Cet événement vise à célébrer l&#8217;amour et la solidarité envers les personnes les plus vulnérables de la communauté.



Un moment pour démontrer un engagement envers les autres et pour donner aux invités une soirée remplie de nourriture, de chaleur et de réconfort.



Le menu de cette soirée sera constitué d&#8217;un bar à pâtes, d&#8217;un bar à salade, d&#8217;un bar à pain et de desserts. Les invités peuvent arriver dès 17h.



Ils auront l&#8217;occasion de déguster une variété de plats délicieux et sains, préparés avec soin par les bénévoles des Gardiens de la rue.



L&#8217;objectif de ce souper est de fournir un repas chaud et nourrissant à ceux qui en ont le plus besoin, et de leur offrir une soirée agréable où l’amour ne sera qu’abondante.



Les Gardiens de la rue sont des bénévoles avec la main sur le cœur pour aider et réconforter les sans-abri et les plus démunis. Les écouter aussi et les conseiller.



Ils travaillent sans relâche pour offrir un peu de bonheur aux personnes en difficulté. Par leurs bonnes actions, ils donnent aux gens une seconde chance de se relever et de construire une vie meilleure pour eux-mêmes et leur famille.



Le souper de la Saint-Valentin sera très attendu. Ce sera une occasion de célébrer l&#8217;amour et la générosité de soi et de rassembler les gens autour d&#8217;une cause importante, véritable fléau dans la capitale des Laurentides. Un événement qui a un impact positif sur la vie des personnes les plus vulnérables de la communauté.



C&#8217;est également un moment pour les bénévoles de montrer leur engagement envers les personnes les moins bien nantis de la société et de partager leur passion pour aider les autres.



Tous vivront une soirée remplie de nourriture, de chaleur et de réconfort. Si vous cherchez un moyen de faire une différence significative dans la vie des autres, n&#8217;hésitez pas à vous joindre à nous pour ce mémorable souper de la Saint-Valentin.

Des itinérants autour d’un foyer à Saint-Jérôme

Son nom est Annik. Une femme en premier avec de belles qualités et d’une grande générosité, une douce sensibilité et d’une détermination exemplaire. Ensuite, elle est une personne qui ne sait ni lire, ni écrire, très peu.



Le peu, elle l’a appris avec combativité et assiduité. Depuis 17 ans, elle est fidèle au poste, quatre jours par semaine, à la Maison des mots des Basses-Laurentides.



« C’est ma deuxième famille, ici. Mes amis sont ici. Ensemble, nous apprenons tout en s’amusant », lance Annik, si aimable.



Sa première famille, lui prend aussi beaucoup de temps. C’est elle qui est le « professeure » pour toute la famille. Son fils de 23 ans ne sait ni lire, ni écrire. Sa bru non plus. Sa mère est aussi du nombre des personnes analphabètes au Québec.



« C’est moi qui va montrer à ma petite-fille à lire et à écrire lorsqu’elle sera en âge d’apprendre. Je le montre déjà à mon fils et sa blonde », dit avec fierté, Annik, en mesure d’écrire de petites phrases simples, sans plus.



Son autre grande fierté qu’elle raconte avec un large sourire dissimulé derrière un masque bleu pour prévenir la contamination de la COVID19 : « Je conduis ma voiture. J’ai mon permis. Je suis fonctionnelle », ajoute-t-elle les yeux brillants.



Annik n’est pas seule. Loin de là. Le phénomène de l’analphabétisme au Québec est alarmant. Un million de québécois ne peuvent pas lire ce texte. Vous avez bien lu. Chanceux.



<h2>De ateliers gratuits</h2>



Heureusement pour les illettrés, il y a la Maison des mots à Sainte-Thérèse, mais encore plus choyés, il y a Ilham Gaudreau, la coordonnatrice, et une équipe de travail dévouée.



« Souvent les personnes peu alphabétisées pensent que c’est eux le problème alors qu’en réalité c’est des personnes dont les besoins n’ont pas été répondus à l’âge scolaire et ce qui déplorable malheureusement, car ça affecte non seulement leur estime de soi, mais les pousse à vivre un sentiment de honte et d’exclusion. Par ailleurs, nous avons plein de bels exemples où certains sont passés ici avant de se trouver un emploi dans lequel l’écriture et la lecture sont importantes. Pour d’autres, La Maison des mots devient un milieu de vie où ils participent, s’informent et donnent leurs opinions. Pour les uns et les autres, c’est une question de reprendre confiance en soi, en premier ».



Depuis 1996, la Maison des mots, reconnue par le ministère de l’Éducation, est un groupe d’alphabétisation qui offre des ateliers gratuits de lecture, d’écriture, de calcul et de cuisine collective. Pas plus de 7-8 participants à la fois, question de donner une véritable chance d’apprendre.



C’est que les participants sont invités à s’exprimer et à échanger sur leurs préoccupations et leur vécu dans des approches utilisées, colorées, dynamiques qu’elles soient phonétiques, globales ou conscientisantes.



Dans un milieu non scolaire avec une ambiance chaleureuse et d’entraide, sans compétition, ni jugement, l’organisme à but non lucratif, dispose de formations le jour, le soir et même pour un horaire adapté à des travailleurs qui souhaitent ou doivent améliorer leur niveau de littératie pour conserver leur emploi ou pour leur donner le droit de rêver d’une promotion.

Quand toute la famille ne sait pas lire ni écrire

Les secteurs ciblés par l&#8217;opération sont Terrebonne, Prévost, Saint-Philippe et Delson.



Les policiers de l&#8217;escouade régionale mixte (ERM) Rive-Nord travaillent en collaboration avec plusieurs services de police, dont le Service de police de la Ville de Mascouche, le Service de police de la Ville de Terrebonne, la Régie intermunicipale de police Roussillon et le Service de police de l&#8217;agglomération de Longueuil. L&#8217;enquête, qui a débuté en mars 2022, mobilise plus de 30 policiers de différentes unités d&#8217;enquête.



Les ERM sont des partenariats entre services de police qui ont pour objectif de mettre en commun leurs ressources pour mieux lutter contre le crime organisé dans toutes les régions du Québec.



Les autorités invitent toute personne qui détiendrait des informations en lien avec des activités liées au trafic de stupéfiants à contacter la Centrale de l&#8217;information criminelle de la Sûreté du Québec au 1 800 659-4264.



En outre, la stratégie CENTAURE, qui vise à lutter contre le trafic d&#8217;armes à feu illégales au Québec, permet à la Sûreté du Québec ainsi qu&#8217;à tous les corps policiers partenaires de maximiser leurs efforts au niveau national, régional et local en ciblant à la fois l&#8217;approvisionnement, l&#8217;importation, la distribution et la possession illégale d&#8217;armes à feu.



L&#8217;opération en cours vise à mettre fin aux activités criminelles d&#8217;un groupe s&#8217;adonnant à la production de GHB à haut volume. Les autorités n&#8217;ont pas donné plus de détails sur les personnes arrêtées ou sur les charges qui pourraient être portées à leur encontre. L&#8217;enquête se poursuit.

Un souper de la Saint-Valentin pour les plus démunis