près de la nature.
Il revient en politique avec une vision plus lucide et une forte volonté de contribuer localement.
« J’ai encore le feu sacré. Je suis prêt. » — Simon Marcil
M. Marcil a reçu un diagnostic de trouble bipolaire pendant son mandat fédéral. Il choisit d’en parler ouvertement. « Ce diagnostic m’a permis de mettre des mots sur ce que je vivais, mais surtout d’aller chercher de l’aide. C’est un chemin qui m’a appris l’humilité, la résilience et l’importance d’écouter vraiment les autres. »
Il espère que son parcours pourra en inspirer d’autres à demander de l’aide et à croire en la possibilité d’un retour. « Revenir, c’est aussi une preuve qu’on peut aller de l’avant. »
« Sonia et Simon incarnent ce que le Mouvement Jérômien défend depuis le début : une politique honnête, compétente, profondément humaine. Ils connaissent leur quartier, ils connaissent les gens, et ils savent comment faire avancer les choses. » — Rémi Barbeau
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