Le 8 avril 2024 marque une nouvelle étape importante pour les entrepreneurs du nord de Montréal avec l’accueil du deuxième Sommet de l’innovation au Comfort Inn de Saint-Jérôme. Organisé par la Chambre de commerce et d’industrie Rivière-du-Nord (CCIRDN), cet événement s&#8217;annonce comme un carrefour d&#8217;échanges et de savoir incontournable.



<h2>Programme chargé pour les innovateurs locaux</h2>



Le Sommet propose une demi-journée d&#8217;ateliers et de formation concoctés spécialement pour les commerçants et les industriels de la région. Ces sessions sont conçues pour stimuler l&#8217;innovation et l&#8217;optimisation des opérations et technologies dans leurs entreprises. 



&#8220;Cette initiative répond aux besoins de nos membres et de nos entreprises. Nous les avons écoutés et nous avons élaboré cet événement pour eux&#8221;, déclare John Tittel, président de la CCIRDN.



<h2>Des collaborateurs de valeur</h2>



Le succès de cet événement repose sur un réseau de partenariats solides. La collaboration entre la CCIRDN, Connexion Laurentides, la Ville de Saint-Jérôme, la MRC de La Rivière-du-Nord et le CAE Rive-Nord promet une dynamique fertile et constructive pour des projets à forte valeur ajoutée.



Carmen Sanchez, directrice générale de Connexion Laurentides, souligne l&#8217;importance de cette synergie : &#8220;Connexion Laurentides, à titre d&#8217;Espace régional d&#8217;accélération et de croissance, est fier de contribuer aux initiatives locales comme le Sommet de l&#8217;innovation de la CCIRDN. Notre mission de base vise les mêmes objectifs.&#8221;



<h2>À l&#8217;agenda de la journée</h2>



La journée s&#8217;articulera autour de deux grandes sessions :



Matinée réservée aux commerces de détail et entreprises de service de 9 h à 11 h 45, avec un accueil dès 8 h 30.



Après-midi dédiée aux entreprises manufacturières et industrielles de 13 h 15 à 15 h 45, accueil dès 12 h 45.



<h2>Engagement continue de la CCIRDN</h2>



En tant que figure de proue du milieu des affaires dans la région, la Chambre de commerce et d’industrie Rivière-du-Nord persiste dans sa mission de promotion et de prospérité des acteurs économiques locaux. La Chambre s&#8217;illustre par ses initiatives de formations approfondies, d&#8217;événements de réseautage et d&#8217;autres activités essentielles pour la réussite d&#8217;affaires de toute envergure.

Vous l’avez sans doute entendu, le 12 mars dernier, le gouvernement du Québec a annoncé un budget déficitaire de 11 milliards de dollars, une situation que les municipalités n’entrevoient pas d’un bon œil. Qu’en pensent les maires de nos villes? Nous nous sommes entretenus avec Xavier-Antoine Lalande, préfet de la MRC de La Rivière-du-Nord et maire de Saint-Colomban, qui nous partage ses réflexions sur les implications de ce budget pour les municipalités.



« Ce n’est pas un budget très prometteur. Le gouvernement nous prépare depuis longtemps à travailler avec des ressources limitées. Un déficit de 11 milliards de dollars met encore plus en évidence la nécessité de s&#8217;affranchir un peu des programmes de subvention.&nbsp;»



Bien que ces programmes soient essentiels, M. Lalande croit que les municipalités doivent tenter de trouver d&#8217;autres alternatives pour garantir la fourniture des services et répondre aux attentes de la population.&nbsp;



« Les gens l’ignorent, mais le secteur municipal est responsable de 60% des infrastructures, mais il ne reçoit pas 60% des revenus. Nous représentons l&#8217;instance gouvernementale qui perçoit le moins de revenus comparativement aux niveaux provincial et fédéral, et pourtant, c&#8217;est nous qui avons le plus d’infrastructures à gérer, de l’entretien à leurs développements. L&#8217;accès à des fonds est limité, ce qui explique en partie le déficit d&#8217;infrastructures, l&#8217;état dégradé des routes, des écoles, etc. »



Selon le maire, chaque municipalité devrait bénéficier de plus d&#8217;infrastructures sportives sur son territoire pour le bien-être des citoyens.



«&nbsp;Nous sommes toujours en train d&#8217;évaluer quelle est la plus pertinente à construire ou à rénover en priorité, et ce budget ne répond pas à ces préoccupations.&nbsp;»



Par ailleurs, les municipalités souhaitent que les programmes gouvernementaux soient indexés.



«&nbsp;Les montants alloués restent inchangés d&#8217;une année à l&#8217;autre malgré l&#8217;augmentation des coûts. Cela fait diminuer la part assumée par les gouvernements dans le temps et augmente la charge pesant sur les municipalités&nbsp;», soutient M. Lalande.



<h2>L’Union des municipalités du Québec du même avis</h2>



D’ailleurs, le président de l’Union des municipalités du Québec (UMQ), Martin Damphousse, a tenu a rappelé au gouvernement du Québec par voie de communiqué que le milieu municipal continue d’avoir des attentes ambitieuses, auxquelles le budget actuel ne répond pas, ou que partiellement.



Il a toutefois tenu à préciser que certaines mesures du présent budget répondent à des enjeux exprimés par le milieu municipal. Notamment, de nouvelles mesures pour appuyer le secteur forestier ont été annoncées, avec 347,5 millions de dollars sur cinq ans. De plus, l&#8217;appui à la desserte aérienne régionale bénéficiera de 27 millions de dollars sur trois ans.



Enfin, la protection de l’environnement et l’adaptation aux changements climatiques seront renforcées avec une enveloppe de 127,5 millions de dollars sur cinq ans, incluant une aide de 102 millions de dollars pour assurer la sécurité dans le contexte des changements climatiques et agir face à la hausse des sinistres majeurs. Cela inclut entre autres la mise en place d&#8217;une équipe d’intervention disponible en tout temps.



Or, le président de l’UMQ exprime sa grande préoccupation quant au manque d’investissements pour répondre aux besoins de la population en matière de transport collectif.



« Le budget ne prévoit aucune somme additionnelle pour le financement du transport collectif afin de répondre aux besoins de l’ensemble des régions du Québec. Il s’agit d’un moment crucial pour assurer son développement. Le transport collectif est un élément clé pour le succès des projets de développement économique, ainsi qu’un levier indispensable pour atteindre nos objectifs ambitieux en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre et d’aménagement durable du territoire. »

Les municipalités font les frais d’un budget serré

Le coach et DG de l’équipe, Jean-Philippe Paré a donné accès à votre journal Infos Laurentides à ces joueurs de 20 ans, pour qui l’aventure avec les Panthères se termine : Adam Labelle (C), Félix O’Connor (A), Alexandre Lefebvre, Olivier Tourchot (A) et Philippe Cloutier. Voici ce qu’ils ont dit sur leur saison, les séries et ce qui les attend désormais. 



<h2>La parole aux joueurs</h2>



Félix O’Connor : &#8220;Certains départs ont été plates, j’ai perdu des bons amis, mais il faut tracer une ligne entre l’amitié et le hockey. J’ai plusieurs blessures à guérir, j’accroche mes patins. Je termine mes études en juin, je fais une technique en télécommunication à Lionel-Groulx, après c’est le marché du travail. J’aimerais travailler en sécurité réseau, j’adorerais être un Hacker blanc. L’équipe est entre bonnes mains pour la suite, tu as des Gervais, des McMahons, il y a des bons leaders dans l’équipe, on (les vétérans) a essayé de bien leur transmettre ça cette année.&#8221; 



Olivier Tourchot : &#8220;La saison s’est vraiment bien passée, on est parti très fort. C’est sûr que quand Cloutier et Blais sont partis ça a fait mal. Mais ça m’a permis de prendre leurs minutes et ma production a doublée. C’était important d’avoir du monde qui croyait en l’équipe. Là je vais prendre 2-3 mois off parce que j’ai mal partout, mais après j’aimerais continuer dans le Senior.&#8221; 



Alexandre Lefebvre : &#8220;C’est sûr que finir sa carrière junior dans les estrades (Lefebvre a été suspendu pour deux matchs lors du match numéro cinq) c’est pas facile, mais j’ai accepté mon sort. Je me fais à l’idée que ma carrière junior est terminée. J’ai reçu des offres pour aller en Europe, mais j’aimerais finir ma technique policière en premier. Je suis vraiment fier de toute ma carrière. J’ai joué trois ans junior Majeur à Rimouski et je n’aurais jamais pensé me rendre là. Merci à l’organisation et à tous les fans d’être venus aux matchs, je n’aurais pas pu espérer mieux pour jouer mon junior 3A.&#8221;    Philipe Cloutier : &#8220;C’est une belle organisation, on est bien traité. Les gérants d’équipements, les thérapeutes, on a un bel aréna aussi. On aurait aimé continuer mais… j’ai reçu au-dessus de 300 shots pendant les séries. Présentement je me dis que je vais travailler cet été, j’installe des piscines hors-terre, c’est physique et c’est dehors, j’aime ça. Je veux dire aux jeunes que même si c’est pas facile, parce que je ne l’ai pas eu facile personnellement, il ne faut pas lâcher… j’ai réussi à me rendre Jr Majeur alors il faut jamais abandonner.&#8221; 



Adam Labelle : &#8220;C’est le fun d’avoir fini avec mes amis. Tout le monde s’entendait bien dans le vestiaire. Je suis content de finir sur une note comme ça, même si ce n’est pas ce qu’on voulait. Le but commun de tout le monde était de gagner. On avait de très bons gars sur l’équipe, tout le monde voulait être ici. On n’a jamais lâché, on n’a pas eu tant une bonne fin de saison, mais les deux victoires quand on a ramené ça 2-2 contre la Beauce, c’était vraiment des beaux moments. Ça fait 4 ans qu’on est ici, les partisans, l’organisation, les bénévoles, c’est vraiment une des plus belles organisations que j’ai vu de junior 3A, un gros merci à tout le monde d’avoir fait en sorte qu’on puisse avoir du fun. Ça a été magique comme expérience.&#8221;  Merci à vous les gars! Reposez-vous maintenant, c’est bien mérité.

Sommet de l’Innovation de la CCIRDN: Une Deuxième Édition Pleine de Promesses à Saint-Jérôme

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