Il y aura une représentation à 14 h et une autre à 19 h 30 à l’auditorium du Cégep de Saint-Jérôme, situé au 455 rue Fournier.



Les choristes interpréteront des chansons d’ici et d’ailleurs «&nbsp;au rythme enivrant teinté de fraîcheur et d’émotion&nbsp;».&nbsp;



«&nbsp;Venez partager avec eux ce moment magique et rempli de passion. Le répertoire offre une belle variété de styles et de langues. Il y en aura pour tous les goûts!&nbsp;», assure-t-on par voie de communiqué.



Les <a href="http://choralesaintjerome.com">billets en vente sont en vente </a>au coût de 30 $ pour les adultes et de 15 $ pour les 10 à 17 ans. Vous pouvez aussi appeler ou transmettre un texto au 514 705-0784.

Choristes de la chorale du Cégep de Saint-Jérôme

L’auteur de Sainte-Sophie Manuel Desjardins a lancé son tout premier livre, « Le pilier brisé », à L’Artemis Bistro Urbain de Saint-Jérôme, le 13 mai dernier. Sous forme autobiographique, ce livre représente l’étape ultime d’un processus de guérison pour son auteur.



« En suivant une thérapie, il y a un an et demi, j’ai réalisé que je souffrais du syndrome de l’abandon, venant beaucoup de mon enfance. Comme j’ai toujours rêvé d’écrire, un soir je suis allé au dépanneur, j’ai acheté une bouteille de vin, je me suis assis devant mon ‘ordi’ et j’ai complètement ouvert mon cœur sur cette période de ma vie », a confié l’auteur, disant s’être senti soulagé une fois son récit achevé.



« Je crois que ça m’a vraiment aidé à boucler la boucle de mon processus thérapeutique », a ajouté l’auteur à la mémoire innée, alors son récit retrace ses plus vieux souvenirs, dès l’âge de deux ans, jusqu’à son adolescence.



Au cœur de l’enfance



À travers le roman, en parlant des vêtements ou de la musique de l’époque, le lecteur peut facilement se retrouver dans le folklore typique des années 80-90. En revanche, l’enfance de l’auteur et donc du personnage principal, elle, n’avait rien de typique.



« Je peux dire que j’ai eu une absence difficile, avec un père complètement absent et une mère qui était présente, mais toujours ‘là’ mentalement […]. Je crois que c’est un peu pour ça que mes frères et moi aimions nous créer notre ‘propre univers’ », se souvient-il, créditant tout de même sa mère pour l’avoir initié à la poésie et donc l’écriture dès son plus jeune âge.



« J’ai toujours écrit, même adolescent, j’ai toujours été celui qui avait une belle plume, qui était bon en rédaction », spécifie le natif de Saint-Jérôme, qui a emprunté plusieurs chemins avant de finalement lancer son premier tome.



Un parcours atypique



Étudiant en science humaine, cinéma et science sociale, Manuel Desjardins est aussi diplômé en communications et médias, ainsi qu’en assurances dommages. Ce dernier diplôme lui permet aujourd’hui d’effectuer son métier de courtier. Avec « Le pilier brisé », il vient officiellement d’ajouter « écrivain » à son impressionnant&nbsp;curriculum vitae, se tournant déjà vers l’écriture de la suite, relatant cette fois sa vie d’adulte.



Cela dit, puisqu’une chose en son temps, il demeure concentré à la parution de ce premier livre et, par la bande, a aidé les gens.



« Le livre est déjà disponible en ligne, sur Amazon, autant en format papier qu’électronique. J’ai donc déjà eu quelques commentaires, dont plusieurs qui disaient&nbsp;: ‘ça me rejoint beaucoup’ ou ‘tu mets des mots sur ce que j’ai vécu’. J’ai vraiment senti que [ce premier livre] avait vraiment connecté avec les gens », paraphrase l’auteur, dont les écrits « dépassent le divertissement ».



Pour plus de détails sur son livre, ses écrits et ses activités, le public peut ainsi se rendre sur la page Facebook de son créateur, sous le nom de « Manuel Desjardins-Auteur ».



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="638" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/05/manuel-desjardins-livre2-960x638.jpg" alt="" class="wp-image-12232" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/05/manuel-desjardins-livre2-960x638.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/05/manuel-desjardins-livre2-327x218.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/05/manuel-desjardins-livre2-96x64.jpg 96w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/05/manuel-desjardins-livre2-768x511.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/05/manuel-desjardins-livre2-615x410.jpg 615w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2023/05/manuel-desjardins-livre2.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Le livre en question&#8230;</figcaption></figure>

Manuel Desjardins : un auteur d’ici lance son premier livre

Devant la centaine de participants rassemblés, la députée d’Argenteuil, Agnès Grondin, a pris la parole afin de souligner la pertinence de l’organisme.&nbsp;«&nbsp;Grâce au travail acharné et minutieux de Film Laurentides, des images du patrimoine et des atouts de notre territoire sont mis en lumière et font briller notre région à l’échelle nationale et internationale. En plus du soutien régulier du gouvernement du Québec, je suis fière de la mobilisation des élus municipaux des Laurentides et de leurs équipes locales qui soutiennent l’organisme. Vous avez compris que Film Laurentides est un ambassadeur inestimable pour la région et que nous avons tous à gagner d’en assurer la pérennité.&nbsp;»



Invitée à son tour, la députée de Thérèse-De Blainville, Louise Chabot, a mentionné à plusieurs reprises que la présence des équipes de tournage contribue à la croissance du secteur du tourisme d’affaires dans la région, précise Film Laurentides par voie de communiqué.



Le directeur de la Corporation de développement économique de la MRC des Laurentides et président de Film Laurentides, Paul Calce, a abondé dans le même sens en réitérant que&nbsp;«&nbsp;Film Laurentides souhaite faire des Laurentides une destination incontournable auprès des professionnels de l’industrie audiovisuelle, travailler en collaboration avec les équipes de tournage, les municipalités, les citoyens et les commerçants afin de faciliter le travail des parties impliquées&nbsp;».



<h2>Des échanges conviviaux</h2>



<figure class="wp-block-image size-large"><img src="https://bn.nordinfo.com/wp-content/uploads/2023/05/film-laurentides-panel-960x640.jpg" alt="Panélistes lors du colloque de Film Laurentides" class="wp-image-85207"/><figcaption>Photo Charles Desilets &#8211; Plusieurs panélistes ont été invités à prendre la parole. L’animateur Stéphane Bellavance agissait comme modérateur.</figcaption></figure>



Les panélistes invités ont su susciter les échanges. Pierre Even, producteur chez Item7, Loic Bernard, directeur de production chez Muse Entertainment, Denis Paquette et Adrian Knight, directeurs des lieux de tournage, Benoit Desjardins, conseiller en communication à la Ville de Mirabel et Brygitte Foisy, directrice, Loisirs et Culture, à la Ville de Sainte-Agathe-des-Monts ont notamment pris la parole.



Animateur réputé pour sa capacité d’analyse et sa répartie facile, Stéphane Bellavance agissait comme modérateur. Les deux panels ont permis de mettre en lumière le processus menant à la concrétisation d’un tournage dans la région, les bonnes pratiques et les bons outils de communication qui en facilitent l’accueil. Les retombées économiques, touristiques et culturelles ainsi que le sentiment de grande fierté associé au fait de reconnaître ses paysages au petit et grand écran ont fait partie des thèmes abordés.

Équipe et panéliste de Film Laurentides

Concert printanier de la chorale du Cégep de Saint-Jérôme