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Jocelyne Cazin, une icône engagée pour une retraite active

Photo courtoisie –
Jocelyne Cazin en sera à sa deuxième expérience au Salon des aînés de Saint-Jérôme. Elle s’adressera aux visiteurs dès 11h.

Jocelyne Cazin, une icône engagée pour une retraite active

Publié le 06/09/2024

Le 7 septembre prochain, le Salon des aînés de Saint-Jérôme recevra plusieurs personnalités de renom des médias québécois, dont la journaliste et conférencière Jocelyne Cazin.

Reconnue pour son engagement et son parcours inspirant, Jocelyne Cazin participe de nouveau à cet événement avec un enthousiasme renouvelé. 

« L’organisation est impeccable, et c’est toujours un plaisir de retrouver un public aussi chaleureux », confie-t-elle, heureuse également d’y revoir des partenaires de longue date.

Lorsqu’on lui a demandé ce qui l’a poussée à renouveler sa participation pour cette édition 2024, Jocelyne est catégorique : « C’est l’importance de rester actif. La retraite ne signifie pas arrêter, mais plutôt se réinventer ». Cette vision de la retraite comme une phase de vie remplie de projets et d’engagements résonne particulièrement dans ses conférences, notamment celle qu’elle donnera lors du Salon des aînés. Sous le titre évocateur « La retraite, point d’interrogation, quelle retraite, point d’exclamation ? », elle aborde les défis de cette étape de vie avec un ton à la fois sérieux et optimiste.

Au-delà de ses interventions publiques, Jocelyne Cazin nourrit une réflexion profonde sur le vieillissement. « Je n’avance pas en âge, je me bonifie », dit-elle en riant. Toutefois, derrière cette légèreté se cachent des préoccupations sincères. Elle s’inquiète entre autres des défis économiques et sociaux qui complexifient la vieillesse, comme la crise du logement. « Je préfère être à 73 ans qu’à 37 », admet-elle, soulignant les incertitudes que porte la jeune génération face à l’avenir.

Jocelyne Cazin ne se limite pas à la cause des aînés. Très impliquée auprès des jeunes, elle évoque avec passion l’idée d’un mentorat intergénérationnel. « Il est crucial de soutenir la relève. Nous avons tous quelque chose à transmettre », insiste-t-elle. Pour elle, ce contact avec la jeunesse est une source d’enrichissement mutuel, et elle envisage sérieusement de développer un programme d’échanges ouverts pour accompagner les jeunes dans leur parcours.

Parallèlement à ses engagements sociaux, Jocelyne poursuit une carrière littéraire prolifique. Son prochain roman, « Funeste récolte », sortira le 26 septembre, avec un lancement prévu le 1er octobre à la librairie Monet, à Ville-Saint-Laurent. Ce roman, ancré dans l’actualité, aborde des thèmes tels que l’exploitation des travailleurs migrants, une réalité qu’elle a explorée avec une rigueur journalistique. « C’est une fiction réaliste, », précise-t-elle, expliquant que son regard aiguisé de journaliste lui permet de traiter de sujets sensibles avec une profondeur inédite.

Ainsi, le Salon des aînés de Saint-Jérôme ne se contentera pas d’accueillir des invités de marque. Il s’annonce comme un moment fort de partage et de réflexion sur la retraite, l’engagement citoyen et les défis contemporains. Jocelyne Cazin, par sa présence et ses interventions, incarnera parfaitement cette dynamique, rappelant que l’âge n’est qu’un chiffre et que chaque étape de la vie peut être vécue pleinement, avec passion et engagement.

Pour plus d’informations sur le Salon des aînés de Saint-Jérôme, qui aura lieu le samedi 7 septembre prochain au Quartier 50+, rendez-vous sur le site officiel à l’adresse suivante : salondesaines.ca.

L’événement est gratuit et ouvert à tous.