« Un début de match très difficile. Beaucoup trop de passagers dans l’autobus qui regardaient les paysages au lieu de la conduire et d’aller où qu’on voulait en autobus. Ça donné le ton au match », a illustré l’entraîneur-chef des Panthères, Martin Gascon, loin d&#8217;être souriant au point de presse d’après match.&nbsp;



Les locaux ont creusé leur trou dès le départ avec 4 buts sans riposte de l’adversaire. 4-0 après une seule période et les livres étaient fermés.&nbsp;



Le gardien de but, Arno Lamarre, avec une fiche de 7 victoires et deux défaites a vu sa moyenne chuter drastiquement à 0.714 accordant 4 buts en seulement 14 lancers.&nbsp;



Au début du 2e&nbsp;vingt, le cerbère, Vincent Lajoie se trouvait devant le filet des Panthères. Il a été déjoué une fois, portant la marque 5-0. Il a bloqué les 15 autres tirs en sa direction.



En 3e&nbsp;période, Alexandre Lefebvre, avec l’aide d’Alexis Leblanc, a été le seul à marquer pour les locaux, faisait du même coup perdre le blanchissage au gardien de Longueuil, Mathis Lacroix-Goulet, qui détient un excellent pourcentage d’arrêt de 0,950. Ses coéquipiers Félix Riverin, deux buts (16e et 17e) et François Langlois, un but, deux passes ont connu une grosse soirée à l&#8217;attaque.



Difficile à comprendre la contre performance des Panthères, car cette rencontre était un match de quatre points, le Collège Français occupant la 4e&nbsp;place, les Panthères, au 3e&nbsp;rang du circuit, avec deux matchs en main.



Ce sont les avantages numériques qui ont fait la différence, Longueuil touchant les cordages deux fois en six tentatives. Saint-Jérôme 0 en 2, l’avantage numérique étant la bête noire de l&#8217;équipe depuis le début de la saison, surtout lors des derniers matchs.



La prochaine rencontre à Saint-Jérôme sera le 14 décembre à l’aréna Rivière-du-Nord. Le dernier match avant la pause des fêtes, un repos qui sera bénéfique pour tous.&nbsp;



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La première pincée de sel est celle du maire actuel, Marc Bourcier, alors qu’il était enseignant. C’est alors qu’il a ajouté une bonne cuillère de sucre, motivant ses élèves à l’importance de retirer le chandail du plus grand capitaine de l’histoire des Canadiens de Montréal,&nbsp;Émile «&nbsp;Butch&nbsp;» Bouchard.



Ces jeunes journalistes en herbe ont multiplié leurs interventions sur les ondes de la radio de l’école, allant même à recevoir en entrevue le défunt grand numéro 10 de la Sainte-Flanelle, Guy Lafleur. Le démon blond qui n’avait que des éloges à l’endroit de M. Bouchard.&nbsp;Les étudiants se sont intéressés à la cause et se sont impliqués dans le projet avec enthousiasme.



Andrew Molson à Saint-Jérôme



Andrew Molson, l’un des membres de la riche famille Molson, propriétaire du CH, est même venu féliciter les jeunes pour leur acharnement à vouloir retirer le chandail&nbsp;du robuste défenseur de 1,88 m et 93 kg, bien que la majorité ne le connaissant pas au départ.&nbsp;En 2009, le chandail numéro 3 était monté au plafond du Centre Bell.&nbsp;



« C’est l’effet papillon. Je voulais une glace du CH quand j’étais enseignant et simple citoyen. J’ai maintenu mon souhait lorsque je suis devenu député provincial et mon engouement n’a pas diminué alors que j’étais conseiller municipal et là c’est l’aboutissement de 12 ans de démarche alors que je suis le maire de la ville. Je suis fier de ne jamais avoir abandonné », lance le maire de Saint-Jérôme, Marc Bourcier, grand sourire aux lèvres.&nbsp;&nbsp;



Et la cerise sur le sundae revient au coloré animateur de radio, Ron Fournier, qui chaque fois qu’il ouvrait son micro en profitait pour relancer le débat sur l’importance de retirer le chandail de ce « Québécois oublié ».&nbsp;



« Saint-Jérôme a travaillé fort. Les jeunes se sont impliqués, partout dans la province, car plusieurs écoles ont été du mouvement de retirer le chandail du grand « Butch ». Je me souviens de l’avoir visité lorsqu’il était moins malade vers la fin des années 1980. Ça m’émeut et ça me réjouit de voir que ça permis à Saint-Jérôme d’avoir sa patinoire», a confié M. Fournier, rappelant que&nbsp;l’ex-joueur étoile des Canadiens de Montréal, est décédé en 2012 d&#8217;une longue maladie. Il était âgé de 92 ans.



À l’année longue&nbsp;



Rappelons que la construction d’une patinoire Bleu Blanc Bouge au parc Melançon, un don de la Fondation des Canadiens pour l’enfance, permettra aux jeunes de milieux plus défavorisés de bénéficier d’une patinoire réfrigérée et multisports pour la pratique d’activités toute l’année.



La fondation s’engage à assumer les coûts de construction de la patinoire ainsi que du système de réfrigération au CO2, en plus de fournir 100 casques, 100 bâtons de hockey, 100 paires de patins, 2 filets de hockey et 4 paniers de basketball amovibles.



Un cadeau de 2M$, à lequel la ville ajoute un 3 M$ pour un toit afin de prolonger la période de glace de la mi-novembre au début avril, et ce, dès 2024.

La patinoire Bleu Blanc Rouge, 12 ans de rêve

Mes 5 coups de coeur 



1- Les bracelets anti-rapprochement&#8230;



2- IVI, pour les entreprises de demain



3- Une patinoire Bleu Blanc Rouge s&#8217;installe à Saint-Jérôme



4- Les Panthères manquent de mordant



5- Les différentes guignolées pour les plus démunis. Soyez généreux!

Les joueurs des Panthères écrasés par le Collège Français de Longueuil