
<p>L’organisme, certifié par la Fondation Dr Julien, s’est donné pour mission de soigner et accompagner les enfants vivant en contexte de vulnérabilité, en créant avec eux, leur famille et la communauté, des liens de confiance durables favorisant santé, inclusion et justice sociale.<br><br>Lieu d’écoute et de soins, le centre agit concrètement pour réduire les stress toxiques liés aux conditions de vie difficiles et offrir aux enfants un espace sécuritaire et bienveillant.</p>



<h2><strong>Un événement rassembleur au marché de Noël</strong></h2>



<p>Les 6 et 7 décembre, la Place des Festivités de Saint-Jérôme s’est transformée en terrain de solidarité. Au coin de MA rue animait un espace de dek-hockey, accessible gratuitement tout le week-end. Deux matchs amicaux ont opposé les jeunes du centre aux Couguars de Cap Jeunesse : samedi, les M15 ; dimanche, les M18.<br><br>Le public était invité à encourager les enfants et à participer à cette activité familiale qui soutient directement les services offerts dans la région. Sur le kiosque, des bénévoles accueillaient les dons et offraient des toutous en signe de gratitude.</p>



<h2><strong>Le Fonds de soutien pour les enfants</strong></h2>



<p>Les dons recueillis permettent de financer des suivis médicaux adaptés, des services spécialisés (orthophonie, art-thérapie, musicothérapie, visites à domicile), ainsi que des ateliers de développement (aide aux devoirs, stimulation du langage, activités pédagogiques). Des trousses de base — matériel scolaire, vêtements, collations — sont également distribuées.<br><br>« Chaque contribution nous permet d’offrir un soutien concret, immédiat et transformateur. » — Elisa Baldet, directrice générale</p>



<h2><strong>Des enfants résilients malgré les stress toxiques</strong></h2>



<p>« Votre appui renforce notre capacité à offrir des soins de qualité et un accompagnement continu aux enfants les plus vulnérables de notre communauté ; des enfants dotés d’une résilience hors du commun », a précisé Dre Anne Gosselin-Brisson, directrice clinique et médecin de famille. Elle rappelle que les difficultés rencontrées par les familles sont d’ordre psychoémotionnel, langagier, comportemental ou lié au développement, et que les enfants suivis présentent aussi des troubles d’apprentissage ou des problèmes de santé physique et mentale.</p>



<h2><strong>Un appel à la communauté</strong></h2>



<p>Pour Patrick Charrette, président du conseil d’administration et associé chez Services financiers Charette et Chouinard, l’engagement des citoyens et des entrepreneurs est essentiel : « En soutenant Au coin de MA rue, nous contribuons à bâtir un véritable cercle protecteur autour des enfants, afin qu’ils puissent grandir en santé et en toute sécurité. C’est un investissement direct dans le mieux-être des enfants, mais aussi dans la santé collective de tout notre milieu. »</p>



<p><strong>Comment donner</strong></p>



<p>La guignolée se poursuit jusqu’au 15 janvier. Des points de collecte étaient installés au marché de Noël de Saint-Jérôme, à Prévost et à Sainte-Sophie. Les dons en argent sont privilégiés et des reçus sont fournis.<br><br>• En ligne : <a href="http://www.aucoindemarue.ca">www.aucoindemarue.ca</a><br>• Sur place : 483, rue Labelle, Saint-Jérôme<br>• Téléphone : 450 438-5959</p>



<p>Lors d’une cérémonie tenue le 3&nbsp;décembre, ses enfants, Éric et Barbara Sophie Lacasse, ont remis à la Société d’Histoire et d’Archives des Laurentides plusieurs objets symboliques ayant appartenu à leur père&nbsp;: son képi de directeur, ses médailles militaires et honorifiques, ainsi que le drapeau qui a servi à ses funérailles civiques, notamment.</p>



<h2><strong>Un pionnier du service incendie</strong></h2>



<p>Né le 27 mai 1931 à Vaudreuil, Claude Lacasse est engagé en 1969 par la Cité de Saint-Jérôme, où il devient le premier chef de comté du Service des incendies. À cette époque, Saint-Jérôme portait encore le titre de cité. Visionnaire et bâtisseur, il marque durablement l’évolution du service par son leadership, son professionnalisme et son engagement syndical et politique. Il contribue à l’intégration de nouvelles technologies et à l’amélioration des conditions de travail des pompiers.<br><br>Le conseil municipal le nomme premier directeur du Service de la sécurité incendie. Il deviendra plus tard le président de l&#8217;Association des chefs en sécurité incendie du Québec. Il est fondateur de l’Académie québécoise des pompiers (1979), qu’on appelle simplement l’Académie des pompiers, de nos jours, et également fondateur de la Fédération québécoise des chefs pompiers. Son influence dépasse largement les frontières de sa ville : une époque entière s’est transformée sous sa gouverne.</p>



<h2><strong>Un vétéran décoré</strong></h2>



<p>Avant sa carrière dans la sécurité incendie, Claude Lacasse sert dans les Forces armées canadiennes et se porte volontaire pour la guerre de Corée entre 1950 et 1953. Il reçoit quatre médailles militaires&nbsp;: la Médaille des Nations Unies, la Croix des combattants de l’Europe, la médaille de la Voie étroite, et une médaille honorifique pour ses 20&nbsp;années de service en sécurité publique.<br><br>Ces décorations, soigneusement conservées par sa famille, témoignent d’un parcours marqué par le courage, la discipline et le sens du devoir. La cinquième médaille, remise pour service distinct, souligne son engagement dans le domaine de la sécurité incendie.</p>



<h2><strong>Une transmission familiale</strong></h2>



<p>La vocation de Claude Lacasse a inspiré ses enfants. Éric Lacasse a lui-même été pompier, suivant les traces de son père avant de se tourner vers des fonctions administratives comme coordonnateur à la sécurité publique à Papineau. Sa sœur, Barbara Sophie Lacasse, a quant à elle travaillé comme répartitrice au service de police de Saint-Jérôme.<br><br>Éric et Barbara Sophie conservaient ces choses précieusement, puis ils vieillissent et se demandaient ce qu’ils pouvaient faire avec ces choses. On a suggéré à Barbara Sophie de les remettre à Histoire et Archives Laurentides dans le but de préserver son histoire.</p>



<p>« Ça me fait un pincement au cœur de m’en départir, mais je sais que c’est la chose à faire. » — Barbara Sophie Lacasse</p>



<h2><strong>Un legs pour les générations futures</strong></h2>



<p>Le képi, les médailles et le drapeau seront désormais conservés au sein des collections patrimoniales de la Société d’Histoire et d’Archives des Laurentides, accessibles aux citoyens désireux de mieux comprendre l’histoire locale et les figures qui l’ont façonnée.<br><br>Claude Lacasse est décédé le 21 juin 1982 à Saint-Jérôme, alors qu’il occupait toujours ses fonctions de directeur du Service des incendies. Sa mémoire, portée par ses enfants et par la communauté, continue d’inspirer les générations actuelles et futures.</p>



<h2><strong>Comment préserver l’histoire locale</strong></h2>



<p>Les citoyens qui souhaitent <a href="http://histoire-archives-laurentides.com/faire-un-don" target="_blank" rel="noreferrer noopener">soutenir Histoire et Archives Laurentides</a> peuvent le faire en ligne. L’organisme accepte aussi les dons d’archives (documents, photos, objets) afin de préserver la mémoire régionale.</p>


Claude Lacasse honoré par ses enfants et la Société d’histoire


<p>La vice‑présidente, Stéphanie Cocozza confirme que l’entreprise a choisi de ne pas procéder à l’éviction, malgré les « pressions » exercées par la ville de Saint-Jérôme. Elle explique que cette décision s’inscrit dans la mission corporative d’Espace Lokalia, qui vise à développer des habitations « à dimension humaine, abordables et accessibles ».</p>



<p>« Ce n’est aucunement dans notre ADN corporative d’agir comme on allait le faire », souligne‑t‑elle. L’entreprise affirme vouloir collaborer avec la Ville pour trouver des solutions « bienveillantes, flexibles et humaines » et annonce que les pancartes installées à la demande de la municipalité seront retirées au cours du week‑end.</p>



<p>Stéphanie Cocozza estime qu’une cohabitation est possible et souhaite qu’une solution durable soit trouvée d’ici la saison plus chaude.</p>


Guignolée d’Au coin de MA rue, solidarité au marché de Noël

Un événement rassembleur au marché de Noël

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