
<p>Cette annonce vient renforcer la crédibilité de son équipe, qui se présente comme une option responsable et tournée vers le renouveau.</p>



<p>Surnommé « le Père du Lac Jérôme », Mario Fauteux est reconnu pour son engagement envers la protection des milieux naturels. Il rappelle que le Mouvement Jérômien a défendu la préservation du Lac Jérôme depuis 2021 et s’est engagé à poursuivre la protection du Corridor forestier du Grand Coteau. « Nos visions convergent&nbsp;: acquérir, préserver, régénérer. Voilà pourquoi j’appuie résolument l’équipe de Rémi Barbeau », affirme-t-il.</p>



<p>Pour sa part, André Marion, artisan de la nouvelle politique culturelle de la Ville, souhaite en assurer le plein déploiement. « La culture n’est pas un luxe&nbsp;: c’est l’âme d’une ville. Je n’ai aucun doute que Rémi Barbeau est le seul à pouvoir poursuivre ce travail », souligne-t-il.</p>



<p>Rémi Barbeau salue la détermination des deux élus sortants&nbsp;: « Leur rôle d’indépendants n’a pas toujours été facile, mais leur ténacité a permis d’imposer leurs idées et leur vision. Nous entendons poursuivre le travail amorcé, tant pour la protection du Lac Jérôme que pour la promotion de la culture. »</p>



<p>Avec ces appuis, le Mouvement Jérômien affirme sa volonté de rassembler autour d’une vision commune pour une ville durable, ambitieuse et innovante.</p>



<p>Ce résultat découle d’un travail mené avec le maire Marc Bourcier, les membres du conseil municipal et les partenaires de la Ville.</p>



<h2><strong>Économie et finances</strong></h2>



<p>Création du Quartier innovant de l’Ouest, du Quartier industriel innovant et de la Centrale des affaires, adoption d’une stratégie économique 2022-2030 et d’une politique de gestion de la dette. Des événements comme Marcher Noël et le Salon de l’emploi ont aussi été lancés.</p>



<h2><strong>Infrastructures et mobilité</strong></h2>



<p>Près de 200 M$ ont été investis, dont 80 M$ en voirie. L’équipe a mis en place une stratégie d’habitation pour accroître l’offre de logements abordables, sécurisé cinq zones scolaires, modernisé le stationnement du centre-ville, agrandi le dépôt à neige et maintenu le transport collectif gratuit pour les 65 ans et plus.</p>



<h2><strong>Sécurité et inclusion</strong></h2>



<p>Parmi les mesures : création d’une équipe en intervention psychosociale, embauche de dix policiers, construction de La HUTTE (60 lits et halte chaleur/fraîcheur) et annonce de 60 logements de transition. La Ville a aussi cédé un terrain pour la Maison Véro &amp; Louis, mis sur pied une régie intermunicipale d’incendie et aménagé une traverse piétonnière devant l’hôpital régional.</p>



<h2><strong>Sports, environnement et culture</strong></h2>



<p>Le centre sportif Claude-Beaulieu et la patinoire Bleu Blanc Bouge ont été inaugurés, les terrains de tennis, pickleball et baseball réaménagés et 2,5 km de sentiers ajoutés au parc du Lac-Jérôme. Sur le plan environnemental, un Service de l’environnement, une première politique environnementale et un Fonds vert ont été créés, avec la protection de 24 M pi² d’espaces naturels. Côté culture, la Ville a acquis le bâtiment Desjardins pour la future bibliothèque centrale, relancé la Jérô-fête et créé de nouveaux événements, dont le Festival Lumière et la Grande tablée.</p>



<p>« Nous avons livré ce que nous avions promis, et bien plus encore. Ce bilan est la preuve que notre équipe est capable de transformer les idées en actions concrètes. Nous voulons poursuivre cet élan pour bâtir une ville encore plus durable, sécuritaire et prospère », souligne Martin Pigeon, chef d’Avenir Saint-Jérôme et candidat à la mairie.</p>


Avenir Saint-Jérôme présente son bilan 2021-2025


<p>Effective depuis lundi dernier, minuit, cette grève signifie que facteurs et factrices ne livreront plus, jusqu’à nouvel ordre, dans les boîtes aux lettres les circulaires, dépliants publicitaires et journaux locaux « sans adresse », ce qu’ils ont l’habitude d’effectuer en temps normal. Cette « grève des circulaires » remplace, du même coup, l’interdiction de travailler des heures supplémentaires qui était en vigueur depuis le 23&nbsp;mai dernier que le STTP avait choisi de privilégier pour faire pression sur Postes Canada.</p>



<p>« Nous souhaitons faire réagir Postes Canada qui ne se présente plus à la table des négociations depuis trois semaines […] Les circulaires, les dépliants, c’est la vache à lait de Postes Canada », explique Sylvain Fallu, président de la section locale&nbsp;440 (Sainte-Thérèse de Blainville) du STTP, laquelle couvre grosso modo la partie est des Basses-Laurentides.</p>



<p>En entrevue téléphonique, celui-ci rappelle que le STTP a, après avoir vu ses membres rejeter dans une proportion de 70&nbsp;% les offres de Postes Canada lors d’un vote imposé par le gouvernement fédéral, déposé une contre-offre qui, depuis, est restée lettre morte. « On nous a demandé de réviser la contre-offre, mais Postes Canada ne se présente plus à la table de négociation. Aussi, cette “grève des circulaires” nous permet de maintenir la possibilité de tomber en grève générale n’importe quand », précise M. Fallu, dont la section compte quelque 250&nbsp;membres concernés par ces négociations.</p>



<p>Au-delà des circulaires, cette grève risque aussi de fragiliser les journaux locaux, qui dépendent largement de Postes Canada pour rejoindre leurs lecteurs semaine après semaine.</p>



<h2><strong>Conscient des désagréments</strong></h2>



<p>Très au fait que ce nouveau moyen de pression créera des désagréments à bien des personnes, surtout celles qui sont âgées, parce qu’elles se fient beaucoup sur les circulaires pour dénicher des rabais en épicerie, le président de la section locale&nbsp;440 du STTP soutient que la situation est « entre les mains » de Postes Canada.</p>



<p>« On est conscient de ça. Nous, on fait un appel à Postes Canada de retourner à la table et quand ce sera fait, ça va nous faire plaisir de livrer à nouveau les circulaires. Vous savez, nous autres, les employés, on a à cœur notre travail, on l’aime notre travail », de mentionner M. Fallu.</p>



<p>Enfin, en même temps que la mise en place de ce nouveau moyen de pression, le STTP a fait savoir que ses membres organiseront également des rassemblements devant le bureau de circonscription de leur députée ou député fédéral lors de l’ouverture de la nouvelle session parlementaire à la Chambre des communes prévue pour ce jeudi&nbsp;18&nbsp;septembre à Ottawa.</p>



<p>« Nous devrons surveiller de près la direction que prendra le gouvernement et les questions qu’il jugera prioritaires au cours de cette session », a fait valoir la présidente nationale du STTP dans la plus récente mise au point sur les négociations en cours.</p>


Les facteurs entreprennent une « grève des circulaires »

Rémi Barbeau reçoit l’appui de Mario Fauteux et André Marion

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