
<p>Ces trois chanceuses ont ainsi remporté 10 000 $ chacune lors du tirage du 12 novembre dernier. En plus de gagner ce lot, elles ont pu choisir un organisme sans but lucratif (OSBL) québécois qui leur tient à cœur, auquel un montant de 10 000 $ sera également remis par Loto-Québec dans les prochaines semaines.</p>



<h2><strong>Les organismes choisis</strong></h2>



<p>&#8211; <strong>Christianne Ducas</strong> a décidé de donner à la fondation Rêves d’enfants Canada. Elle tenait particulièrement à soutenir cet organisme. Le billet gagnant a été acheté au Super C de la rue Saint-Simon, à Mirabel.</p>



<p>&#8211; <strong>Denise St-Germain </strong>a voulu aider la Fondation Charles-Bruneau. Le billet gagnant a été acheté au Dépanneur et Épicerie Nehyna sur la route 117 à Mirabel.</p>



<p>&#8211; Quant à <strong>Thérèse Prud’homme Maurice, </strong>elle a choisi de redonner à la banque alimentaire régionale Moisson Laurentides, qui assure un approvisionnement alimentaire aux organismes communautaires desservant les personnes dans le besoin. Le billet chanceux a été acheté à la Tabagie Marie-Lou sur le boulevard des Laurentides à Saint-Jérôme.</p>



<p>«&nbsp;Plus de deux&nbsp;millions de dollars auront été remis à des organismes québécois choisis par les gagnants à la loterie caritative Loto-o-suivant depuis son lancement en&nbsp;2021. Année après année, ces gagnants ont affirmé leur fierté de pouvoir redonner à une cause qui leur est&nbsp;chère. Loto-Québec est tout aussi fière de voir autant de communautés bénéficier de ces&nbsp;dons&nbsp;», souligne Isabelle&nbsp;Jean, vice-présidente exécutive et chef de l’exploitation des loteries à&nbsp;Loto‑Québec.</p>



<h2>À propos du programme <em>On gagne à </em><br><em>redonner</em></h2>



<p>Plusieurs initiatives ainsi que de nombreux projets de soutien et de solidarité sont mis en place chaque année par Loto-Québec et ses&nbsp;employés, et sont regroupés sous le programme&nbsp;<em>On gagne à redonner</em>. Grâce à cet engagement caritatif et collectif, la Société soutient de nombreux organismes partout au&nbsp;Québec.</p>



<p>Cette mesure vise à mettre en place une stratégie nationale pour réduire le gaspillage alimentaire et les invendus commerciaux. </p>



<p>« Plusieurs enquêtes révèlent que des entreprises jettent leurs invendus, alors que l’insécurité alimentaire frappe de plus en plus de Québécois. La situation est inacceptable. Le gouvernement peut agir dès maintenant pour enrayer une partie du problème », a déclaré M.&nbsp;Arseneau.&nbsp;</p>



<h2><strong>Un plan concret pour redistribuer les invendus</strong></h2>



<p>Le projet de loi prévoit des mesures pour obliger les entreprises à redistribuer ou revaloriser leurs invendus, qu’il s’agisse de nourriture, de vêtements, d’outils ou de jouets. Ces produits pourraient être remis à des banques alimentaires, à des organismes communautaires ou encore à des producteurs agricoles, plutôt que d’être détruits ou jetés.&nbsp;</p>



<h2><strong>Un geste essentiel avant les fêtes</strong></h2>



<p>Le gaspillage alimentaire représente un coût environnemental et social considérable. Produire, distribuer et éliminer des biens inutilisés pèse lourdement sur la société, particulièrement dans le contexte économique actuel.&nbsp;</p>



<p>Pour M.&nbsp;Arseneau, le temps presse. Noël&nbsp;2024 doit marquer un tournant&nbsp;: des produits encore consommables ne devraient plus se retrouver dans les sites d’enfouissement alors qu’ils pourraient bénéficier aux familles dans le besoin.&nbsp;</p>


Gaspillage alimentaire : La CAQ pressée d’agir avant Noël


<p>Elisa Baldet, directrice générale d’Au coin de MA rue, explique que ce projet a été réalisé en collaboration avec des élèves de 5e et 6e année de la nouvelle école primaire Secteur 3 (quartier Lafontaine) de Saint-Jérôme. Ces enfants ont travaillé avec leurs enseignants sur des thèmes liés aux violences faites aux femmes et aux inégalités entre les sexes. Leur mission était de traduire leurs réflexions en dessins ou en mots sur une grande fresque, apportant des pistes de solution face à ces violences. Cette fresque a été affichée dans l’école.</p>



<p>« Ils ont été encouragés à discuter des différents types de violences faites aux femmes et à explorer des solutions concrètes. Nous avons travaillé avec le comité des droits de l’enfant, composé de cinq jeunes qui jouent un rôle d’ambassadeurs. Ils ont préparé des questions qu’ils ont ensuite posées aux élèves de l’école pour susciter une réflexion collective », précise Mme Baldet.</p>



<h2>D’autres initiatives</h2>



<p>Dans le cadre des 12 jours d’action, le Centre de pédiatrie sociale a également organisé d’autres activités. Un atelier d’échange et d’information était proposé aux mères victimes de violences conjugales. De plus, des jeunes participant à un atelier de rap ont créé une chanson sur le même thème. « Ces activités visent à aider les jeunes et les familles à s’exprimer, à identifier les problèmes et surtout à trouver des solutions », explique Mme Baldet.</p>



<figure class="wp-block-image size-large is-resized"><img loading="lazy" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/mpl-fresque-2-960x569.jpeg" alt="" class="wp-image-18527" width="581" height="344" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/mpl-fresque-2-960x569.jpeg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/mpl-fresque-2-327x194.jpeg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/mpl-fresque-2-768x455.jpeg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/12/mpl-fresque-2.jpeg 1024w" sizes="(max-width: 581px) 100vw, 581px" /><figcaption>Crédit photo : Marie Pier Lafleur <br>La fresque réalisée par les enfants dans le cadre des 12 jours d’action contre les violences faites aux femmes.</figcaption></figure>



<h2>Le comité des droits de l’enfant</h2>



<p>Les membres du comité des droits de l’enfant vivent des expériences enrichissantes, affirme Elisa Baldet. L’année dernière, ils ont visité l’Université de Montréal pour assister à un cours sur les droits de la famille. Lors de cet événement, ils ont présenté une pièce de théâtre illustrant les droits des enfants.</p>



<p>Étienne, un membre du comité, s’est dit ravi de l’expérience. Passionné par le théâtre et l’improvisation, il affirme que cette visite a éveillé son intérêt pour le droit. « C’est à la fois amusant et enrichissant d’avoir des discussions, de comprendre ce qui est mauvais et ce qui est bon, et de partager des perceptions avec d’autres jeunes », déclare-t-il.</p>



<p>Chaque année, des projets liés aux droits des enfants sont organisés. Mme Baldet est enthousiaste à l’idée de travailler avec ces jeunes passionnés. « Ils nous montrent que notre travail a un impact et nous motivent à en faire davantage », conclut-elle.</p>


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