Guy Chevrier qui possède 30 ans d&#8217;expérience dans l&#8217;industrie, était le directeur technique, informatique et immobilier du Théâtre Gilles-Vigneault depuis 2020. 



Jean Beauséjour, président du conseil d’administration de Diffusion en Scène et les membres du conseil sont très heureux d’annoncer la nomination de M. Chevrier pour le poste. L’entrée en poste est effective depuis le 18 janvier 2024.  



« Le conseil d’administration est fier d’annoncer qu’un membre de l’équipe permanente du Théâtre accède au poste de direction générale et artistique. Guy est un pilier pour l’organisation et sa vaste expérience fait de lui un excellent candidat pour mener le Théâtre et l’ensemble de l’organisme encore plus loin. » &#8211; Jean Beauséjour, président du conseil d’administration de Diffusion en Scène.

Celle-ci est reconnue à l’international, notamment aux États-Unis, au Mexique, en Europe, en Chine, en Indonésie de même qu’en Afrique pour ses prestations en solo, en trio et avec big band.



Elle s’est également produite avec plusieurs orchestres symphoniques, dont l’Orchestre symphonique de Montréal, l’Orchestre Métropolitain, l’Orchestre symphonique de Québec, l’Orchestre symphonique de Laval et l’Orquesta Sinfonica de Galicia, en Espagne.&nbsp;



<h2>40 ans de carrière</h2>



C’est en 1984 que Lorraine Desmarais prend son envol sur la scène jazz au pays alors que le Festival international de Jazz de Montréal lui décerne un premier prix comme compositrice et interprète.



Elle compte maintenant à son actif 12 albums de compositions originales, dont le plus récent Street Beat Suite paru en janvier 2023.



Trois de ces albums (Trio Lorraine Desmarais, Jazz pour Noël et Lorraine Desmarais Big Band) lui ont valu des prix Félix au Gala de l’ADISQ. Elle a également remporté le premier prix du Great American Jazz Piano Competition, le prix Oscar Peterson du Festival international de Jazz de Montréal, le Prix André Gagnon de la SPACQ, le prix des compositeurs de la SOCAN et le prix à la Création du Conseil des arts et des lettres du Québec.&nbsp;



À ces grands honneurs s’ajoutent trois prix Opus remis par le Conseil québécois de la musique pour divers projets : interprète de l’année, création d’oeuvre et concert jazz de l’année. En 2011, l’Université du Québec à Montréal (UQAM) lui a décerné un doctorat honoris causa. En 2013, elle a été reçue Membre de l’Ordre du Canada.



Au cours des 40 dernières années, &nbsp;Lorraine Desmarais s’est produite en concert avec des artistes de renommée internationale, comme Chick Corea, Oliver Jones, Jacky Terrasson, Joe Lovano, les Brubeck Brothers, John Abercrombie, Joanne Brackeen, Marian Mc Partland, Tiger Okoshi, Paquito D’Rivera, Ingrid et Christine Jensen, Kenny Wheeler, Guido Basso, Jane Bunnett, Michel Donato, Alain Caron, Michel Cusson, Yannick Rieu et le Big Band Diva de New York.



Au Québec, sa polyvalence musicale lui permet de partager la scène avec des artistes du monde classique, dont Alain Trudel, Stéphane Tétreault et Marie-Nicole Lemieux. Sur la scène populaire, elle a joué avec Ariane Moffatt, Michel Rivard, Bruno Pelletier, Sylvain Cossette, Térez Montcalm, Diane Dufresne et Bob Walsh.&nbsp;

La pianiste Lorraine Desmarais en concert à Saint-Jérôme

Créé en octobre 2022, l’Atelier du possible est né à la suite du désir des deux dames ayant fait connaissance sur Facebook dans un groupe d’artistes. Elles rêvaient de partager avec la communauté leur passion pour la peinture. L’Atelier du possible a pour mission de rassembler un collectif de plusieurs artistes peintres dans un espace commun pour créer, s’entraider, socialiser et donner la chance à ses membres d’exposer leurs œuvres un peu partout.



Au fil du temps, des membres se sont ajoutés, « en mai, on était 7 et maintenant nous sommes rendus 14. », explique Francine Lapierre. Diane Deslauriers est la troisième personne qui a rejoint l’équipe opérationnelle, « grâce à ses forces en informatiques, elle a préparé notre page Facebook et notre site Web de l’atelier. », affirme Mme Lapierre.



« En septembre, on a signé un bail pour deux ans. Le fait d’agrandir permettait d’avoir un espace plus convivial de 1000 pieds carrés. Là-bas, on était dans un petit appartement mal divisé, ce qui faisait qu’on avait des pertes d’espace. Maintenant, ça nous permet d’exposer beaucoup plus de toiles et la porte de garage qui s’ouvre, rend l’expérience vraiment plus intéressante. », explique Diane Deslauriers.



<figure class="wp-block-image size-large"><img loading="lazy" width="960" height="541" src="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/01/gg-atelierpossible-960x541.jpg" alt="Membres de L'Atelier du possible à Saint-Jérôme" class="wp-image-13980" srcset="https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/01/gg-atelierpossible-960x541.jpg 960w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/01/gg-atelierpossible-327x184.jpg 327w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/01/gg-atelierpossible-768x433.jpg 768w, https://bn.journalinfoslaurentides.com/wp-content/uploads/2024/01/gg-atelierpossible.jpg 1024w" sizes="(max-width: 960px) 100vw, 960px" /><figcaption>Photo Guillaume Guay-Morin &#8211; Quelques-unes des membres du collectif de l’Atelier du possible.</figcaption></figure>



<h2>De la progression à l’entraide</h2>



Chaque membre paie le même montant pour assurer la continuité du collectif et de profiter des activités. « Avec d’autres artistes qui sont arrivées récemment, on a des formations possibles qui ont déjà débuté et des cours de dessin d’observation. », dit Mme Lapierre.



Toute la passion que partagent ces artistes crée une d’entraide au sein du groupe. « On s’entraide et on socialise. Quand on est à la maison, on a toujours des périodes creuses, où on manque d’inspiration, mais en groupe, on a toujours un petit coup de pouce, une suggestion, ou on se fait remonter le moral et ça nous aide à aller plus loin. Des plus, les cours et les formations qui sont proposés nous aident à progresser dans notre carrière. », exprime Mme Lapierre.



« C’est toute une entraide qu’il y a entre nous. On est toujours en groupe, on a fait des expositions en gang. En octobre, on avait exposé ici et on avait aménagé l’espace. », explique Sonia Ouellet.



<h2>Les défis rencontrés</h2>



« L’inquiétude qu’on avait, c’était de savoir si on allait être assez de personnes pour le plus grand local qu’on voulait.&nbsp; Avec les permis à demander, ça prend un plan d’architecte. Mais on a trouvé ça difficile, car nous ne sommes pas familières avec ces choses-là. On devait trouver un local en zone commerciale, un prix convenable, obtenir les permis de la Ville. Peu importe le projet, les étapes vont toujours être complexes à la ville de Saint-Jérôme lorsqu’il s’agit d’une location de local. », explique Mme Lapierre.



Ce qu’on aimerait, c’est que la ville de Saint-Jérôme organise quelque chose pour les artistes. Je voudrais qu’elle sache que nous sommes là et que ça peut bénéficier. », conclut Mme Ouellet.

Guy Chevrier nommé au poste de directeur général du Théâtre Gilles-Vigneault