
<p>Ils partagent maintenant la deuxième position au classement général avec le Collège français et les Cobras, ayant tous six points en quatre matchs. Mais au-delà de ces chiffres, c’est l’identité de l’équipe qui encourage. Même si une semaine ne fait pas une saison, force est d’admettre que l’équipe est arrivée bien préparée en ce début de calendrier. Jean-Philippe Paré misait sur une équipe difficile à affronter, et à ce point-ci, la majorité de leurs adversaires pourraient témoigner en ce sens. </p>



<h2><strong>Des recrues prometteuses et une profondeur impressionnante</strong></h2>



<p>Avec six joueurs affichant une moyenne d’un point ou plus par match après seulement quatre rencontres, les Panthères démontrent une belle profondeur. Parmi les étoiles montantes, l’ailier droit Benjamin Beaudry se distingue avec 13 points en 4 matchs! À seulement 18 ans, il pourrait bien faire la pluie et le beau temps chez les Panthères pour les années à venir s’il maintient le rythme. Son coéquipier, le centre Ludovic Martel, 19 ans, n’est pas en reste avec 11 points en autant de matchs.&nbsp;</p>



<p>Cette productivité offensive illustre bien la stratégie de Paré, qui, lors du recrutement estival, cherchait à renforcer l’équipe non seulement en termes de talents, mais aussi avec des joueurs capables de maintenir une pression constante sur l’adversaire.</p>



<h2><strong>Une défense jeune, mais prometteuse</strong></h2>



<p>Malgré quelques doutes initiaux sur la défense, celle-ci se révèle plutôt solide. Un seul défenseur a un différentiel négatif pour l’instant, ce qui est encourageant pour une équipe défensive aussi jeune. Avec un seul défenseur âgé de 19 ans (les autres ont 17 ou 18 ans), ils réussissent à tenir tête, à prendre l’avance… et la conserver!</p>



<h2><strong>Une équipe épuisante à affronter</strong></h2>



<p>L’intensité des félins les sert bien jusqu’à maintenant. Le prochain défi sera celui de la constance. La saison 2023-2024 avait également très bien commencée pour l’équipe de Jean-Philippe Paré. Il faudra continuer à travailler si on veut répondre aux attentes, soit d’être l’équipe la plus redoutée de la ligue.&nbsp;</p>



<p>Avec plus de 20 ans d&#8217;expérience en gestion et une carrière bien ancrée en enseignement au HEC Montréal, François Rioux est sans aucun doute un atout majeur au sein du conseil d&#8217;administration de la 60ème Finale des Jeux du Québec.</p>



<p>« Je suis un gars de Blainville, je connais pas mal de gens autour de la communauté d&#8217;affaires. [Puisque] c&#8217;est un événement qui est jeune, qui est rassembleur, je pense que ça n&#8217;a certainement pas nui pour aider à ma candidature », ajoute M. Rioux qui a aussi fréquenté l&#8217;École nationale de l&#8217;humour avant d&#8217;obtenir sa maîtrise en administration des affaires (EMBA) à l&#8217;Université Concordia.</p>



<p>Tout au long de son mandat, le directeur général aura pour responsabilité, entre autres, de gérer le financement tout en accompagnant ses collègues et partenaires :</p>



<p>« Je me vois aussi comme quelqu&#8217;un qui est beaucoup en soutien aux autres. J&#8217;aime penser aussi que je peux peut-être être un mentor pour mes collègues en donnant des outils, ou des façons de faire qui vont peut-être les inspirer à court terme, mais peut-être qui vont rester également avec eux. »</p>



<h2>Faire briller la communauté </h2>



<p>« Je suis vraiment, très fier que mon nom et ceux de mes collègues soient associés à un projet qui rassemble la jeunesse, les saines habitudes de vie, le sport », avoue le directeur général, soulignant la rareté d&#8217;une telle occasion dans les Basses-Laurentides. Il est donc essentiel pour François Rioux de faire tout en son pouvoir pour honorer les talents de la région : « C&#8217;est un projet où il y a beaucoup de lumière et je souhaite la redistribuer dans la communauté. »</p>



<p>Présentée du 27 février au 7 mars 2026, la 60ème Finale des Jeux du Québec mettra à l&#8217;honneur la persévérance des jeunes sportifs, mais François Rioux s&#8217;engage à faire valoir les différentes entreprises et organisations qui rendront cet événement possible : « C&#8217;est tout un écosystème qui gravite autour et j&#8217;aimerais que ces gens-là aient un petit moment de gloire à l&#8217;intérieur de ces dix jours-là. Je me fais un devoir de trouver de l&#8217;espace pour tout le monde, c&#8217;est bien important pour moi. »</p>


François Rioux s’engage à honorer les talents de la région


<p>Acton Vale, l’une des équipes les plus redoutables de la ligue, a terminé la saison en tête du classement grâce à ses 21 victoires en 30 parties. « Ils ont fini premiers de la division. C&#8217;est toujours des bons matchs&nbsp;[contre eux], mais c&#8217;est une solide équipe qui n&#8217;a pas beaucoup de faiblesses, » confie Jean-Pierre Maria, coach des Cardinaux. Cependant, malgré la puissance de feu d’Acton Vale, les Cardinaux ont su montrer tout au long de la saison qu’ils pouvaient vendre chèrement leur peau.&nbsp;</p>



<p>Cette fois, toujours selon Jean-Pierre Maria, la défensive n’a d’autre choix que d’être parfaite face à l’implacable offensive des Castors. Comme ces derniers en ont fait la démonstration dans le deuxième match, avec leur victoire de 11-1, le vendredi 6 septembre dernier.&nbsp;</p>



<h2>Une saison d’adversité</h2>



<p>Pour les Cardinaux, la route vers les séries n’a pas été de tout repos. Une saison marquée par les blessures et les défis a mis à l’épreuve leur détermination. Pourtant, l’équipe n’a jamais baissé les bras. « Le moral des gars est bon, ça c&#8217;est vraiment important », souligne le numéro 8, François Cholette, leader incontesté de l’équipe et recordman de la ligue dans plusieurs catégories. Le coach Maria abonde dans le même sens : « Peu importe les obstacles, on montre de quoi on est faits ».</p>



<h2>L&#8217;inspiration venue de l&#8217;équipe Québec</h2>



<p>Une source d’inspiration supplémentaire pour les Cardinaux est le parcours de trois de leurs joueurs réguliers, François Cholette, Édouard Savoie et William Perrin, récemment médaillés d’or avec l’équipe Québec lors du championnat canadien. Ces joueurs sont revenus gonflés à bloc de cette expérience et leur motivation pourrait bien être contagieuse. « C’était une aventure incroyable, » confie Cholette. « C’était une aventure incroyable, » confie Cholette. « Même si on était un pick-up team, qu&#8217;on venait de différentes équipes, on formait une seule équipe. C&#8217;était une expérience inoubliable. On a appris à se serrer les coudes, à se battre pour un objectif commun. Et je pense que cette mentalité de groupe, on l’a ramenée ici, avec les Cardinaux. Ça nous donne un petit boost supplémentaire pour ces séries. »</p>



<h2>Une dernière bataille à livrer</h2>



<p>Peu importe l’issue de cette série, les Cardinaux montrent des signes de progression encourageants, notamment grâce à leur victoire en première ronde, un fait d’arme qu’ils n’avaient pas accompli depuis 2021. « Ça faisait plusieurs années qu&#8217;on n&#8217;avait pas réussi à passer la première série de 2 de 3, » souligne François Cholette.</p>



<p>Bien qu’au moment d’écrire ces lignes, la série n’est pas encore terminée, les Cardinaux savent qu’ils doivent puiser dans leur caractère et leur expérience pour espérer une victoire. Condamnés à la perfection face à une équipe redoutable, les joueurs des Laurentides devront se surpasser s’ils veulent prolonger leur saison.</p>


666 : le chiffre de la bête sourit aux Panthères

Des recrues prometteuses et une profondeur impressionnante

Une défense jeune, mais prometteuse

Une équipe épuisante à affronter